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ACTULa meilleure réponse à la crise actuelle du capitalisme : la solidarité ouvrière à la base

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  • ACTULa meilleure réponse à la crise actuelle du capitalisme : la solidarité ouvrière à la base

    أفضل رد على الأزمة الحالية للرأسمالية: تضامن العمال في القاع

    La meilleure réponse à la crise actuelle du capitalisme : la solidarité ouvrière à la basePublié le 7 septembre 2020

    Dans le cours actuel, nourri de grèves dans tout le pays, aussi bien dans le secteur public que dans celui du privé, le patronat (Etat et privés) veut amener les travailleurs à penser qu’il n’est pas nécessaire de lui opposer de résistance.

    L’apparente inflexibilité, dont se targue le patronat, laisse quand même apparaître de nombreuses failles, puisqu’il n’a pas réussi à convaincre grand monde au sein de l’opinion publique et, contrairement à ses attentes, a suscité une éclosion de soutiens qui abondent même de l’extérieur du pays.

    Le patronat, s’il s’est servi chichement de la crise économique, aggravée par le couvre-feu sanitaire imposé par l’Etat capitaliste, pour procéder à une vague de licenciements inimaginable (plus de 500 000 travailleurs licenciés) qui lui permet de contenir la baisse de ses profits, la classe ouvrière l’a quand même « rattrapé ». Elle lui impose, aujourd’hui, un autre rapport à la crise. Par ses grèves, elle lui refuse le droit de lui faire payer la crise… celle des capitalistes. Voilà ce que veulent dire toutes ces grèves.

    Les grèves actuelles et celles à venir montrent que les travailleurs reprennent le chemin de la lutte. Progressivement, ils se démarquent de la peur qu’engendre la thèse des capitalistes : « Tout accepter au nom de la sauvegarde de l’emploi ». Ils découvrent finalement que s’il y a bien un chemin qui fait perdre l’emploi, c’est bien le silence… la résignation. Jamais emploi n’a été sauvegardé par l’acceptation ! Seule la lutte permet de le défendre et d’améliorer les conditions de son exercice.

    Toutes ces grèves montrent bel et bien que les attaques capitalistes ne sont pas acceptées pacifiquement par les travailleurs. Désormais, ces derniers, en lutte, ont décidé de tourner la page à pleins de mensonges dont les capitalistes les ont abreuvés. Pour porter un coup encore plus douloureux à ces capitalistes (Etat et privés), les travailleurs doivent comprendre que la réponse à la crise du capitalisme ne se trouve que dans la solidarité ouvrière à la base. Cette solidarité est la force qui rend possible la lutte et qui lui donne toute sa signification


    Dans le cours actuel, nourri de grèves dans tout le pays, aussi bien dans le secteur public que dans celui du privé, le patronat (Etat et privés) veut amener les travailleurs à penser qu’il n’est pas nécessaire de lui opposer de résistance.
    L’apparente inflexibilité, dont se targue le patronat, laisse quand même apparaître de nombreuses failles, puisqu’il n’a pas réussi à convaincre grand monde au sein de l’opinion publique et, contrairement à ses attentes, a suscité une éclosion de soutiens qui abondent même de l’extérieur du pays.

    Le patronat, s’il s’est servi chichement de la crise économique, aggravée par le couvre-feu sanitaire imposé par l’Etat capitaliste, pour procéder à une vague de licenciements inimaginable (plus de 500 000 travailleurs licenciés) qui lui permet de contenir la baisse de ses profits, la classe ouvrière l’a quand même « rattrapé ». Elle lui impose, aujourd’hui, un autre rapport à la crise. Par ses grèves, elle lui refuse le droit de lui faire payer la crise… celle des capitalistes. Voilà ce que veulent dire toutes ces grèves

    Les grèves actuelles et celles à venir montrent que les travailleurs reprennent le chemin de la lutte. Progressivement, ils se démarquent de la peur qu’engendre la thèse des capitalistes : « Tout accepter au nom de la sauvegarde de l’emploi ». Ils découvrent finalement que s’il y a bien un chemin qui fait perdre l’emploi, c’est bien le silence… la résignation. Jamais emploi n’a été sauvegardé par l’acceptation ! Seule la lutte permet de le défendre et d’améliorer les conditions de son exercice.

    Toutes ces grèves montrent bel et bien que les attaques capitalistes ne sont pas acceptées pacifiquement par les travailleurs. Désormais, ces derniers, en lutte, ont décidé de tourner la page à pleins de mensonges dont les capitalistes les ont abreuvés. Pour porter un coup encore plus douloureux à ces capitalistes (Etat et privés), les travailleurs doivent comprendre que la réponse à la crise du capitalisme ne se trouve que dans la solidarité ouvrière à la base. Cette solidarité est la force qui rend possible la lutte et qui lui donne toute sa signification.

    Les patrons de Cevital, de BSA et autres veulent donner l’impression que les grèves actuelles ne les ont pas du tout impressionnés. C’est absolument faux. Rien qu’à voir l’hystérie avec laquelle tout le clan bourgeois s’est mobilisé pour combattre les travailleurs suffit à conclure le contraire. En montrant tant de résistance contre les travailleurs, le patronat lance un double message à l’Etat capitaliste : le convaincre de ne pas céder aux exigences des travailleurs et, en même temps, lui mettre la pression pour céder plus aux patrons.

    Si les patrons résistent, les travailleurs doivent combattre. Si les patrons font pression sur l’Etat pour avoir plus, les travailleurs doivent contraindre l’Etat à céder à leurs exigences. Cependant, pour y arriver, il n’y a qu’un seul chemin : la solidarité ouvrière à la base.

    Mourad Bouaïche

  • #2
    La conscience du peuple algérien et de sa jeunesse est profondément socialiste et patriotique. Aucun algérien du peuple n'acceptera qu'une once du patrimoine algérien soit cédé au privé national ou étranger. L'idéologie étrangère qui "dirige" ou mieux brade le pays est vouée à l'échec car elle est basée sur l'illicite, le vol et la trahison des idéaux de Novembre. Le colonialisme français a utilisé le capitalisme. Nos dirigeants, sans honte, pille l'Algérie au nom de l'idéologie capitaliste du colonialisme français.

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