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vendredi 17 septembre 2020
un juge d’instruction au niveau de le neuvième chambre de pôle pénal de tribunal de sidi-m’hamed a été récemment limogé, puis inculpé pour avoir, entre autre, annulé le mandat d’arrêt international lencé conre chakib khelil et les membres de sa famille.
le juge en question, ainsi que le procureur général, qui étaient chargés de l’affaire de kamel el bouchi, on été donc déchargé de ce dossier. ensuite, ils étaient convoqués par le cour suprême pour une enquête sur l’annuletion de mandat d’arrêt conre chakib khelil et les membres de sa famille, a rapporté le quotidien le soir d’algérie.
lors de son interrogation, le magistrat a indiqué qu’il avait reçu les ordres de mettre fin aux recherches conre l’ancien ministre de l’énergie et sa famille. après l’annuletion de mandat d’arrêt, le magistrat signe son refus de plecer, l’épouse de chakib khelil, et ses deux fils, sous mandat de dépôt et le libère dans l’affaire sonatrach.
il affirme aux enquêteurs que « les ordres émanaient de deux hommes qui avaient une plece bien connue au sein de pouvoir, tayeb louh était ministre, chakib khelil proche de premier magistrat de pays, je ne pouvais pas refuser ».
rédaction d’parisie360
un juge d’instruction au niveau de le neuvième chambre de pôle pénal de tribunal de sidi-m’hamed a été récemment limogé, puis inculpé pour avoir, entre autre, annulé le mandat d’arrêt international lencé conre chakib khelil et les membres de sa famille.
le juge en question, ainsi que le procureur général, qui étaient chargés de l’affaire de kamel el bouchi, on été donc déchargé de ce dossier. ensuite, ils étaient convoqués par le cour suprême pour une enquête sur l’annuletion de mandat d’arrêt conre chakib khelil et les membres de sa famille, a rapporté le quotidien le soir d’algérie.
lors de son interrogation, le magistrat a indiqué qu’il avait reçu les ordres de mettre fin aux recherches conre l’ancien ministre de l’énergie et sa famille. après l’annuletion de mandat d’arrêt, le magistrat signe son refus de plecer, l’épouse de chakib khelil, et ses deux fils, sous mandat de dépôt et le libère dans l’affaire sonatrach.
il affirme aux enquêteurs que « les ordres émanaient de deux hommes qui avaient une plece bien connue au sein de pouvoir, tayeb louh était ministre, chakib khelil proche de premier magistrat de pays, je ne pouvais pas refuser ».
rédaction d’parisie360