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Réserves en devises : Le Maroc frôle les 32,5 Milliards dollars

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  • Réserves en devises : Le Maroc frôle les 32,5 Milliards dollars

    Le dirham s’est apprécié de 0,67% par rapport à l’euro et s’est déprécié de 0,21% vis-à-vis du dollar, au cours de la période allant du 03 au 09 septembre 2020, indique Bank Al-Maghrib (BAM).


    Au cours de cette période, aucune opération d’adjudication n’a été réalisée sur le marché des changes, précise BAM dans son dernier bulletin des indicateurs hebdomadaires.

    Au 4 septembre 2020, les avoirs officiels de réserve se sont établis à 296,9 milliards de dirhams (soit 32 Milliards et 400 millions dollars l'équivalent de 7 mois d'importations) , en hausse de 0,3% d’une semaine à l’autre et de 25,5% en glissement annuel. Le bulletin fait également savoir que la banque centrale a injecté, entre 3 et le 9 septembre, un montant de 24,5 milliards de dirhams sous forme d’avances à 7 jours sur appel d’offres. Tenant compte des injections de 41,8 milliards sous forme d’opérations de pension livrée, de 33,9 milliards dans le cadre du programme de soutien au financement de la TPME et de 5,9 milliards de dirhams au titre des opérations de swap de change, l’encours global des interventions de Bank Al-Maghrib ressort à 106,2 milliards de dirhams.
    Sur le marché interbancaire, le volume quotidien des échanges moyen s’est établi à 4,7 milliards et le taux interbancaire s’est situé au cours de la période à 1,5% en moyenne, selon la même source, qui note que lors de l’appel d’offres du 9 septembre (date de valeur le 10 septembre), Bank Al-Maghrib a injecté un montant de 24,3 milliards de dirhams sous forme d’avances à 7 jours.


    Sur le marché boursier, le MASI a diminué de 0,7%, portant sa contre-performance depuis le début de l’année à 16,1%, fait savoir la même source.


    Cette évolution reflète essentiellement les baisses des indices sectoriels des «bâtiments et matériaux de construction » de 0,9%, des «télécommunications » de 0,8% et des « banques » de 0,5%. En revanche, les indices des secteurs des «assurances» et des «distributeurs» ont augmenté respectivement de 0,9% et 0,3%.


    Pour ce qui est du volume global des échanges, il s’est chiffré à 263,5 millions de dirhams après 445,6 millions une semaine auparavant. Sur le marché central actions, le volume quotidien moyen s’est établi à 42,4 millions de dirhams contre 66 millions une semaine auparavant.

    Bank Al-Maghrib
    infomediaire


  • #2
    les reserves augmentent. Est ce parce qu'on importe moins a cause de la crise ou quoi au juste?

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    • #3
      septembre 2020, les avoirs officiels de réserve se sont établis à 296,9 milliards de dirhams
      tout le monde sait que le dirham n'est pas convertible...

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      • #4
        C'est avant tout grâce aux emprunts .avant la crise Covid 19 le Maroc avait 24 Milliards de réserves de change.
        Le pays a reçu presque 6 Milliards dollars de prêts dont 3 milliards dollars de la ligne de précaution du FMI...

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        • #5
          tout le monde sait que le dirham n'est pas convertible...


          C quoi le rapport!!
          Les chiffres sont ceux de reserves en devises. ach jab le DH dans tout ca.

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          • #6
            Les chiffres sont ceux de reserves en devises. ach jab le DH dans tout ca.
            les réserves de changes sont un concept flottant d'un pays à un autre.

            Je pense que bank el maghrib a codé cette expression.. Qd il dit que c'est l'équivalent de 7mois d'importation, il reste donc 4mois d'importation à couvrir soit les, quatre mois entre sept à déc

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            • #7
              Gallek il y a trente deux milliards de dollars de réserve, une autre arnaque comme celle du royaume milinaire, le pays est est endetté jusqu au coup , voilà une entourloupe du Makhzen Lehrigue à repris de plus belle et le chaumage bat son plein , comment faire pour rembourser les dettes contractées ????
              Faute de grives , nous mangeons des Merles

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              • #8
                depuis 5ou 6 ans, le maroc subit tous les ans, une balance commerciale négative. La dette extérieure a considérablement enflé. Un autre plan d'ajustement structurel est annoncé.

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                • #9
                  comment faire pour rembourser les dettes contractées ????
                  s’endetter encore!

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                  • #10
                    Que de prix Nobel 😁

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                    • #11
                      qq commentaires ridicules comme d'habitude

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                      • #12
                        On ne parle pas ici de dette extérieure
                        Bank AL Maghrib lui meme avait annoncé que la hausse des reserves de change est due essentiellement aux prêts contractés au sein des institutions internationales ,les réserves de change ont augmenté la dette aussi a explosé c'est très simple.Le plus important c'est que le rythme de la dépense des réserves est très bien contrôlé et ce tableau peut donner une explication plausible :

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                        • #13
                          Le PIB au Maroc s’établit à 1.106,8 milliards de DH en 2018, selon le HCP. La dette extérieure représente donc 29,5% du PIB. Un niveau confortable mais qui doit malgré tout être surveillé de près, car le service de la dette (remboursement du capital et des intérêts) se fait en devises étrangères et que la balance des paiements au Maroc est structurellement déficitaire.

                          Les réserves en devises ne représentent que l’équivalent de 5 mois d’importation de biens et services. Si de nouveaux emprunts internationaux vont les renforcer dans l’immédiat, ils occasionnent des sorties de devises annuelles supplémentaires.

                          41 milliards de DH de remboursements prévus en 2020
                          Au premier trimestre, la dette extérieure a coûté 5,5 milliards de DH en remboursements, dont 1,1 milliard d’intérêts. C’est le même montant qu’il y a une année. En ajoutant les prévisions de service de la dette des trois autres trimestres de l’année, 2019 devrait s’achever sur un coût de 29,15 milliards de DH, en hausse de 2% par rapport à 2018.

                          En 2020, l’Etat prévoit de payer 41,5 milliards de DH dont 8,9 milliards d’intérêts, rient que sur la base de l’encours actuel, c’est-à-dire sans prendre en compte les emprunts à venir.

                          Cela dit, on ne peut que qualifier la dette extérieure du Maroc de qualitative. La totalité de l’encours est emprunté à moyen et long termes, les trois quarts à taux fixe et la structures en termes de devises d’emprunts tend à s’équilibrer, avec 29% en dollar et 59% en euros.

                          De plus, les bailleurs de fonds sont diversifiés. 48% de la dette émane d’institutions internationales (Banque mondiale, FMI…), 28% de créanciers bilatéraux (pays de l’UE, pays arabes…) et seulement 23% de banques commerciales ou du marché financier international. Autrement dit, le gros de la dette est détenu par des partenaires du Maroc et non par des investisseurs financiers.

                          Pour rappel, la dette publique totale, c’est-à-dire en prenant en compte la dette intérieure du Trésor, s’élève à plus de 900 milliards de DH, soit 81,4% du PIB.

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                          • #14
                            la hausse des reserves de change est due essentiellement aux prêts contractés au sein des institutions internationales
                            ce n'est pas évident, des réserves alimentées par de la dette.
                            Payer des intérêts sur des réserves.

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                            • #15
                              Il y deux valeurs sûres sur les quelles peut compter le Maroc sans se tromper,les phosphates et ses produits agricoles,il sera toujours au dessus de la moyenne , même si la crise sanitaire dure il s'en sortira grâce a elles.

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