Face aux normalisations en série des pays arabes avec l’entité sioniste, couronnées récemment par la signature des accords de paix avec les Emirats Arabes unis et le Bahreïn, l’Algérie va faire connaitre demain son attachement à la cause palestinienne.
En effet, le Président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune va prononcer demain mardi un discours par visioconférence devant l’Assemblée générale des Nations Unies dans lequel il réaffirmera la détermination de l’Algérie de ne pas abandonner la question palestinienne «quelques soient les circonstances».
Dans un communiqué rendu public ce lundi, la présidence de la république souligne en effet que le chef de l’Etat va faire connaitre «la position de l’Algérie à l’égard des questions régionales et internationales ainsi que celle relative à la réforme de l’ONU notamment le Conseil de sécurité».
Sans doute que cette prise de position qui sera exprimée publiquement va provoquer une vague de réactions notamment parmi les pays arabes ayant normalisé leurs relations avec Israël mais aussi ceux qui s’apprêtent à le faire.
Le président américain avait assuré en effet que qu’au moins cinq autres pays arabes vont signer des «accords de paix» similaires avec l’Etat hébreu dans le sillage des Emirats et du Bahreïn. On n’est désormais certains, comme il fallait s’y attendre que l’Algérie ne fera pas partie des ces pays qui tombent dans les bras de Netanyahou.
Le président Tebboune a ainsi affirmé dimanche soir lors de sa rencontre avec des journalistes de la presse nationale a affirmé que la cause palestinienne était «sacrée pour le peuple algérien», et à même déploré «l'empressement pour la normalisation avec l'entité sioniste», dans une allusion aux EAU et au Bahreïn. Plus tranchant encore, Abdelmadjid Tebboune a coupé aux spéculations en déclarant que «nous ne prendront jamais part» à la normalisation.
«Je ne pense pas qu'il y'aura une solution dans cette région sans la résolution de cette question qui doit être par la proclamation d'un Etat palestinien indépendant sur les frontières de 1967 avec El Qods pour capitale», a-t-il ajouté.
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En effet, le Président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune va prononcer demain mardi un discours par visioconférence devant l’Assemblée générale des Nations Unies dans lequel il réaffirmera la détermination de l’Algérie de ne pas abandonner la question palestinienne «quelques soient les circonstances».
Dans un communiqué rendu public ce lundi, la présidence de la république souligne en effet que le chef de l’Etat va faire connaitre «la position de l’Algérie à l’égard des questions régionales et internationales ainsi que celle relative à la réforme de l’ONU notamment le Conseil de sécurité».
Sans doute que cette prise de position qui sera exprimée publiquement va provoquer une vague de réactions notamment parmi les pays arabes ayant normalisé leurs relations avec Israël mais aussi ceux qui s’apprêtent à le faire.
Le président américain avait assuré en effet que qu’au moins cinq autres pays arabes vont signer des «accords de paix» similaires avec l’Etat hébreu dans le sillage des Emirats et du Bahreïn. On n’est désormais certains, comme il fallait s’y attendre que l’Algérie ne fera pas partie des ces pays qui tombent dans les bras de Netanyahou.
Le président Tebboune a ainsi affirmé dimanche soir lors de sa rencontre avec des journalistes de la presse nationale a affirmé que la cause palestinienne était «sacrée pour le peuple algérien», et à même déploré «l'empressement pour la normalisation avec l'entité sioniste», dans une allusion aux EAU et au Bahreïn. Plus tranchant encore, Abdelmadjid Tebboune a coupé aux spéculations en déclarant que «nous ne prendront jamais part» à la normalisation.
«Je ne pense pas qu'il y'aura une solution dans cette région sans la résolution de cette question qui doit être par la proclamation d'un Etat palestinien indépendant sur les frontières de 1967 avec El Qods pour capitale», a-t-il ajouté.
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