Aucun pays de la catégorie des PEP (Pays Extrêmement Pauvre) comme la dictature marocaine n'est en mesure de coloniser une immense région comme le Sahara Occidental à long terme.
Même le sosie marocain qu'est Israël subit d'énormes difficultés financières de cause de sa colonisation des territoires palestiniens et ceci en dépit des dons américains (10 milliards de dollars par année, armement gratuit, etc..etc).
Plus succinctement dit, la dictature marocaine échouera-t-elle au Sahara Occidental comme elle (dictature marocaine) à échoué à cinq (5) reprises pour l'acquisition de l'organisation de la coupe du monde de foot voire même de la débâcle restée célèbre des FARces lors de leur invasion insensée de l'ilot à chèvres ibérique de Persil?
Question?
- Pourquoi nous allons perdre le Sahara
C’est certainement la partie la plus polémique des thèses, interventions et affirmations du « nouveau Basri », et sans doute la plus difficilement crédible. Contrairement à ce qui est désormais devenu la position quasi officielle du Maroc de Mohammed VI, Driss Basri affirme être « bien entendu »[B] favorable à la tenue d’un référendum d’autodétermination au Sahara occidental".
« En 1982 à Nairobi, puis en 1988 à l’ONU, Hassan II s’est prononcé pour l’option référendaire. Loyal serviteur, j’ai milité en ce sens jusqu’à mon limogeage. Bien évidemment, j’ai travaillé pour que ce référendum se solde par un oui massif en faveur du rattachement au royaume : je ne suis ni traître à la patrie, ni suicidaire. Je disposais des leviers, des relais nécessaires pour que ce résultat soit une certitude. Disons que j’avais le savoir-faire. Les Sahraouis, je les adore et ils m’adorent.
Malheureusement, avant même mon départ du gouvernement, certains, toujours les mêmes, se sont mis en tête de démanteler ce qu’ils appellent "le système Basri au Sahara". Incompétence crasse ! Le processus d’autonomie des Sahraouis l’a emporté sur le nécessaire parachèvement de l’unité nationale.
Résultat : le bateau prend l’eau, l’ennemi s’est infiltré partout et, si le référendum avait lieu aujourd’hui, le Maroc n’aurait aucune chance de l’emporter. »
Driss Basri in Jeune Afrique.
Même le sosie marocain qu'est Israël subit d'énormes difficultés financières de cause de sa colonisation des territoires palestiniens et ceci en dépit des dons américains (10 milliards de dollars par année, armement gratuit, etc..etc).
Plus succinctement dit, la dictature marocaine échouera-t-elle au Sahara Occidental comme elle (dictature marocaine) à échoué à cinq (5) reprises pour l'acquisition de l'organisation de la coupe du monde de foot voire même de la débâcle restée célèbre des FARces lors de leur invasion insensée de l'ilot à chèvres ibérique de Persil?
Question?
- Pourquoi nous allons perdre le Sahara
C’est certainement la partie la plus polémique des thèses, interventions et affirmations du « nouveau Basri », et sans doute la plus difficilement crédible. Contrairement à ce qui est désormais devenu la position quasi officielle du Maroc de Mohammed VI, Driss Basri affirme être « bien entendu »[B] favorable à la tenue d’un référendum d’autodétermination au Sahara occidental".
« En 1982 à Nairobi, puis en 1988 à l’ONU, Hassan II s’est prononcé pour l’option référendaire. Loyal serviteur, j’ai milité en ce sens jusqu’à mon limogeage. Bien évidemment, j’ai travaillé pour que ce référendum se solde par un oui massif en faveur du rattachement au royaume : je ne suis ni traître à la patrie, ni suicidaire. Je disposais des leviers, des relais nécessaires pour que ce résultat soit une certitude. Disons que j’avais le savoir-faire. Les Sahraouis, je les adore et ils m’adorent.
Malheureusement, avant même mon départ du gouvernement, certains, toujours les mêmes, se sont mis en tête de démanteler ce qu’ils appellent "le système Basri au Sahara". Incompétence crasse ! Le processus d’autonomie des Sahraouis l’a emporté sur le nécessaire parachèvement de l’unité nationale.
Résultat : le bateau prend l’eau, l’ennemi s’est infiltré partout et, si le référendum avait lieu aujourd’hui, le Maroc n’aurait aucune chance de l’emporter. »
Driss Basri in Jeune Afrique.
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