Sur Facebook, le ministère tunisien de l’Énergie, des Mines et de la Transition énergétique nie toute perturbation dans les livraisons de gaz algérien, réfutant ainsi les rumeurs faisant état d’une suspension de la part de l’Algérie. Bien au contraire, les deux pays se sont entendus sur l’augmentation des volumes livrés.
Contrairement aux rumeurs notamment colportées sur les réseaux sociaux, le ministère tunisien de l’Énergie, des Mines et de la Transition énergétique affirme dans un communiqué publié sur Facebook qu’il n’y a aucun problème quant à l’approvisionnement du pays en gaz algérien.
«Il n’y a actuellement aucun problème d’approvisionnement en gaz algérien conformément aux accords en vigueur entre les deux pays», informe la note du ministère tunisien de l’Énergie qui souligne que «tout ce qui circule sur la possibilité que l’Algérie cesse de pomper du gaz vers la Tunisie est inexact».
«La Tunisie a demandé à l’Algérie d’augmenter la quantité de gaz livrée»
Par ailleurs, le ministère explique qu’en raison de la crise sociale dans la région d’El-Kamour (gouvernorat de Tataouine, dans le sud-est du pays) et de la chute de la production du champ gazier de Miskar, dans le golfe de Gabès, sur la côte méditerranéenne, «la Tunisie a demandé en juin à l’Algérie d’augmenter la quantité de gaz qu’elle livre via le gazoduc traversant le sol tunisien en direction de l’Europe pour compenser le déficit de production».
La demande formulée par le ministère tunisien de l’Énergie a reçu une suite positive de la part des autorités algériennes, affirme le communiqué.
Enfin, la note relève que «la Société tunisienne d’électricité et de gaz a également apuré l’essentiel de ses dettes envers la Société nationale algérienne des hydrocarbures (Sonatrach) depuis mi-août».
Un contrat de livraison jusqu’en 2030
En avril, à l’issue d’une rencontre entre le ministre tunisien de l’Énergie, des Mines et de la Transition énergétique Mongi Marzouk et son homologue algérien de l’époque Mohamed Arkab, les deux pays ont signé un nouvel accord de livraison de gaz jusqu’en 2030.
echroukonline
Contrairement aux rumeurs notamment colportées sur les réseaux sociaux, le ministère tunisien de l’Énergie, des Mines et de la Transition énergétique affirme dans un communiqué publié sur Facebook qu’il n’y a aucun problème quant à l’approvisionnement du pays en gaz algérien.
«Il n’y a actuellement aucun problème d’approvisionnement en gaz algérien conformément aux accords en vigueur entre les deux pays», informe la note du ministère tunisien de l’Énergie qui souligne que «tout ce qui circule sur la possibilité que l’Algérie cesse de pomper du gaz vers la Tunisie est inexact».
«La Tunisie a demandé à l’Algérie d’augmenter la quantité de gaz livrée»
Par ailleurs, le ministère explique qu’en raison de la crise sociale dans la région d’El-Kamour (gouvernorat de Tataouine, dans le sud-est du pays) et de la chute de la production du champ gazier de Miskar, dans le golfe de Gabès, sur la côte méditerranéenne, «la Tunisie a demandé en juin à l’Algérie d’augmenter la quantité de gaz qu’elle livre via le gazoduc traversant le sol tunisien en direction de l’Europe pour compenser le déficit de production».
La demande formulée par le ministère tunisien de l’Énergie a reçu une suite positive de la part des autorités algériennes, affirme le communiqué.
Enfin, la note relève que «la Société tunisienne d’électricité et de gaz a également apuré l’essentiel de ses dettes envers la Société nationale algérienne des hydrocarbures (Sonatrach) depuis mi-août».
Un contrat de livraison jusqu’en 2030
En avril, à l’issue d’une rencontre entre le ministre tunisien de l’Énergie, des Mines et de la Transition énergétique Mongi Marzouk et son homologue algérien de l’époque Mohamed Arkab, les deux pays ont signé un nouvel accord de livraison de gaz jusqu’en 2030.
echroukonline
Commentaire