Le porte-parole du Quai D’Orsay, le ministère français des Affaires Etrangères, a répondu ce mardi 22 septembre aux accusations du président algérien Abdelmadjid Tebboune. Ce dernier avait visé indirectement les autorités françaises en affirmant que “les Etats ne nous attaquent pas frontalement mais chargent des organisations non gouvernementales de cette mission”, a-t-il dit lors de l’interview présidentielle diffusée dimanche soir en faisant référence à l’ONG basée à Paris Reporters Sans Frontières (RSF).
Face à ces propos gravissimes qui peuvent enclencher une crise diplomatique, le porte-parole du Quai d’Orsay a répondu ce mardi avec un sang froid impressionnant en affirmant que “la France réaffirme son attachement à la liberté de la presse, à la sécurité des journalistes et de tous ceux dont l’expression concourt au débat public partout dans le monde”. Le même interlocuteur a rappelé élégamment à Tebboune que “la liberté d’informer est un droit fondamental, qui doit être protégé”.
Sans faire du bruit ni des gesticulations infantiles, la diplomatie française a remis les pendules à l’heure. La balle est, désormais, dans le camp de Tebboune et ses conseillers.
Algérie part
Face à ces propos gravissimes qui peuvent enclencher une crise diplomatique, le porte-parole du Quai d’Orsay a répondu ce mardi avec un sang froid impressionnant en affirmant que “la France réaffirme son attachement à la liberté de la presse, à la sécurité des journalistes et de tous ceux dont l’expression concourt au débat public partout dans le monde”. Le même interlocuteur a rappelé élégamment à Tebboune que “la liberté d’informer est un droit fondamental, qui doit être protégé”.
Sans faire du bruit ni des gesticulations infantiles, la diplomatie française a remis les pendules à l’heure. La balle est, désormais, dans le camp de Tebboune et ses conseillers.
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