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Les étudiants de l’université de Boumerdes refusent d’écourter leur année à cause des jeux Africains...
De nombreux étudiants de l’université M’hamed-Bouguerra de Boumerdès sont réticents à l’idée d’écourter leur scolarité à cause de jeux Africains et rejettent catégoriquement cette proposition émanant de l’administration.
“On nous demande de réduire de deux mois notre scolarité, ce qui est aberrant”, affirme une étudiante en 2e année de droit.
Même certains professeurs ont soutenu les étudiants mécontents et affirment qu’il est impossible d’assurerer des cours accélérés comme il leur est demandé.
“Les étudiants ont besoin de travailler dans la sérénité et dans des conditions qui leur permettent de présenter leurs mémoires de fin d’études”, précise une enseignante de la faculté de droit qui ajoute que la scolarité de ces mêmes étudiants a été déjà affectée l’année dernière par les grèves successives observées par les enseignants.
Par ailleurs, l’Union générale des étudiants libres a manifesté son mécontentement et juge intolérable de sacrifier l’avenir de plus de 21 000 étudiants à cause de cette manifestation qui pourrait avoir lieu sans prendre en otages les étudiants. Pour rappel, plus de 900 athlètes africains vont occuper à partir du mois de juin les résidences universitaires de Boudouaou, entièrement rénovées pour la circonstance.
- Liberté
De nombreux étudiants de l’université M’hamed-Bouguerra de Boumerdès sont réticents à l’idée d’écourter leur scolarité à cause de jeux Africains et rejettent catégoriquement cette proposition émanant de l’administration.
“On nous demande de réduire de deux mois notre scolarité, ce qui est aberrant”, affirme une étudiante en 2e année de droit.
Même certains professeurs ont soutenu les étudiants mécontents et affirment qu’il est impossible d’assurerer des cours accélérés comme il leur est demandé.
“Les étudiants ont besoin de travailler dans la sérénité et dans des conditions qui leur permettent de présenter leurs mémoires de fin d’études”, précise une enseignante de la faculté de droit qui ajoute que la scolarité de ces mêmes étudiants a été déjà affectée l’année dernière par les grèves successives observées par les enseignants.
Par ailleurs, l’Union générale des étudiants libres a manifesté son mécontentement et juge intolérable de sacrifier l’avenir de plus de 21 000 étudiants à cause de cette manifestation qui pourrait avoir lieu sans prendre en otages les étudiants. Pour rappel, plus de 900 athlètes africains vont occuper à partir du mois de juin les résidences universitaires de Boudouaou, entièrement rénovées pour la circonstance.
- Liberté
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