« Sur les 1200 PC, destinés aux lauréats du bac session 2008, acquis pour un montant de 860 millions de dinars, 226 seulement ont été remis à l’Office du bac. Une partie a été distribuée à des épouses d’ambassadeurs, des journalistes, des fils de cadres du ministère de la Solidarité, quant au reste, aucune traçabilité n’a été possible ».
C’est ce dont a fait état le représentant du ministère de la Solidarité lors du procès de Djamel Ould Abbes, ainsi que son successeur Said Barkat durant la période où ils trônaient à la tête de ce département.
Le quotidien El Watan qui rapporte l’information dans sa synthèse du procès parue, ce mardi 15 septembre, ajoute que le ministère de la Solidarité indique qu' »une somme globale de 1857 milliards de centimes, soit 18,57 milliards de dinars, destinée aux personnes vulnérables et faibles, dans le besoin, est partie malheureusement dans les poches des plus riches ».
« Une corruption d’un niveau très spécial«
« Nous sommes devant une corruption d’un niveau très spécial, parce qu’elle consiste en la dilapidation des fonds destinés à des pauvres, des handicapés, des personnes qui parfois n’ont même pas de quoi nourrir leurs enfants et qui ont servi à la construction de châteaux, à l’acquisition de voitures de luxe et à l’achat de billets pour des destinations de rêve », s’insurge le représentant du ministère de la Solidarité.
Et de conclure : « Ces ministres, dont la mission est de protéger l’argent public, ont bien appliqué l’adage qui dit : ‘‘Offrez-vous des cadeaux et aimez-vous.’’ .
Ma Revue De Presse DZ
C’est ce dont a fait état le représentant du ministère de la Solidarité lors du procès de Djamel Ould Abbes, ainsi que son successeur Said Barkat durant la période où ils trônaient à la tête de ce département.
Le quotidien El Watan qui rapporte l’information dans sa synthèse du procès parue, ce mardi 15 septembre, ajoute que le ministère de la Solidarité indique qu' »une somme globale de 1857 milliards de centimes, soit 18,57 milliards de dinars, destinée aux personnes vulnérables et faibles, dans le besoin, est partie malheureusement dans les poches des plus riches ».
« Une corruption d’un niveau très spécial«
« Nous sommes devant une corruption d’un niveau très spécial, parce qu’elle consiste en la dilapidation des fonds destinés à des pauvres, des handicapés, des personnes qui parfois n’ont même pas de quoi nourrir leurs enfants et qui ont servi à la construction de châteaux, à l’acquisition de voitures de luxe et à l’achat de billets pour des destinations de rêve », s’insurge le représentant du ministère de la Solidarité.
Et de conclure : « Ces ministres, dont la mission est de protéger l’argent public, ont bien appliqué l’adage qui dit : ‘‘Offrez-vous des cadeaux et aimez-vous.’’ .
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