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En Algérie, où la liberté de la presse est intégralement garantie, il est avant tout question de respecter les règles déontologiques, et de ne pas déverser son venin en œuvrant à déstabiliser le pays hôte, fort mal récompensé pour son extrême hospitalité.
Tout porte à croire qu’une ère nouvelle est en passe de s’écrire pour les médias lourds disposant de représentations en Algérie, notamment depuis l’arrivée du président Tebboune, qui a ouvert une nouvelle page avec les bureaux des médias étrangers exerçant dans le pays. Ceux-ci travaillent dans le respect des lois algériennes et ne s’ingèrent pas dans les affaires internes. Autrement qu’ils donnent l’information sans parti-pris.
Nous apprenons, en effet que l’Algérie, qui multiplie les signes de bonne volonté en direction de certaines de ces chaînes de télévision, dont nous avons eu à pâtir par le passé, a décidé de permettre le retour de certains de ces médias, dont le plus emblématique a toujours été la chaîne qatarie Al-Jazeera. Cette dernière, en effet, devrait rouvrir incessamment en Algérie. Celle-ci devrait signer son retour en grande pompe en assurant la couverture médiatique du référendum populaire prévu le premier novembre prochain autour de la révision constitutionnelle. C’est ce qui laisse croire d’ailleurs que les Qataris veulent ouvrir une nouvelle page avec l’Algérie Ce retour, insistent toutefois nos sources, devra s’accommoder avec le respect de certaines règles déontologiques de base. Il s’agit, expliquent nos sources, de se borner à exercer convenablement son métier, celui d’informer.
Cette ouverture algérienne en direction des médias étrangers qui font l’opinion dans le monde, avait déjà commencé par une cérémonie de remise d’agréments à plusieurs représentants de certains de ces médias de la part du ministère de la Communication. Celui-ci, dirigé par un professionnel qui connait ce métier sur le bout des doigts, avait imposé des règles de base afin de stopper cette continuelle clochardisation de la fonction de correspondant d’un quelconque média étranger. Nos sources, qui mettent en avant toute la bonne volonté de l’Algérie sous le règne du président Tebboune, excluent cependant le retour de la chaine saoudienne Al-Arabiya. Cette dernière, contrairement aux autres médias étrangers accrédités en Algérie, nous explique-t-on, a maintes fois franchi toutes les lignes rouges et les limites de la décence, en se transformant en un vulgaire organe de propagande et de déstabilisation en dépit de toutes les mises en garde et rappels à l’ordre qui lui avaient été adressés par les autorités algériennes. Nos sources précisent ainsi que cette chaîne ne sera plus autorisée à activer en Algérie, et que la décision en conséquence serait déjà prise.
Il faut dire, par ailleurs, que le président Tebboune, qui souhaite inaugurer une ère nouvelle dans les relations de l’Algérie avec les télés et les journaux étrangers, est favorable à une relation apaisée et basée sur le respect mutuel. En témoigne l’entretien qu’il a accordé, début juillet écoulé, à la chaîne France 24, au lendemain de sa diffusion d’un reportage tendancieux et les protestations d’usage qui s’en étaient suivies. En conclusion, l’Algérie, ouverte aux médias, et à la liberté de la presse, entend toutefois imposer respect et professionnalisme de la part des journalistes appelés à exercer sur son sol.
courrier dalgerie
Tout porte à croire qu’une ère nouvelle est en passe de s’écrire pour les médias lourds disposant de représentations en Algérie, notamment depuis l’arrivée du président Tebboune, qui a ouvert une nouvelle page avec les bureaux des médias étrangers exerçant dans le pays. Ceux-ci travaillent dans le respect des lois algériennes et ne s’ingèrent pas dans les affaires internes. Autrement qu’ils donnent l’information sans parti-pris.
Nous apprenons, en effet que l’Algérie, qui multiplie les signes de bonne volonté en direction de certaines de ces chaînes de télévision, dont nous avons eu à pâtir par le passé, a décidé de permettre le retour de certains de ces médias, dont le plus emblématique a toujours été la chaîne qatarie Al-Jazeera. Cette dernière, en effet, devrait rouvrir incessamment en Algérie. Celle-ci devrait signer son retour en grande pompe en assurant la couverture médiatique du référendum populaire prévu le premier novembre prochain autour de la révision constitutionnelle. C’est ce qui laisse croire d’ailleurs que les Qataris veulent ouvrir une nouvelle page avec l’Algérie Ce retour, insistent toutefois nos sources, devra s’accommoder avec le respect de certaines règles déontologiques de base. Il s’agit, expliquent nos sources, de se borner à exercer convenablement son métier, celui d’informer.
Cette ouverture algérienne en direction des médias étrangers qui font l’opinion dans le monde, avait déjà commencé par une cérémonie de remise d’agréments à plusieurs représentants de certains de ces médias de la part du ministère de la Communication. Celui-ci, dirigé par un professionnel qui connait ce métier sur le bout des doigts, avait imposé des règles de base afin de stopper cette continuelle clochardisation de la fonction de correspondant d’un quelconque média étranger. Nos sources, qui mettent en avant toute la bonne volonté de l’Algérie sous le règne du président Tebboune, excluent cependant le retour de la chaine saoudienne Al-Arabiya. Cette dernière, contrairement aux autres médias étrangers accrédités en Algérie, nous explique-t-on, a maintes fois franchi toutes les lignes rouges et les limites de la décence, en se transformant en un vulgaire organe de propagande et de déstabilisation en dépit de toutes les mises en garde et rappels à l’ordre qui lui avaient été adressés par les autorités algériennes. Nos sources précisent ainsi que cette chaîne ne sera plus autorisée à activer en Algérie, et que la décision en conséquence serait déjà prise.
Il faut dire, par ailleurs, que le président Tebboune, qui souhaite inaugurer une ère nouvelle dans les relations de l’Algérie avec les télés et les journaux étrangers, est favorable à une relation apaisée et basée sur le respect mutuel. En témoigne l’entretien qu’il a accordé, début juillet écoulé, à la chaîne France 24, au lendemain de sa diffusion d’un reportage tendancieux et les protestations d’usage qui s’en étaient suivies. En conclusion, l’Algérie, ouverte aux médias, et à la liberté de la presse, entend toutefois imposer respect et professionnalisme de la part des journalistes appelés à exercer sur son sol.
courrier dalgerie