Deux personnes ont été blessées vendredi vers 11h15 lors d'une attaque à l'arme blanche, à la machette, à proximité des anciens locaux de Charlie Hebdo, rue Nicolas Appert dans le XIe arrondissement de Paris. Un suspect a été interpellé peu de temps après les faits dans le secteur de Bastille.
Un témoin, contacté par BFMTV, explique que l'une des victimes est une femme qui fumait une cigarette dans la rue. Après avoir été agressée, elle s'est réfugiée dans des bureaux où les salariés lui sont venus en aide. Elle perdait beaucoup de sang, selon ce témoignage. Les autorités ont annoncé un premier bilan évoquant deux personnes en urgence absolue, leur état s'est depuis amélioré.
Deux des blessés sont des salariés de l'agence de presse Premières lignes. Il s'agit de deux chargés de production qui travaillent dans cette agence qui occupe un étage de l'immeuble des anciens locaux de Charlie Hebdo. Pour l'heure, rien ne dit que l'agence était ciblée par l'auteur de l'attaque.
Les deux blessés ont été pris en charge à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière et à l'hôpital Georges Pompidou.
Les locaux de Premières lignes occupaient déjà ces locaux rue Nicolas Appert lorsque la rédaction de Charlie Hebdo, qui se trouvait sur le même pallier au 2e étage de l'immeuble, a été prise pour cible par les frères Kouachi.
Un suspect a été interpellé peu après les faits sur les marches de l'opéra de Bastille. Il correspond au signalement fait par les victimes et les témoins. Il avait du sang sur le visage. Une autre personne a été arrêtée dans le métro à la station Richard Lenoir par la brigade des réseaux ferrés. On ne sait pas s'il y a un lien entre ces deux personnes.
Une machette a également été saisi par les policiers dans une rue.
Le parquet national antiterroriste a été saisi de l'enquête sur l'attaque. La saisie du PNAT permet notamment de que la garde à vue des suspects dure jusqu'à six jours.
Les investigations vont être menées par la direction régionale de la police judiciaire et la Direction générale de la sécurité intérieure. L'enquête a été ouverte pour "tentative d'assassinat en relation avec une entreprise terroriste", "association de malfaiteurs terroriste criminelle".
Source : BFM-TV
Un témoin, contacté par BFMTV, explique que l'une des victimes est une femme qui fumait une cigarette dans la rue. Après avoir été agressée, elle s'est réfugiée dans des bureaux où les salariés lui sont venus en aide. Elle perdait beaucoup de sang, selon ce témoignage. Les autorités ont annoncé un premier bilan évoquant deux personnes en urgence absolue, leur état s'est depuis amélioré.
Deux des blessés sont des salariés de l'agence de presse Premières lignes. Il s'agit de deux chargés de production qui travaillent dans cette agence qui occupe un étage de l'immeuble des anciens locaux de Charlie Hebdo. Pour l'heure, rien ne dit que l'agence était ciblée par l'auteur de l'attaque.
Les deux blessés ont été pris en charge à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière et à l'hôpital Georges Pompidou.
Les locaux de Premières lignes occupaient déjà ces locaux rue Nicolas Appert lorsque la rédaction de Charlie Hebdo, qui se trouvait sur le même pallier au 2e étage de l'immeuble, a été prise pour cible par les frères Kouachi.
Un suspect a été interpellé peu après les faits sur les marches de l'opéra de Bastille. Il correspond au signalement fait par les victimes et les témoins. Il avait du sang sur le visage. Une autre personne a été arrêtée dans le métro à la station Richard Lenoir par la brigade des réseaux ferrés. On ne sait pas s'il y a un lien entre ces deux personnes.
Une machette a également été saisi par les policiers dans une rue.
Le parquet national antiterroriste a été saisi de l'enquête sur l'attaque. La saisie du PNAT permet notamment de que la garde à vue des suspects dure jusqu'à six jours.
Les investigations vont être menées par la direction régionale de la police judiciaire et la Direction générale de la sécurité intérieure. L'enquête a été ouverte pour "tentative d'assassinat en relation avec une entreprise terroriste", "association de malfaiteurs terroriste criminelle".
Source : BFM-TV
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