Les séparatistes du Polisario se sont une fois de plus rappelés à leurs bons souvenirs de brigandage en faisant obstruction à la libre circulation civile des biens et des personnes au poste frontière d’El Guerguarat au niveau de la zone tampon ( 3 km de large), entre le Maroc et la Mauritanie. A ce propos la diplomatie marocaine a saisi le Conseil de sécurité de l’ONU et les Nations Unies pour dénoncer, encore une fois, cette situation inadmissible.
Ces événements ont incité la mission UN MINURSO à intervenir pour rétablir le passage pour le transport à destination et en provenance du Maroc via la Mauritanie ainsi que le Sénégal et le Mali et assurer ainsi la continuité du trafic commercial Maroc-Afrique de l’Ouest. El Guergarat est la seule frontière terrestre par ces temps de crise à être restée ouverte contrairement aux autres.
La diplomatie marocaine est donc intervenue par l’intermédiaire de l’ambassadeur, représentant permanent du Maroc auprès des Nations Unies, Omar Hilale, qui a alerté le Secrétariat des Nations Unies, la présidence du Conseil de sécurité et ses membres sur la gravité des mesures de provocation prises par les membres du Polisario au poste frontière d’El Guerguarat.
Les actions du front séparatiste à El Guerguarat interviennent à un moment où les Nations Unies soulignent la nécessité de « s’abstenir de toute action qui pourrait constituer un changement du statu quo dans la zone tampon », sans parler de l’avertissement clair que le Secrétaire général de l’ONU, António Guterres, avait donné au front en raison de son obstruction à la traversée du passage d’El Guerguarat lors du rallye «Africa Eco Rice» qui passait par le Sahara marocain.
Cela avait poussé la mission de l’ONU dans la région à envoyer des soldats de la MINURSO afin d’intervenir pour évacuer les séparatistes, après qu’ils aient installé des tentes au poste frontière. Le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, avait qualifié ces agissements « d’actions de brigands », soulignant à cet égard que le Maroc ne pouvait pas parvenir à une solution au problème du Sahara avec des « brigands » ou avec quiconque les soutient.
Le passage d’El Guerguarat est un débouché économique important pour la circulation des marchandises commerciales à destination et en provenance des pays d’Afrique subsaharienne. Pour le Polisario en ces temps où la mission de la MINURSO touche à la fin de son mandat (31 octobre 2020) pour pousser à l’escalade et essayer d’attirer ainsi l’attention.
Qu’à cela ne tienne, dans le cadre du développement des régions sahariennes du Maroc, le Royaume est sur un nouveau projet visant à éliminer les problèmes liés à ce passage économique, en créant une plate-forme logistique à partir de laquelle la route passera par la ville marocaine de Dakhla, et comprendra un nouveau port qui servira de front de mer pour le passage de la frontière.
Mohamed Jaouad EL KANABI
Ces événements ont incité la mission UN MINURSO à intervenir pour rétablir le passage pour le transport à destination et en provenance du Maroc via la Mauritanie ainsi que le Sénégal et le Mali et assurer ainsi la continuité du trafic commercial Maroc-Afrique de l’Ouest. El Guergarat est la seule frontière terrestre par ces temps de crise à être restée ouverte contrairement aux autres.
La diplomatie marocaine est donc intervenue par l’intermédiaire de l’ambassadeur, représentant permanent du Maroc auprès des Nations Unies, Omar Hilale, qui a alerté le Secrétariat des Nations Unies, la présidence du Conseil de sécurité et ses membres sur la gravité des mesures de provocation prises par les membres du Polisario au poste frontière d’El Guerguarat.
Les actions du front séparatiste à El Guerguarat interviennent à un moment où les Nations Unies soulignent la nécessité de « s’abstenir de toute action qui pourrait constituer un changement du statu quo dans la zone tampon », sans parler de l’avertissement clair que le Secrétaire général de l’ONU, António Guterres, avait donné au front en raison de son obstruction à la traversée du passage d’El Guerguarat lors du rallye «Africa Eco Rice» qui passait par le Sahara marocain.
Cela avait poussé la mission de l’ONU dans la région à envoyer des soldats de la MINURSO afin d’intervenir pour évacuer les séparatistes, après qu’ils aient installé des tentes au poste frontière. Le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, avait qualifié ces agissements « d’actions de brigands », soulignant à cet égard que le Maroc ne pouvait pas parvenir à une solution au problème du Sahara avec des « brigands » ou avec quiconque les soutient.
Le passage d’El Guerguarat est un débouché économique important pour la circulation des marchandises commerciales à destination et en provenance des pays d’Afrique subsaharienne. Pour le Polisario en ces temps où la mission de la MINURSO touche à la fin de son mandat (31 octobre 2020) pour pousser à l’escalade et essayer d’attirer ainsi l’attention.
Qu’à cela ne tienne, dans le cadre du développement des régions sahariennes du Maroc, le Royaume est sur un nouveau projet visant à éliminer les problèmes liés à ce passage économique, en créant une plate-forme logistique à partir de laquelle la route passera par la ville marocaine de Dakhla, et comprendra un nouveau port qui servira de front de mer pour le passage de la frontière.
Mohamed Jaouad EL KANABI
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