Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Les classements de la honte: L'Algérie derrière la Tunisie et le Maroc dans ces domaines

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Les classements de la honte: L'Algérie derrière la Tunisie et le Maroc dans ces domaines

    Malgré ses énormes richesses en hydrocarbures, l'Algérie a été tellement sabotée et mal gérée par les mafieux du cartel ANP/FLN que notre pays se retrouve classé derrière la Tunisie et le Maroc dans de nombreux classements importants, à commencer par les classements liés à l'économie, l'innovation, la corruption...etc. Pire encore, l'Algérie est aussi classée derrière la Tunisie et le Maroc dans la liberté de la presse et la démocratie.

    Quelques exemples de classements:

    - Doing Business 2020: l'Algérie est 157e sur 190 pays derrière la Tunisie (78e) et le Maroc (53e)
    - Indice mondial de l'innovation 2019: L'Algérie est 113e sur 129 pays derrière le Maroc (74e) et la Tunisie (70e).
    - Indice de la perception de la corruption 2019: L'Algérie est 106e sur 180 pays derrière le Maroc (80e) et la Tunisie (74e).

    Ces 3 classements sont très importants dans la mesure où ils illustrent la compétence d'un Etat (gouvernement, parlement, administrations, lois, justice...etc), la qualité de sa gestion de l'argent public et la capacité de l'Etat à générer et à attirer des investissements privés locaux et étrangers pour alimenter le développement et la croissance économiques.

    En guise d'humiliation suprême infligée par les mafieux du cartel ANP/FLN à notre pays, l'Algérie qui se targue d'être "une république démocratique et populaire", est littéralement classée derrière la monarchie alaouite du charlatan Mohamed VI dans la liberté de la presse et les libertés politiques (voir images).

    Les images sont tirées de l'Indice de progrès social 2020 (Social Progress Index 2020) publié récemment.


    Algérie.


    Maroc.


    Tunisie.

  • #2
    L'Algérie a depuis les années 70 déplorée " la fuite des cerveaux " . Je témoigne que durant les années 70 et 80 l'Algérie offrait des bourses d'études à l'étranger , en RDA, en France , en Angleterre , aux états unis d'Amérique à Boston etc... dans le cadre de contrats de formations et de recrutement dans des sociétés étatiques et avec un présalaire de 80 % du salaire à la dernière année d'études .

    Beaucoup de ces ingénieurs et élites qui devaient servir leur pays , on les voyaient ailleurs et ne sont jamais revenus pour l'Algérie .

    J'étais dans le milieux universitaire et je confirme ce que j'ai dis .

    Veux tu encore autres choses ?

    Commentaire


    • #3
      l'algerie reste leader en afrique en terme de devellopement humain.

      son probleme elle sous estime la forme
      c'est un probleme chez les socialiste..

      tu as par exem0le une bonne universitè dans le fond
      mais dehors ça ressemble a un gourbi..

      les pays capitaliste a l'interieur c'est un gourbi vu de l'exterieur on dirait university of california..

      j'etais un peu partout en europe..nos universitès sont surequipè mais moins utilisè..certaine universitè n'ont meme pas de quoi faire une petite experience je parle de materiel lourd d'analyse ils envoient leur echantillon un peu partout dans le monde..

      rienque a l'universitè ou j'etais a oran tlmcen chaque universitè avait ses propre materiel lourd..on trouve deux microscope electronique a balayge par universitè un pour les semiconducteur et l'autre pour la facultè des science fondamental..
      alors qu'en france y'a un qui fait l'analyse pour toute les universitè..

      l'algerie avait subit un matracage mèdiatique..nos ledia etaient entre les mains d'ignard du FLN..il ne faisait que le matracage revolutionnaire de guerre. ils n'ont pas affronter le matracage mediatique hostil a l'algerie soit par haine soit par jalousie comme le fond nos voisins...

      Commentaire


      • #4
        Sidi Bel-Abbès abritait dès les années 70 la SONELEC qui était devenue rapidement le fleuron de l'industrie électronique en Algérie et en Afrique . La SONELEC fabriquait ses propres composants électroniques passifs ( résistances , condensateurs , self , et presque tous les composants constituants les téléviseur et récepteurs radio de conception SONELEC ) et actifs ,semis conducteurs, diodes , transistors etc...et en 1985 la SONELEC avait produit son premier circuit intégré 100% Algérien et le président CHADLI BENDJEDID en personne était venu féliciter cette entreprise et le personnel ,et depuis elle avait développé d'autres composants électroniques en progression continu .


        Sidi Bel-Abbès | Technopôle industriel électronique de l'Algérie




        https://www.youtube.com/watch?v=LBuiu0BO3G8

        29 janv. 2017 . Sidi Bel-Abbès confirme son statut de pôle électronique, à travers l’inauguration, aujourd’hui, de l’Unité d’intégration par le ministre de l’Industrie et des Mines, Abdessalem Bouchouareb. La mise en service de cette unité a été le fait saillant de cette tournée qui fut une opportunité pour le membre du gouvernement d’étaler les ambitions de son département et les perspectives à atteindre dans la mise à niveau et la refondation d’une industrie obéissant aux seuls paramètres de la rigueur, de l’efficacité et de la rentabilité ou de la performance.

        Le ministre a expliqué les dispositions de relance prises par le gouvernement conformément au programme du Président de la République à chacune de ses haltes et lors de son point de presse, notamment pour situer une projection reposant sur le savoir-faire et l’esprit d’innovation de l’opérateur national (public ou privé), rappelant les formules d’encouragement et de stimulation initiée déjà. «Si nous avons dégagé l’objectif d’un taux de croissance de l’ordre de 5% à atteindre en 2019, il est impératif d’ores et déjà de se concentrer sur celui de l’intégration avec 60 % et plus…».

        Un souci animant sans cesse M. Bouchouareb qui avait d’ailleurs incité les gestionnaires de l’ENIE à s’inscrire dans le progrès de cette haute technologie et être à l’écoute de son évolution avant tout acte d’entreprise. C’est en inspectant le chantier de la future unité de fabrication de panneaux photovoltaïques que le ministre à tenu à insister sur les règles d’un processus de production devant s’inscrire, a-t-il souligné, aux normes mondiales. Bref, une série de recommandations faites avant l’inauguration de cette unité d’intégration considérée comme étant une base de la filière et un espace de sous-traitance avec d’autres operateurs dans la confection de cartes et autres produits. Son programme de production s’articule autour de la fabrication de 1000.000 de cartes électroniques, l’assemblage de 300.000 produits finis et l’intégration de pièces plastiques et polystyrene. Il est précisé que l’usine Renault à titre d’illustration est en discussion pour un éventuel contrat de sous-traitance.

        Auparavant, le ministre devait se rendre au complexe CMA-SAMPO spécialisé, au titre d’un partenariat finlandais, dans la production du matériel agricole de récolte avec une capacité de 1.000 moissonneuses-batteuses /an. A ce niveau, M. Bouchouareb est revenu sur l’approche conçue dans le domaine avec les complexes de Constantine et le caractère de globalité dans le processus de fabrication avec la perspective d’assurer un taux d’intégration maximal.

        Aussi, trois entreprises privées étaient au menu de cette visite qui a permis de relever les aptitudes de l’operateur national et sa force de travail et d’adaptation aux exigences du marché et aux besoins de l’économie. «J’ai relevé avec fierté le niveau d’exercice et la haute performance de ces operateurs privés à l’image du Groupe Hasnaoui ou de Chiali, soucieux non seulement, de la réalisation de leurs plans de charge mais également de la notion de compétitivité en accordant une importance particulière à la formation du personnel, au perfectionnement de l’encadrement et à l’introduction des nouvelles techniques de gestion et d’innovation. «Il faut inclure prochainement, d’ailleurs, dans le cahier des charges lors de la construction des ouvrages et équipement la clause d’intégration des produits ou matières des producteurs nationaux».


        https://www.google.com/imgres?imgurl...MygGegUIARCYAQ

        https://www.google.com/imgres?imgurl...MygGegUIARCYAQ

        SIDI BEL-ABBÈS : L’ENIE, fleuron de l’industrie électronique
        Après de longues années d’incertitude et d’appréhension, aux répercussions évidentes sur la vie de la cité de la Mekkerra et de sa population, le complexe industriel retrouve des couleurs.

        PUBLIE LE : 31-03-2015 | 23:00



        Après de longues années d’incertitude et d’appréhension, aux répercussions évidentes sur la vie de la cité de la Mekkerra et de sa population, le complexe industriel retrouve des couleurs.

        Une fierté pour les habitants certainement, car il fut cet élément d’instauration d’un tissu industriel, un outil de promotion sociale et un espace de formation pour des milliers de jeunes. Il a été aussi ce moyen d’émancipation de la femme de l’Algérie profonde pour briser tous les tabous et enraciner la culture de l’égalité. Sur les 6.000 ouvriers de l’époque, en effet, pas moins de 2.000 opératrices et cadres participaient activement à l’activité d’une production qui se voulait multiple et complémentaire.
        Circuits imprimés, condensateurs, tubes cathodiques et autres, la gamme de production ne laissait point oisif un collectif qui s’est graduellement familiarisé avec cette haute technologie de pointe pour maîtriser son processus. Même les zones du sud de la wilaya furent «contaminées» par l’introduction de cette technologie de pointe, puisque dans le cadre d’un redéploiement et d’une reconfiguration du complexe, deux unités, dans l’audio et les antennes, devaient voir le jour, respectivement à Telagh et à Ras El-Ma. Faut-il encore rappeler les répercussions et incidences de cette mutation industrielle dans la promotion des autres secteurs, notamment la santé, puisque la première société de médecine du travail a été créée à Sidi Bel-Abbès… C’est dire toute la dynamique provoquée par cette entreprise qui conditionnait la vie socio-économique de la région. «Sidi Bel-Abbès a la chance d’avoir ce grand complexe pour connaître, tôt ou tard, une certaine dimension. Elle demeure ce passage obligé pour le développement de la filière électronique», ne cessait de répéter son premier directeur général, il y plus de 35 ans. Une telle impression, qui restait confortée par un travail de recherche et d’innovation perpétuellement soutenu, était convaincante au vu des résultats enregistrés, des nouveaux produits mis au point et de l’évolution de l’esprit d’entreprise détecté dans l’analyse, le comportement et l’attitude de ses cadres.
        Un esprit d’entreprise à travers l’initiation de projets futuristes dont on citera la création de l’unité des panneaux solaires, en 1984 déjà, et la conception des premiers prototypes. Autrefois Sonelec, la restructuration de l’entreprise dont le siège a été transféré à Sidi Bel-Abbès est intervenue, à point nommé, pour assurer une autonomie et attribuer plus de prérogatives et de liberté d’action aux gestionnaires, en prise avec la réalité et les contraintes des unités de production et d’un marché mondial constamment en évolution. La mesure de la décentralisation a permis une meilleure maîtrise de l’outil de production et une diversification de la gamme des produits électroniques grand public, avec ce souci constant de perfectionner le taux d’intégration.
        Un départ en fanfare de cette entreprise, qui accélérait au fil du temps, en imposant une présence grâce à la fiabilité de ses produits et à la création d’un réseau national de maintenance dans toutes les régions du pays. S’il est vrai que la crise économique de 1986 a quelque peu ralenti sa cadence, il n’empêche que les changements opérés depuis 1988 ont secoué les fondements de cette entreprise, après notamment le départ de ses premiers promoteurs. Des mouvements ayant favorisé une instabilité pour s’écarter des principaux objectifs de la rentabilité et de la performance… Des secousses et des turbulences au gré des contextes pour brouiller l’image et douter de la performance avérée d’un écran conçu et développé par un collectif qui s’est spécialisé dans cette technologie de pointe, pour acquérir un savoir-faire en la matière et exceller dans la mise au point du tube cathodique, l’ENIE a subi malgré elle les effets d’une mutation économique nationale, arrivant difficilement à faire face à une ouverture où la concurrence demeure peu loyale. D’une restructuration à une autre, réduisant son champ d’action, des arrêts de travail et des grèves à caractère répétitif pour revendiquer la préservation d’un outil industriel... tout semblait être perdu en l’absence d’une vision et d’un véritable plan de charge, puisqu’on se contentait d’actes de montage de téléviseurs balayant de facto tout un processus de conception et de recherche, de fabrication et de production, d’adaptation et de mise à niveau aux normes internationales.

        .../...
        Dernière modification par wahrani, 16 septembre 2020, 10h38.

        Commentaire


        • #5
          .../...

          Des gestionnaires se sont succédé sans trouver les formes de relance pour abandonner la bataille et tourner le dos à cette entreprise devenue une véritable problématique. Et à chaque échéance électorale, le devenir de ce géant de l’électronique était soulevé pour constituer souvent un enjeu pour le formations politiques qui exploitaient cette situation de précarité pour convaincre ces centaines de travailleurs en attente d’une bouée de sauvetage ou d’une issue. Le Président de la République avait lors de la Foire internationale tenue à Alger, visité le stand de l’ENIE pour relever la performance des produits du complexe de Sidi Bel-Abbès et situer ses capacités de maîtrise de cette haute technologie de pointe. Un véritable acte de marketing comme pour inciter le responsable du département industriel et des gestionnaires de l’ENIE à revoir la copie et à œuvrer dans le sens de la réhabilitation de ce complexe. Ce clin d’œil s’assimilait, en fait, à un message fort pour la reprise et la relance, la remise à niveau et l’adaptation des unités aux exigences du progrès et de l’évolution de la filière… Un défi semblait être lancé, surtout que l’héritage était lourd à travers les dettes cumulées, se chiffrant à des centaines de milliards de dinars. Toujours est-il qu’une lueur d’espoir se dégageait à l’horizon pour motiver un collectif, mobiliser des cadres et soulager une population locale accrochée, à son tour, aux battements de ce complexe. Des tentatives de reconquête d’un marché furent initiées, mais assez timidement, dans la mesure où il fallait tout revoir et s’inscrire dans le temps pour la reconfiguration du complexe, la définition des perspectives à atteindre et l’élaboration d’une stratégie durable et soumise aux impératifs de l’évolution de la filière et d’un progrès technologique. La tendance au changement et à l’adaptation n’excluait nullement l’effort consenti dans le domaine du montage de nouveaux téléviseurs haut de gamme pour entretenir une activité, en dépit de tous les aléas et les contraintes d’un marché désormais inondé et peu conforme aux règles de la commercialité. Un véritable combat est livré par les gestionnaires qui tentaient de se maintenir et de s’acquitter des charges d’une masse salariale, nonobstant le départ des centaines d’ouvriers dans le cadre de la restructuration organique. Un combat relayé, le plus souvent, par une recherche des voies et moyens à mettre en œuvre dans le cadre du CPE pour le redressement de la situation, la réhabilitation du complexe et la modernisation des équipements.
          Aussi entretenue soit-elle, une telle cadence ne suffisait pas pour arriver à une destination, au vu de la défaillance structurelle et financière de l’entreprise. Une situation de précarité menaçant l’existence même de ce complexe, se limitant à un montage de produits pour perdre tous les repères d’innovation et de recherche. Une précarité ayant soulevé des interrogations multiples, rendant la gestion problématique et entretenant une certaine psychose où s’entremêlaient les sentiments d’incertitude et de crainte.

          2011, l’année de tous les espoirs…
          Si de tels sentiments manifestés par tout un collectif des travailleurs demeurent légitimes, les préoccupations des pouvoirs publics convergeaient également pour reprendre le dossier de l’ENIE et d’explorer son contenu, avant d’annoncer un plan de développement et fixer les axes stratégiques qui s’articulaient autour, principalement, de la reconquête des parts de marché de l’EGP, de la promotion de nouvelles activités à forte valeur ajoutée. En d’autres termes, il s’agissait d’adapter le produit à la demande du marché, de lancer le LCD, le LED et le PCP, de se lancer sur les produits professionnels et sous-ensembles, notamment les cartes, les modems, les monitors et les régulateurs, et de se spécialiser dans les solutions énergétiques à base de panneaux photovoltaïques, et produire au compte de partenaires.
          Une enveloppe, de l’ordre de 14,240 de milliards de dinars, fut accordée par l’État pour la réhabilitation de l’infrastructure et l’acquisition de nouveaux équipements destinés à augmenter la production et à lancer de nouvelles gammes de produits dans les segments de l’intégration électronique, de la solution photovoltaïque, de la calibration et de l’étalonnage, de la recherche et du développement, de l’informatique, du circuit imprimé, de l’affichage à base de LED et de la télésurveillance…
          De concert avec le SGP, un planning fut élaboré pour l’exécution de ce plan de charge qui a, en effet, mobilisé tout un collectif, constamment accroché à l’évolution du chantier. L’usine de l’intégration électronique, qui a été mise en service en février dernier, s’assimile à un coup d’envoi, donné de par sa consistance et sa modernité, sa base et son champ d’action demeurant conforme à la première vocation de l’entreprise. Ses objectifs tablent sur la fabrication de 1.000.000 de cartes électroniques/an, l’assemblage de 300.000 produits finis/an en téléviseurs LCD, LED et PDP, en monitors, décodeurs, appareils audio/vidéo et onduleurs avec une intégration de toutes les pièces plastiques et polystyrènes afférentes.
          On compte, en revanche, réceptionner, le mois de mai prochain, celle de la fabrication des panneaux photovoltaïques dont la production en cellules est destinée, dans une deuxième phase, aux utilisateurs nationaux grâce à une partenariat technologique et industriel avec un leader dans le domaine. L’autre champ visé par l’ENIE, et à des coûts compétitifs, concerne les applications professionnelles, communautaires et d’électrification. Pour les unités d’étalonnage et de recherche, le rendez-vous est donné au mois de septembre prochain. C’est dire tout le rythme soutenu pour honorer un engagement et s’acquitter d’une mission devenue une raison d’être pour les gestionnaires. Des réunions d’évaluation, des cycles de formation des nouvelles recrues et des visites régulières de chantiers, une véritable course contre la montre est livrée pour relever le défi et s’inscrire dans le sillage de cette option industrielle et imposer un savoir faire national.
          Un processus de modernisation est déclenché pour exiger, en plus d’une abnégation et d’un dévouement de tout le collectif, une stabilité et une sérénité garantissant le bon fonctionnement de cette entreprise qui revient de loin sans doute, mais pas sûr, au vu de l’importance des crédits accordés quant à sa réhabilitation…
          A. B.

          Commentaire


          • #6
            Institut de Génie Electrique et Electronique

            L'Institut National d'ELectronique et d'EleCtrique (INELEC) est créé en 1976 à Boumerdès après un agrément entre la Société Nationale de Fabrication et du Montage du Matériel Électrique et Electronique (SONELEC) et Education Development Center, EDC, Newton, Massachusetts, États-Unis.

            L'objectif de cet agrément est de créer un institut qui offre une formation solide en ingénierie électrique et électronique, s'inspirant des institutions américaines d'enseignement supérieur.

            Un consortium d'universités américaines est venu en appui pour la création de l'INELEC, dont :
            • Case Western Reserve University, Cleveland, Ohio.
            • Oklahoma State University, Still Water, Oklahoma.
            • Stevens Institute of Technology.
            • University of Houston, Houston, Texas.
            • University of Missouri-Rolla, Rolla, Missouri.
            • University of Wisconsin Stout, Menomonie, Wisconsin.
            • Wentworth Institute of Technology, Boston, Massachusetts.
            • Massachusetts Institute of Technology, Harvard, Massachusetts.
            • Purdue University, West Lafayette, Indiana.

            En 1998, L'université de M'hamed BOUGARA Boumerdès (UMBB) est créé sur la base du regroupement de six instituts nationaux:
            - Institut National des Hydrocarbures (INH),
            - Institut National de Génie Mécanique (INGM),
            - Institut National des Matériaux de Construction (INMC),
            - Institut National des Industries Manufacturières (INIM),
            - Institut National des Industries Alimentaires (INIA) et
            - Institut National d'Électronique et de génie Électrique (INELEC)

            L'INELEC devient le Département de Génie Électrique et Électronique (DGEE) à la Faculté des Sciences de l'Ingénieur (FSI) au sein de l'Université de M'hamed BOUGARA Boumerdès (UMBB), Gardant la méthode américaine d'enseignement supérieur et l'anglais comme langue de formation.

            En 2010, DGEE est promu au rang d'institut. L'IGEE (Institut de Génie Électrique et Électronique) adopte le système LMD, devient indépendant du coté financier, mais reste toujours sous la tutelle de l'UMBB.

            ----------------------------

            Commentaire


            • #7
              Encore plus , ? cela s'appelle du contre matraquage !

              Commentaire


              • #8
                En matière de formation universitaire et de développement technologique, Boumedienne a mis en place des stratégies de développement intersectorielles cohérentes et très ambitieuses.
                ثروة الشعب في سكانه ’المحبين للعمل’المتقنين له و المبدعين فيه. ابن خلدون

                Commentaire


                • #9
                  l'Algérie a été tellement sabotée et mal gérée par les mafieux du cartel ANP/FLN que notre pays se retrouve classé derrière la Tunisie et le Maroc dans de nombreux classements importants,
                  Peut-être que ceux qui ont saboté l'Algérie travaillent pour la Tunisie et le Maroc afin que notre pays reste toujours derrière eux et ne progresse jamais
                  Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
                  (Paul Eluard)

                  Commentaire


                  • #10
                    Les classements de la honte: L'Algérie derrière la Tunisie et le Maroc dans ces domaines
                    Dans ces 3 domaines et dans une multitude d'autres.
                    Vu ce régime qui ne change pas, la médiocratie a encore de très belles décennies devant elle.

                    Commentaire


                    • #11
                      Triste wallah
                      wahrani qu'est ce qu'elle est devenue l'Enie

                      A la mme époque que tu cites , un grand ingénieur Supélec justement est rentré de France

                      il est de mon village natal

                      un peu plus âgé que moi à l'époque est rentré pour ça

                      il était responsable d'abord de la fabrication d'une centrale électrique au Sahara non loin de chez moi et ensuite il est allé pour l'Enie

                      dis moi ce qu'elle est devenue

                      mon frère m'a dit qu'il est toujours à Sidi Belabess si je veux aller le voir mais je n'ai aucune idée ce qu'est devenue l'Enie, je crois qu'à un moment il enseignait à la fac

                      Commentaire


                      • #12
                        wahrani , pourquoi tout ce blabla ??? Tu m'as fatigué en citant le khorti du voleur Bouchouareb ..Situation du complexe ENIE aujourd'hui ???

                        Commentaire


                        • #13
                          Il y a un peu de tout,
                          - de la bureaucratie due à la lourdeur des administrations et organismes,
                          - du manque de courage à chambouler un système de fond en comble (Boumediene étant le seul à le faire, dans un cadre socialiste),
                          - de la paresse, l'argent facile de la rente coupe toute motivation.
                          - de la corruption interne encouragée par des ingérences étrangères afin de nous garder comme des éternels clients.
                          وإن هذه أمتكم أمة واحدة

                          Commentaire


                          • #14
                            ce mauvais classement est peut du au statistiques inexactes comme disait le president.
                            http://www.algerie-dz.com/forums/sho...d.php?t=471416

                            une fois les chiffres revus et corrigés le classement sera acceptable

                            Commentaire


                            • #15
                              Envoyé par Wahrani
                              L'Algérie a depuis les années 70 déplorée
                              C'est vrai, un grand gâchis, mais il faut se poser la question: pourquoi cet exode ?
                              F.E.A.R, has two meanings:Forget everything and runorFace everything and Rise.....Voilà !

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X