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Ramdane Abane, histoire de l'assassinat d'un leader de la révolution algérienne au Maroc

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  • Ramdane Abane, histoire de l'assassinat d'un leader de la révolution algérienne au Maroc

    En décembre 1957, alors que la révolution algérienne est affaiblie par les divisions, Ramdane Abane, l’un de ses leaders, est assassiné au Maroc. Une disparition mystérieuse que les Algériens citent encore pour fustiger leurs dirigeants ou critiquer l’emprise de l'armée sur le pouvoir.


    En Algérie, il est qualifié d’«architecte de la Révolution» et de «dirigeant le plus politique» du Front de libération nationale, qui a su fédérer et unir un ensemble de courants politiques au sein du mouvement de lutte contre l’occupation française. Autant de souvenirs qui marquent la mémoire Ramdane Abane, «principal organisateur du congrès de la Soummam», où les grandes lignes du mouvement révolutionnaire algérien ont été tracées. Mais les Algériens se souviennent aussi que c'est au Maroc que cette figure politique de premier plan fut assassinée par des militants du FLN.

    Fakshback : Nous sommes en août 1956. Le Front de libération national, créé il y a deux ans, organise ainsi un congrès clandestin en Kabylie, en pleine guerre d’Algérie. Baptisé «Congrès de la Soummam», il réunit ainsi les principaux dirigeants de la Révolution et émet un certain nombre de décisions.



    Mais plus tard, la délégation extérieure du FLN, installée au Caire et dirigée par Ahmed Ben Bella, va critiquer les conclusions de ce congrès. L’interception par la France d’un avion en provenance de Rabat et à destination de Tunis, et l’arrestation de cinq leaders du FLN algérien à bord de l’appareil, puis la bataille d'Alger ne feront qu’exacerber les luttes intestines au sein du mouvement.

    Ainsi, «le conflit émerge entre Abane et les militaires» du FLN, qui l’ont considéré comme une «menace à la révolution et à leurs aspirations autoritaires», écrit Salmi Mokhtar dans un article paru dans la revue Al Hikma des études historiques (numéro 15, 2018). Les dirigeants militaires Krim Belkacem, Abdelhamid Boussouf et Lakhdar Bentobal (appelés les «3B» du FLN), étaient «derrière la session du Conseil national de la révolution au Caire en 1957», qui a permis à l'armée de prendre les devants de la révolution et d’éclipser les politiciens.

    Un politique liquidé par les militaires du FLN

    Durant cette période, le Maroc venait d’obtenir son indépendance et le roi Mohammed V tenait à soutenir la révolution algérienne. Le royaume était ainsi un pays où les dirigeants de la révolution se rendaient librement, notamment dans les zones frontalières comme Oujda.

    Malgré des récits contradictoires sur les raisons ayant poussé Abane Ramdane à quitter l'Algérie à la fin de 1957, tous sont unanimes pour confirmer qu'il se trouvait bien au Maroc. Certaines sources indiquent qu'il avait fui vers le royaume alors qu’il était activement recherché par la France, tandis que d'autres avancent qu'il aurait été en mission au Maroc sans en préciser l'objet. Certains racontent qu’Abane aurait été attiré au Maroc pour rencontrer le roi Mohammed V.



    Citant «L’Heure des colonels» d’Yves Courrière, Salmi Mokhtar affirme ainsi que l’«architecte de la Révolution» se rend alors au Maroc pour rencontrer les autres leaders algériens. Ces derniers se seraient réunis à Tunis, à la veille de cette rencontre, pour décider de son sort. Ils optent ainsi pour sa liquidation et choisissent une «une ferme isolée entre Tétouan et Tanger», complètent Marc Imbeault et Gérard A. Montifroy dans «Géopolitique et pouvoirs : des pouvoirs de la géopolitique à la géopolitique des pouvoirs» (Edition L’Age d’Homme, 2003).

    «Il redoutait l’avenir d’une Algérie indépendante entre les mains de tels personnages. Les maquis, avait-il lancé à l’adresse de Krim, c’est une chose, la politique une autre qui ne se fait ni avec des analphabètes, ni avec des ignares», rappellent-ils. «Abane Ramdane paya de sa vie de ne pas avoir suivi les conseils de Ferhat Abbas : ne pas affronter les ‘3B’ (Ben Tobbal, Benkacem Krim et Boussouf) de front. Ce ne sera donc pas, du côté algérien, les politiques, les modérés qui prendront le contrôle du pouvoir effectif.»



    Assassiné au Maroc, sa dépouille rapatriée 13 ans après en Algérie



    Les versions divergent aussi sur la méthode employée pour son assassinat. Ses compagnons de lutte contre le colonialisme fourniront aussi des récits contradictoires sur les dirigeants ayant personnellement supervisé son exécution près de Tétouan.

    A en croire Salmi Mokhtar, Abane aurait été pendu devant les yeux des trois militaires. Mais après sa mort, le journal El Moudjahid, considéré comme le porte-parole de la révolution algérienne, avait tenté de dissimuler la question de l'assassinat d'Abane au Maroc, en publiant une photo en première page du leader et en titrant «Abane Ramadan est mort dans au champ d'honneur». Et d’évoquer des faits expliquant que le militant serait mort dans l'une des batailles, «après avoir subi des blessures entraînant une grave hémorragie» qui lui aurait coûté la vie.



    Les partisans algériens plaidant pour la primauté de l'action militaire ont également tenté de se débarrasser des hommes d'Abane Ramdane. Selon Farhat Abbas, chef du premier gouvernement intérimaire de la révolution, Hajj Ali, proche d’Abane, avait été arrêté avant ce dernier et transféré dans une villa au Maroc, où il aurait été interrogé. La torture l’aurait «poussé à préférer le suicide à la résistance», selon cette version.

    Quant à Abane Ramdane, sa dépouille restera au Maroc pendant 13 ans, avant d'être rapatriée en Algérie. Les Algériens soupçonnent, d’ailleurs, que la tombe de la place des Martyrs dans le cimetière d'Alia (banlieue d'Alger), qui porte son nom, serait vide, et que son lieu d’inhumation reste inconnu.



    Plus de 60 ans après cette disparition, la vérité sur les responsables de son assassinat manque aux ouvrages évoquant le parcours et la vie de ce militant. D’ailleurs, lors des manifestations du Hirak algérien né en février 2019, des manifestants ont brandi son portrait. «Abane Ramdane a laissé un testament : un État civil et non militaire», ont-ils scandé, en référence à l’appel du militant à donner les pouvoirs aux politiques et non aux militaires.



    Ya biladi

  • #3
    Les dirigeants militaires Krim Belkacem, Abdelhamid Boussouf et Lakhdar Bentobal (appelés les «3B» du FLN), étaient «derrière la session du Conseil national de la révolution au Caire en 1957», qui a permis à l'armée de prendre les devants de la révolution et d’éclipser les politiciens.
    Totalement erroné, c'était es services egyptiens et français qui étaient derrière le conseil du Caire...

    Citant «L’Heure des colonels» d’Yves Courrière, Salmi Mokhtar affirme ainsi que l’«architecte de la Révolution» se rend alors au Maroc pour rencontrer les autres leaders algériens. Ces derniers se seraient réunis à Tunis, à la veille de cette rencontre, pour décider de son sort. Ils optent ainsi pour sa liquidation et choisissent une «une ferme isolée entre Tétouan et Tanger», complètent Marc Imbeault et Gérard A. Montifroy dans «Géopolitique et pouvoirs : des pouvoirs de la géopolitique à la géopolitique des pouvoirs» (Edition L’Age d’Homme, 2003).

    «Il redoutait l’avenir d’une Algérie indépendante entre les mains de tels personnages. Les maquis, avait-il lancé à l’adresse de Krim, c’est une chose, la politique une autre qui ne se fait ni avec des analphabètes, ni avec des ignares», rappellent-ils.
    Abane Ramdane n'était pas un analphabète ni un ignare pas davantage une marionnette. Mais instructif que des français prétendent en savoir plus que d'autres sur son assassinat...
    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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    • #4
      L’interception par la France d’un avion en provenance de Rabat et à destination de Tunis, et l’arrestation de cinq leaders du FLN algérien à bord de l’appareil
      Le le vol de la trahison planifié par le prince héritier

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      • #5
        Le le vol de la trahison planifié par le prince héritier

        on va te croire toi ou Ait Ahmed (Allah yra7mah) qui était parmi eux...


        le mensonge, c'est pas parce que tu le répètes que ca va devenir vérité...

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        • #6
          " Le le vol de la trahison planifié par le prince héritier"

          Bien sûr! Sinon que l'avion marocain commandé par un équipage français fait gentiment sourire en tant que le subreptice.

          Ne pas oublier le statut de l'Indépendance dans l'interdépendance conféré par la France à la dictature marocaine. Autrement dit l'Hexagone est toujours chez lui au Maroc et fait ce qu'il veut contraignant à la complicité crasse son protectorat.

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          • #7
            Le le vol de la trahison planifié par le prince héritier
            Certains croient encore à cette mystification ...
            Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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            • #8
              malheureusement les assassinats politiques ne se sont jamais arrêtés le FLN et ses sbires ont pris le contrôle de l Algérie maintenant ont en paye les conséquences

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              • #9
                Reste une autre question relative à la complicité prouvée de la dictature marocaine dans le rapt de la délégation algérienne: pourquoi les "Six" furent libérés au Maroc et non en Algérie suite à la reddition de française?

                Enfin, dans son livre "Notre ami le roi", Gilles Perrault démontre sans aucune équivoque la participation de la dictature marocaine dans cette affaire qui constituera le premier détournement d'un avion de tous les temps.

                - La folle aventure de «Notre ami le roi», le livre qui a révélé la face noire d’Hassan II du Maroc

                Trente ans après sa parution, ce livre restera comme un événement marquant de l’histoire politique du Maroc, obligeant Hassan II à faire des concessions et suscitant de grands espoirs après l’arrivée au pouvoir de son fils, l’actuel roi Mohammed VI.

                Début septembre 1990, l’ambassadeur du Maroc à Paris, Abbas El-Fassi, apprend qu’un livre dévastateur sur le roi Hassan II (1929-1999) est sur le point de paraître aux éditions Gallimard. L’auteur, Gilles Perrault, n’est ni un militant obstiné ni un illuminé. C’est un écrivain à succès, avec à son palmarès plusieurs best-sellers dont Le pull-over rouge et L’orchestre rouge. Le livre qu’il s’apprêtait à publier porte un titre ironique mais acide, Notre ami le roi. Trente ans après, le souvenir est encore vivace-.

                Le Soir Belgique

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                • #10
                  pourquoi détourner le sujet, pourquoi cette propagande à la noix que tout le monde connait,

                  La liquidation physique de l’architecte de la Révolution a, d’une certaine façon, préfiguré le modèle despotique qui allait être adopté par l’Algérie indépendante.

                  Soixante ans après la disparition, dans des conditions dignes d’un roman d’espionnage, d’Abane Ramdane, une épaisse chape de plomb continue de peser sur la liquidation physique, en 1957, de l’architecte du Congrès de la Soummam par ses frères d’armes. Certes, des bribes d’informations, de témoignages et de récits de sources éparses, parfois difficiles à concorder, sont, depuis longtemps, colportées concernant ce dossier brûlant qui semble toujours faire peur à cette Algérie officielle qui ne veut pas regarder, en face, la propre histoire contemporaine du pays, si douloureuse fût-elle. Mais, ces témoignages épars et autres allégations, souvent impossibles à vérifier, n’aident pas à faire la lumière sur cet épisode de la guerre de Libération nationale dont l’impact sur l’Algérie post-indépendance se ressent toujours. À l’issue d’un colossal travail de mémoire accompli dans le sens de la recherche de la vérité sur ce crime commis par “les frères”, le Pr Belaïd Abane, cousin de l’homme de la Soummam, s’est attelé, des années durant, à un monumental travail de recherche pour tenter de comprendre ce qu’il s’est passé en cette période charnière du combat libérateur, amenant les frères d’armes à assassiner froidement, le plus intelligent, sans doute, d’entre eux. À travers son dernier ouvrage Vérités sans tabous. L’assassinat d’Abane Ramdane. Qui ? Comment ? Pourquoi ? Et après ? consacré à cette affaire, le Pr Abane compile les témoignages d’une douzaine de personnalités historiques et de figures de la libération, et pas des moindres, mais aussi des documents historiques, inédits pour certains, pour livrer une monographie complète sur cet assassinat politique commis par les colonels. Un assassinat qui, d’une certaine façon, a préfiguré le modèle despotique de l’Algérie indépendante. Ferhat Abbas, Lamine Debaghine, Réda Malek, Ali Haroun, Salah Goudjil, Mabrouk Belhocine, Mohamed Lebdjaoui, Amar Ouamrane, pour ne citer que ces acteurs de la guerre de Libération, ont apporté leurs contributions respectives à ce travail de mémoire. Une quête de vérité qui, à l’évidence, n’a pas été facile à mener, selon le propre témoignage de l’auteur. “Processus et volonté plus ou moins consciente de cicatrisation, ce livre fut forcément un parcours douloureux, pas à pas, de ce chemin de croix, que fut pour Abane, pressentant sa fin prochaine, le périple de Tunis à Rome et enfin à Tétouan, la destination finale de sa vie mais aussi le début d’un autre voyage dans la mort”, assure Belaïd Abane. Ce qui ressort de cette entreprise mémorielle est que de toutes les motivations évoquées par différentes sources et différents acteurs de cette période de la guerre de Libération nationale, un seul émerge : celui, en effet, relatif à la décision prise par Abane Ramdane de rentrer au pays, pour être sans doute, en conformité avec les résolutions du Congrès de la Soummam dont il a été un des principaux artisans. Le célèbre avocat Mabrouk Belhocine considère, d’ailleurs que “la décision d’Abane (…) était aux yeux des colonels (Boussouf, Bentobal et Krim, ndlr) un véritable casus belli qui a précipité la décision de mise à mort prise par les colonels à l’encontre de leur collègue du CCE”. La déclaration faite, précisément par Abane à la réunion du comité permanent du Comité de coordination et d'exécution (CCE), début novembre 1957, en présence de Krim Belkacem, Lakhdar Bentobbal et Mahmoud Chérif, constituait, sans doute, pour ses vis-à-vis un dépassement intolérable de ce qui constituait, à leurs yeux, une ligne rouge. “Drôle de politique pour des colonels ! Vous ne rêvez que négociations. Ce n’est plus le CCE mais le cessez-le-feu. Vous ne pensez plus combat mais pouvoir. Vous êtes devenus ces révolutionnaires de palaces que nous critiquions tant, quand nous étions à l’intérieur. J’en ai assez. Je vais regagner le maquis et à ces hommes que vous prétendez représenter, sur lesquels vous vous appuyez sans cesse pour faire régner votre dictature, je raconterai ce qui se passe à Tunis et ailleurs”, peste Abane devant ses pairs du CCE. Pour l’auteur, ce qui a déclenché la panique chez les 3B, ce n’est donc ni la position tranchée d’Abane sur la négociation avec la puissance coloniale ni le ton ironique et railleur, adopté pour l’exprimer, mais plutôt “sa décision de regagner le maquis”. Après la mort par strangulation de celui qui a réussi à unifier les rangs de la guerre de Libération et à lui donner un élan organisationnel salutaire, Ahmed Ben Bella, alors détenu à la prison de la Santé en France, est informé par les 3B de la liquidation. La réponse que Ben Bella adressa aux auteurs du crime surprend par sa teneur haineuse incommensurable, allant, dans sa diatribe, jusqu’à se délecter du sort réservé à une figure de la lutte libératrice. Mais il y a pire. Jugeons-en : “Nous accusons réception de votre courrier à savoir une lettre de Belkacem, une d’Abdelhafid et une d’Amar, qui nous a occasionné une vive joie (…). Nous ne pouvons donc que vous encourager dans cette voie de l’assainissement. Il est de notre devoir à tous (…) de nous montrer intraitables sur ce chapitre de l’épuration (…). Le devoir vous commande de ne pas vous arrêter là (…)”.
                  Épuration, assainissement… le texte, un concentré de rancœurs mal digérées, fait transparaître un appel clair à l’encouragement des méthodes expéditives et despotiques. L’Histoire a montré que ces “recommandations” ont été suivies à la lettre par ses correspondants qui, à leur tour, les ont transmises à leurs successeurs au pouvoir après l’Indépendance. Mais la liquidation d’Abane a-t-elle contribué à “assainir” les rangs de la Révolution comme pronostiqué par ses meurtriers ? La situation que décrit le colonel Ouamrane six mois après la liquidation d’Abane, dans son rapport au CCE, ne prête, en tout cas, à aucune équivoque. “Nous sommes tombés dans l’immobilisme, la stagnation. L’esprit révolutionnaire a disparu chez tous les dirigeants, cadres et militants pour laisser place à l’embourgeoisement, à la bureaucratie, à l’arrivisme, à la course aux honneurs, aux rivalités, à l’esprit de clan et de région. Le dégoût et le découragement se sont emparés des meilleurs.” À regarder de près, c’est étrangement la même situation que vit l’Algérie soixante ans après l’assassinat d’Abane. C’est dire que c’est peut-être à ce moment-là que le pays a pris le mauvais départ qui impacte aujourd’hui son avenir.

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                  • #11
                    Etonnamment, ni Ramdane Abane ni Mohamed Boudiaf- entre autres- n'ont jamais acquis l'aura international de Medhi Ben Barka.

                    Comment expliquer cette différence de mesure à la même aune?

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                    • #12
                      pourquoi détourner le sujet, pourquoi cette propagande à la noix que tout le monde connait,
                      Ce sont juste des c..s et des loupés qui tentent de salir la mémoire du généreux Ramdane Abane.

                      Les chacals du fln qui l'ont assassiné continuent a sévir en Algérie,leurs résidus font de la propagande pour faire diversion des problématiques que vit le citoyen, dans le seul but que tout ce beau monde et cette association historique de malfrats demeurent la bouche collé aux mamelons saillants du sol algérien.

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                      • #13
                        A relever que l'assassinat d'Ali Mecili n'a pas eu également le même écho que celui de Medhi Ben Barka et pourquoi ça? Mao avait insinué que certaines morts étaient dignes de celles d'insectes...celle de Ben Barka est pire qu'un cataclysme.

                        https://www.youtube.com/watch?time_c...ature=emb_logo


                        https://www.youtube.com/watch?time_c...ature=emb_logo

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                        • #14
                          «menace à la révolution et à leurs aspirations autoritaires»
                          Après presque 60 ans d'indépendance,la doctrine révolutionnaire et autoritaire continue de sévir en Algérie,le fln en a fait sienne et l'anp son bras armé, pour faire de l'Algérie un pays au parti unique,ce parti qui ne cesse de muer au grès des changements politiques mondiaux mais dont le but est resté immuable ,l'anp lui est toujours fidèle,la symbiose totale entre eux démontre l'impossibilité des algériens de se débarrasser de lui malgré leurs multiples tentatives.

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                          • #15
                            Est-ce que des monuments ou autres biens étatiques algériens ont été baptisés au nom de Ramdane Abane comme pour feu M. Boudiaf?

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