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Le DGED détient des milliers de vidéos sur les pratiques des français au Maroc
Un activiste rifain notoire a exprimé son étonnement lorsqu’il a appris qu’une poignée de journalistes français se sont manifesté à Paris pour exiger la libération de l’algérien Khaled Drareni.
Indigné, le militant rifain qui s’active sous le pseudo de Siha Siha a écrit : « Sacrés Hypocrites ! Ils n’ont jamais manifesté devant l’ambassade de Marrakech, oups, de Rabat ! Pourtant, les geôles marocaines sont pleines à craquer de prisonniers politiques ! ».
Grand connaisseur du Makhen et de la France, Siha Siha sait que les journalistes français, notamment les grandes figures de la télévision publique française, agissent sous la contrainte du Makhzen. Ce dernier garde dans ses armoires des précieux enregistrements de leurs soirées au Maroc avec les enfants et les homosexuels à Marrakech, la capitale mondiale du tourisme sexuel.
Sous les ordres des autorités marocaines, les principaux visages de l’information en France ont organisé lundi 7 septembre devant l’ambassade d’Algérie à Paris « avec un seul et même message, dixit TV5 Monde, il faut libérer Khaled Drareni ».
Ces mêmes chevaliers de la presse hexagonale se taisent sur le calvaire d’Omar Radi, le journaliste marocain qui se trouve en cellule d’isolement en raison de son combat pour la liberté de presse au royaume chérifien si cher aux élites françaises.
Ces mêmes journalistes ont gardé le silence sur l’emprisonnement, il y a trois ans, du directeur du site Badil, Hamid El Mahdaoui, qui vient d’être libéré après avoir purgé sa peine. Et que dire des activistes rifains condamnés à 20 ans de prison à perpétuité pour avoir revendiqué un hôpital et une université pour la région du Rif et les activistes des droits de l’homme sahraouis dont certains ont été condamnés à la perpétuité!.
08 septembre 2020
Maghreb online
Indigné, le militant rifain qui s’active sous le pseudo de Siha Siha a écrit : « Sacrés Hypocrites ! Ils n’ont jamais manifesté devant l’ambassade de Marrakech, oups, de Rabat ! Pourtant, les geôles marocaines sont pleines à craquer de prisonniers politiques ! ».
Grand connaisseur du Makhen et de la France, Siha Siha sait que les journalistes français, notamment les grandes figures de la télévision publique française, agissent sous la contrainte du Makhzen. Ce dernier garde dans ses armoires des précieux enregistrements de leurs soirées au Maroc avec les enfants et les homosexuels à Marrakech, la capitale mondiale du tourisme sexuel.
Sous les ordres des autorités marocaines, les principaux visages de l’information en France ont organisé lundi 7 septembre devant l’ambassade d’Algérie à Paris « avec un seul et même message, dixit TV5 Monde, il faut libérer Khaled Drareni ».
Ces mêmes chevaliers de la presse hexagonale se taisent sur le calvaire d’Omar Radi, le journaliste marocain qui se trouve en cellule d’isolement en raison de son combat pour la liberté de presse au royaume chérifien si cher aux élites françaises.
Ces mêmes journalistes ont gardé le silence sur l’emprisonnement, il y a trois ans, du directeur du site Badil, Hamid El Mahdaoui, qui vient d’être libéré après avoir purgé sa peine. Et que dire des activistes rifains condamnés à 20 ans de prison à perpétuité pour avoir revendiqué un hôpital et une université pour la région du Rif et les activistes des droits de l’homme sahraouis dont certains ont été condamnés à la perpétuité!.
08 septembre 2020
Maghreb online