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Décès du sociologue et historien Abdelmadjid Merdaci

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  • Décès du sociologue et historien Abdelmadjid Merdaci

    Le sociologue et historien, Abdelmadjid Merdaci, est décédé jeudi soir à l'âge de 75 ans des suites d'une longue maladie, a-t-on appris vendredi auprès de sa famille.

    Diplômé en histoire, docteur d'Etat en sociologie, le défunt était professeur à l'université de Constantine. Historien et écrivain, il est l'auteur de plusieurs ouvrages sur le Mouvement national algérien et la Guerre de libération nationale, la musique algérienne et l'histoire de la ville de Constantine.

    Le défunt contribuait régulièrement aux quotidiens nationaux. Abdelmadjid Merdaci sera inhumé ce vendredi à Constantine.

    APS

  • #2
    Paix à son âme.

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    • #3
      triste nouvelle
      sinceres condoleances a sa famille et proche
      que dieu le benisse.
      The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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      • #4
        Allah yarahmou .
        condoléances à sa famille.
        ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
        On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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        • #5
          Allah irahmouh
          "A Dieu, nous appartenons et à Lui nous retournons"
          « Même si vous mettiez le soleil dans ma main droite et la lune dans ma main gauche je n'abandonnerais jamais ma mission". Prophète Mohammed (sws). Algérie unie et indivisible.

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          • #6
            Diplômé en histoire, docteur d’État en sociologie, Abdelmadjid Merdaci est professeur à l’université Mentouri, à Constantine. Historien et écrivain, il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur le Mouvement national algérien et la guerre d'indépendance, la musique algérienne et l’histoire de la ville de Constantine.


            Allah reprend un jour ce qu’il donne ! Toute chose lui appartient et chaque chose a une fin définie par Lui. Soyez patients !
            Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,

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            • #7
              Allah Yarahmou
              Sans lui dénier ses capacités intellectuelles, c'était un intellectuel du sérail
              Il faut rappeler que Meriem Merdaci (alias "Ana Lasstou Merfouda"), la célèbre ministre de la culture dans le gouvernement Bédoui, était sa fille

              Un papier d'Ali Bensaad sur Abdelmadjid Merdaci :

              Le respect des morts est au fondement de la civilisation humaine, d’ailleurs on date l’émergence de celle-ci avec le début des enterrements des morts qui vont marquer le détachement de l’homme du monde animal. C’est pourquoi, c’est le moment le plus émotionnel mais également pour cela le plus propice aux manipulations, l’émotion étant un terreau fertile, facile et propice aux manipulations où les plus avisés se font prendre. Beaucoup d’élections se sont joués sur cette émotion post-mortem et toujours, ce n’est que longtemps après que les survivants peuvent enfin trouver l’opportunité de pratiquer « leur droit d’inventaire ». L’émotion jette toujours un brouillard qui autorise les remodelages des parcours des morts alors que la décence paralyse les velléités de les corriger. C’est ainsi qu’on nous a fait passer Gaïd Salah pour un héros populaire qui a eu la mansuétude de ne pas massacrer son peuple.

              Plus que d’autres, et étant de Constantine comme le défunt Madjid Merdaci, je ne peux que m’incliner devant sa mort. J’aurais préféré en rester là, pour le moment. Mais il y’a des hommages qui ne se sont pas limités à la parole de respect et de compassion. Comme Abderrahmane Arkoub je m’insurge devant cet instrumentalisation qui glorifie quelqu’un qui n’a été qu’un universitaire de cour tel qu’il se dévoilera, pour ceux qui ne l’ont pas connu, lors de la nomination de sa fille comme ministre dont chacun sait à Constantine à quel point ses capacités intellectuelles la placent en dessous de la moyenne.

              Il n’en est pas seulement responsable, il en a fait un paravent derrière lequel, comme conseiller officiel, il a assumé les fonctions et les avantages de ministre, tel était le deal avec Bedoui. Sa complicité avec Bedoui est très ancienne, elle date du temps où celui-ci était wali de Constantine. Depuis très longtemps l’égo démesuré, le besoin maladif de reconnaissance et le goût du confort ont placé Madjid dans la recherche de l’intimité des élites du pouvoir , de tout type de pouvoir, depuis celui de l’Etat jusqu’à celui d’artistes ou d’intellectuels.

              A Constantine, localement, cette proximité était fièrement affichée par le défunt. Je ne vais pas me faire critique de ses productions. Ce que je sais, c’est que la plupart ont bénéficié de subventions officielles. Je ne lui dénie pas ses capacités intellectuelles. Comme d’autres, il les a perverties puis annihilées dans cette course à la proximité avec le pouvoir. Je partage également la colère de Anissa Benlazhar qui, après avoir vu son père, le premier assassiné par les terroristes en Algérie trainé dans la boue par le défunt, elle a assisté incrédule à son appropriation, comme trophée, par le défunt.

              Mes profondes divergences avec Madjid Merdaci, ma désapprobation de son comportement politique (que même sa fratrie a dénoncé publiquement et courageusement), ne m’empêche pas de me souvenir de moments partagés, de sa présence marquante, pas toujours pour le meilleur, dans la ville de Constantine et de m’incliner devant sa mort et de lui souhaiter de reposer en paix. S’il est vrai que la mort n’efface pas tout d’un défunt, elle appelle chez les survivants à une compassion et une mansuétude
              Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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              • #8
                Sans lui dénier ses capacités intellectuelles, c'était un intellectuel du sérail
                A se demander qui ne serait pas un intellectuel du sérail.

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                • #9
                  Comme Abderrahmane Arkoub je m’insurge devant cet instrumentalisation qui glorifie quelqu’un qui n’a été qu’un universitaire de cour tel qu’il se dévoilera, pour ceux qui ne l’ont pas connu, lors de la nomination de sa fille comme ministre dont chacun sait à Constantine à quel point ses capacités intellectuelles la placent en dessous de la moyenne.
                  C'est indécent !!!

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                  • #10
                    Paix à son âme,
                    Je le trouvais précis dans le choix des mots, clair et élégant avec les idées qu'il défendait.

                    Commentaire


                    • #11
                      il ne caressait pas l'histoire de l'Algérie dans le sens du poil, il voulait que certaines vérités historiques sortent au jour mais...

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