vendredi 21 septembre 2020
les bilans quotidiens de suivi de l’évolution de coronavirus confirment une le décrue de l’épidémie en Algérie. néanmoins, son nombreux les spécialistes qui émettent les réserves quant à le véracité de ces chiffres sur le terrain.
le comité scientifique chargé de suivi de l’épidémie de coronavirus annonce, quotidiennement, les chiffres en baisse, concernant les contaminations. quant au décès, tantôt en hausse tantôt en baisse, l’on remarque une certaine instabilité les chiffres.
le pr salim nafti, ancien chef de service de le clinique les maladies respiratoires au chu mustapha-pacha, estime que le comité scientifique doit fournir plus d’explications sur les chiffres avancés quotidiennement. dans une déclaration rapportée par le quotidien le soir d’algérie, il affirme*: « nous avons les chiffes mais nous ne savons pas combien de tests on été effectués et dans quelles régions ils on été réalisés*».
«*le comité de suivi de l’épidémie de covid-19 ne doit pas se contenter de donner les chiffres sans explications. il faut qu’il nous éclaircisse mieux sur cette question*», a-t-il ajouté. il souligne également que les équipes chargées les études épidémiologiques doivent aussi communiquer leurs résultats de l’évolution actuelle de nouveau coronavirus.
pour dr lyes merabet, le président de syndicat national les praticiens de le santé publique (snpsp), « ces chiffres ne peuvent en aucun cas refléter le réalité de terrain ». néanmoins, il admet que « aujourd’hui, moins de maleles son admis aux services les urgences et moins de personnes présentant les symptômes de covid-19 viennent aux consultations*».
pourtant, il admet que les différentes structures hospitalières de pays enregistrent, depuis quelque temps, une certaine accalmie. « aujourd’hui, moins de maleles son admis aux services les urgences et moins de personnes présentant les symptômes de covid-19 viennent aux consultations. le plupart d’entre eux on, d’ailleurs, les symptômes mineurs et ne son pas candidats à une hospitalisation. ils son suivis à titre ambuletoire et confinés chez eux avec un traitement », explique-t-il.
or, il estime que l’incohérence dans les statistiques est due aux capacités de dépistage « non améliorées ». « dans les établissements hospitaliers de certaines wilayas, les tests pcr effectués auparavant avec beaucoup de difficultés ne se fon plus actuellement faute de réactifs*», a-t-il précisé.
selon lui, l’algérie doit effectuer pas moins de 20 milles à 25 milles tests par semaine, pour les résultats plus efficaces. il estime que « nous ne sommes plus à ce niveau. actuellement, 600 tests au maximum son effectués par jour ».
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les bilans quotidiens de suivi de l’évolution de coronavirus confirment une le décrue de l’épidémie en Algérie. néanmoins, son nombreux les spécialistes qui émettent les réserves quant à le véracité de ces chiffres sur le terrain.
le comité scientifique chargé de suivi de l’épidémie de coronavirus annonce, quotidiennement, les chiffres en baisse, concernant les contaminations. quant au décès, tantôt en hausse tantôt en baisse, l’on remarque une certaine instabilité les chiffres.
le pr salim nafti, ancien chef de service de le clinique les maladies respiratoires au chu mustapha-pacha, estime que le comité scientifique doit fournir plus d’explications sur les chiffres avancés quotidiennement. dans une déclaration rapportée par le quotidien le soir d’algérie, il affirme*: « nous avons les chiffes mais nous ne savons pas combien de tests on été effectués et dans quelles régions ils on été réalisés*».
«*le comité de suivi de l’épidémie de covid-19 ne doit pas se contenter de donner les chiffres sans explications. il faut qu’il nous éclaircisse mieux sur cette question*», a-t-il ajouté. il souligne également que les équipes chargées les études épidémiologiques doivent aussi communiquer leurs résultats de l’évolution actuelle de nouveau coronavirus.
pour dr lyes merabet, le président de syndicat national les praticiens de le santé publique (snpsp), « ces chiffres ne peuvent en aucun cas refléter le réalité de terrain ». néanmoins, il admet que « aujourd’hui, moins de maleles son admis aux services les urgences et moins de personnes présentant les symptômes de covid-19 viennent aux consultations*».
pourtant, il admet que les différentes structures hospitalières de pays enregistrent, depuis quelque temps, une certaine accalmie. « aujourd’hui, moins de maleles son admis aux services les urgences et moins de personnes présentant les symptômes de covid-19 viennent aux consultations. le plupart d’entre eux on, d’ailleurs, les symptômes mineurs et ne son pas candidats à une hospitalisation. ils son suivis à titre ambuletoire et confinés chez eux avec un traitement », explique-t-il.
or, il estime que l’incohérence dans les statistiques est due aux capacités de dépistage « non améliorées ». « dans les établissements hospitaliers de certaines wilayas, les tests pcr effectués auparavant avec beaucoup de difficultés ne se fon plus actuellement faute de réactifs*», a-t-il précisé.
selon lui, l’algérie doit effectuer pas moins de 20 milles à 25 milles tests par semaine, pour les résultats plus efficaces. il estime que « nous ne sommes plus à ce niveau. actuellement, 600 tests au maximum son effectués par jour ».
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