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Le royaume devrait accueillir un autre round du dialogue entre les frères-ennemis libyens, ce lundi 7 septembre. Après les révélations à ce sujet faites, le 2 septembre, par des sources proches du Parlement de Tobrouk (Est), c’est au tour du président du Haut Conseil d’Etat (Ouest), Khaled Al Machri, de confirmer la rencontre à Rabat, lundi prochain.
Il a affirmé que la réunion dans la capitale marocaine entre dans le cadre des «consultations informelles comme cela s’est déjà produit par le passé» entre des représentants du Parlement de Tobrouk et des membres de l’instance qu’il préside.
«Il n’y a pas pour l’heure de réunions officielles entre le Haut Conseil d’Etat et le Parlement», a-t-il indiqué, ajoutant que les consultations entre personnalités influentes de la scène libyenne sous les auspices des Nations Unies que ce soient à Rabat ou à Genève «ne constituent pas une alternative au dialogue politique».
Adel Kermouss, membre du Haut Conseil d’Etat, a souligné sur auprès de l'agence de presse russe Sputnik que la rencontre de Rabat entre des représentants de l’Ouest et l’Est a pour objectif de «préparer le terrain à des réunions officielles ultérieures sous les auspices des Nations Unies».
De son côté le porte-parole du Parlement de Tobrouk, Abdellah Blihak a également confirmé la rencontre de Rabat, «Elle vise à poursuivre le dialogue politique jusqu'à la fin de la crise libyenne», a-t-il confié à un média arabe.
Malgré les obstacles et les ingérences étrangères, les représentants de l’Ouest et de l’Est s’accordent à donner du crédit à la médiation marocaine, qu'ils qualifient de neutre. Les Nations unies partagent également cette vision. Les Etats-Unis, acteurs majeurs sur la scène internationale, encouragent également les parties à discuter pour une signature d’un Skhirat 2.
L’annonce de la réunion de la semaine prochaine à Rabat intervient peu après les entretiens, du 27 août, entre le ministre des Affaires étrangères, Nasser Bourita, et la cheffe par intérim de la mission onusienne en Libye, l'Américaine Stéphanie Williams.
ya biladi
Il a affirmé que la réunion dans la capitale marocaine entre dans le cadre des «consultations informelles comme cela s’est déjà produit par le passé» entre des représentants du Parlement de Tobrouk et des membres de l’instance qu’il préside.
«Il n’y a pas pour l’heure de réunions officielles entre le Haut Conseil d’Etat et le Parlement», a-t-il indiqué, ajoutant que les consultations entre personnalités influentes de la scène libyenne sous les auspices des Nations Unies que ce soient à Rabat ou à Genève «ne constituent pas une alternative au dialogue politique».
Adel Kermouss, membre du Haut Conseil d’Etat, a souligné sur auprès de l'agence de presse russe Sputnik que la rencontre de Rabat entre des représentants de l’Ouest et l’Est a pour objectif de «préparer le terrain à des réunions officielles ultérieures sous les auspices des Nations Unies».
De son côté le porte-parole du Parlement de Tobrouk, Abdellah Blihak a également confirmé la rencontre de Rabat, «Elle vise à poursuivre le dialogue politique jusqu'à la fin de la crise libyenne», a-t-il confié à un média arabe.
Malgré les obstacles et les ingérences étrangères, les représentants de l’Ouest et de l’Est s’accordent à donner du crédit à la médiation marocaine, qu'ils qualifient de neutre. Les Nations unies partagent également cette vision. Les Etats-Unis, acteurs majeurs sur la scène internationale, encouragent également les parties à discuter pour une signature d’un Skhirat 2.
L’annonce de la réunion de la semaine prochaine à Rabat intervient peu après les entretiens, du 27 août, entre le ministre des Affaires étrangères, Nasser Bourita, et la cheffe par intérim de la mission onusienne en Libye, l'Américaine Stéphanie Williams.
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