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Des médias publics francophones de plusieurs pays appellent à la libération de Khaled Drareni
Les dirigeants des médias publics français, canadiens, belges et suisses ont appelé ce jeudi 24 septembre à la libération de Khaled Drareni, journaliste condamné en appel à deux ans de prison, rapporte ce jeudi TV5 Monde.
Rdio France, France Télévisions, TV5 Monde, Arte France, France Médias Monde (qui inclut France 24, RFI et Monte Carlo Doualiya), TFO (Télévision française de l’Ontario), Radio-Canada, RTBF (Belgique), Radio Télévision Suisse, Télé-Québec et TV5 Québec Canada font partie des médias signataires de l’appel à la libération de M. Drareni.
« Cette condamnation est une atteinte grave à la liberté de la presse que rien ne saurait justifier. Il est intolérable que des journalistes soient pris pour cible en raison de leur activité professionnelle », affirment les dirigeants des médias signataires de l’appel.
« Quel que soit le lieu d’exercice de leur profession, la sécurité et l’indépendance des journalistes doivent être assurées afin qu’ils puissent exercer librement leur profession. C’est la condition d’une information libre, impartiale et équilibrée », soulignent les dirigeants, cités par la même source.
Khaled Drareni a été condamné le 15 septembre en appel à deux ans de prison ferme pour « incitation à attroupement non armé » et « atteinte à l’unité nationale » après avoir été arrêté le 7 mars lors d’une couverture d’une manifestation populaire contre le pouvoir en sa qualité de journaliste. Il se trouve en détention depuis 180 jours.
TSA
24-09-2020
Rdio France, France Télévisions, TV5 Monde, Arte France, France Médias Monde (qui inclut France 24, RFI et Monte Carlo Doualiya), TFO (Télévision française de l’Ontario), Radio-Canada, RTBF (Belgique), Radio Télévision Suisse, Télé-Québec et TV5 Québec Canada font partie des médias signataires de l’appel à la libération de M. Drareni.
« Cette condamnation est une atteinte grave à la liberté de la presse que rien ne saurait justifier. Il est intolérable que des journalistes soient pris pour cible en raison de leur activité professionnelle », affirment les dirigeants des médias signataires de l’appel.
« Quel que soit le lieu d’exercice de leur profession, la sécurité et l’indépendance des journalistes doivent être assurées afin qu’ils puissent exercer librement leur profession. C’est la condition d’une information libre, impartiale et équilibrée », soulignent les dirigeants, cités par la même source.
Khaled Drareni a été condamné le 15 septembre en appel à deux ans de prison ferme pour « incitation à attroupement non armé » et « atteinte à l’unité nationale » après avoir été arrêté le 7 mars lors d’une couverture d’une manifestation populaire contre le pouvoir en sa qualité de journaliste. Il se trouve en détention depuis 180 jours.
TSA
24-09-2020