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C’est pour cela que les élus locaux A Tizi Ghennif ont pris une initiative afin d’y remédier : Des parcs de stationnement pour les jeunes.
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“C’est une décision qui arrive au bon moment. Il faudrait que le conducteur sache à qui s’adresser et où le faire.
Les gérants seront identifiées et joueront pleinement ce rôle”, dira un jeune qui postule à cette opportunité.
Aujourd’hui, on ne peut plus garer son véhicule en toute quiétude. Les rues de nos villes, même les plus petites, sont transformées en parcs de stationnement anarchiques si bien que le conducteur est harcelé de partout. Les tarifs sont excessifs allant entre trente et cinquante dinars.
Automobilistes agressés dans le cas où ils refuseraient de mettre la main à la proche : telles sont les situations vécues au quotidien. A Tizi Ghennif, les élus locaux ont pris une initiative louable à plus d’un titre afin d’éviter cette anarchie.
Car, jusqu’à aujourd’hui, on peut dire que c’est la seule ville qui échappe à ce dicktat. D’ailleurs, les cours des immeubles, aussi bien que les rues, ne sont exploitées.
Les responsables locaux ont lancé un appel en direction des jeunes pour se constituer en groupes afin d’exploiter des parcs de stationnement qui seront érigés selon des normes et avec des garanties (pour les automobilistes).
“C’est une décision qui arrive au bon moment. Il faudrait que le conducteur sache à qui s’adresser et où le faire. Les gérants seront identifiées et joueront pleinement ce rôle”, dira un jeune qui postule à cette opportunité. Et d’ajouter : “Nous avons vu ailleurs que le gardien disparaissait brusquement en dépossédant parfois ces usagers de leurs postes-cassettes ou autres pièces détachées”.
Ainsi, cette organisation au niveau de la ville évitera tous ces désagréments à tous ceux qui garent leur véhicule. D’un autre côté, l’opportunité sera donnée aux jeunes en vue d’avoir un emploi et aux collectivités de bénéficier de certains avantages.
En tout cas, cet appel a eu un écho favorable aussi bien chez les jeunes que chez les automobilistes qui se plaignent souvent de vols d’objets laissés dans leurs véhicules. Une source locale nous a fait savoir que des dossiers ont été enregistrés dès le lancement de cet appel. Si cette expérience est réussie, elle serait certainement suivie par d’autres initiatives ailleurs.
- La depeche de Kabylie
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“C’est une décision qui arrive au bon moment. Il faudrait que le conducteur sache à qui s’adresser et où le faire.
Les gérants seront identifiées et joueront pleinement ce rôle”, dira un jeune qui postule à cette opportunité.
Aujourd’hui, on ne peut plus garer son véhicule en toute quiétude. Les rues de nos villes, même les plus petites, sont transformées en parcs de stationnement anarchiques si bien que le conducteur est harcelé de partout. Les tarifs sont excessifs allant entre trente et cinquante dinars.
Automobilistes agressés dans le cas où ils refuseraient de mettre la main à la proche : telles sont les situations vécues au quotidien. A Tizi Ghennif, les élus locaux ont pris une initiative louable à plus d’un titre afin d’éviter cette anarchie.
Car, jusqu’à aujourd’hui, on peut dire que c’est la seule ville qui échappe à ce dicktat. D’ailleurs, les cours des immeubles, aussi bien que les rues, ne sont exploitées.
Les responsables locaux ont lancé un appel en direction des jeunes pour se constituer en groupes afin d’exploiter des parcs de stationnement qui seront érigés selon des normes et avec des garanties (pour les automobilistes).
“C’est une décision qui arrive au bon moment. Il faudrait que le conducteur sache à qui s’adresser et où le faire. Les gérants seront identifiées et joueront pleinement ce rôle”, dira un jeune qui postule à cette opportunité. Et d’ajouter : “Nous avons vu ailleurs que le gardien disparaissait brusquement en dépossédant parfois ces usagers de leurs postes-cassettes ou autres pièces détachées”.
Ainsi, cette organisation au niveau de la ville évitera tous ces désagréments à tous ceux qui garent leur véhicule. D’un autre côté, l’opportunité sera donnée aux jeunes en vue d’avoir un emploi et aux collectivités de bénéficier de certains avantages.
En tout cas, cet appel a eu un écho favorable aussi bien chez les jeunes que chez les automobilistes qui se plaignent souvent de vols d’objets laissés dans leurs véhicules. Une source locale nous a fait savoir que des dossiers ont été enregistrés dès le lancement de cet appel. Si cette expérience est réussie, elle serait certainement suivie par d’autres initiatives ailleurs.
- La depeche de Kabylie