Elle a inventé sa propre musique avec un style universel seyant à la modernité et l’ouverture sur le monde. Zahra était l’élève du chantre Cherif Kheddam comme elle était la « Yelli ghriva », la voix féminine qui avait accompagné feu Idir dans « A vava inouva ».
Les rêves rimant avec la réalité, Zahra n Sumer, vêtue de sa robe kabyle, a composé, écrit et chanté avec les yeux fermés, et ce, sans avoir peur ni de l’imprévisible, ni du destin, ni même de ceux qui agissaient à contre-courant dans l’ombre, ces éteigneurs de lumière qui ont fini par être rattrapés par leurs peurs. Femme chaleureuse et subtile, elle a honoré son art et son public, comme elle a éclairé, par les sentiments de son cœur bien à sa place, ce qui ne se disait pas et ne se chantait pas.
Les rêves rimant avec la réalité, Zahra n Sumer, vêtue de sa robe kabyle, a composé, écrit et chanté avec les yeux fermés, et ce, sans avoir peur ni de l’imprévisible, ni du destin, ni même de ceux qui agissaient à contre-courant dans l’ombre, ces éteigneurs de lumière qui ont fini par être rattrapés par leurs peurs. Femme chaleureuse et subtile, elle a honoré son art et son public, comme elle a éclairé, par les sentiments de son cœur bien à sa place, ce qui ne se disait pas et ne se chantait pas.
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