Annonce

Réduire
Aucune annonce.

situation économique au maroc

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • situation économique au maroc

    Membre du Conseil de Bank Al Maghrib et de la commission spéciale pour le modèle de développement, Larabi Jaidi s’exprime ici en sa qualité de Senior fellow au sein du Policy Center for The New South (ex- OCP Policy Center).

    Il juge dans cet entretien que toutes les prévisions d’une reprise en V, émises en juin, sont aujourd’hui dépassées. Et pense que la croissance prévue pour 2021 ne sera pas non plus au rendez-vous.

    Il décrypte pour nous l’évolution de la situation économique, le risque d'épuisement des solutions de relance lancées jusque-là, et émet son avis sur les priorités qui doivent désormais guider les choix de politique économique.

    Il pense ainsi que la loi de Finances 2021, en cours de préparation, doit être bâtie sur de nouvelles hypothèses et que l’on doit sortir des méthodes classiques de prévision budgétaire.

    Deux sujets doivent être au centre de ce budget en préparation : le soutien aux ménages et la sauvegarde des entreprises. Deux enjeux qui nécessiteront de nouvelles mannes financières et par conséquent, le recours à de nouveaux canaux de financement, quitte à casser les dogmes qui guident depuis des années la conduite de la politique budgétaire et monétaire du pays.

    Pour lui, il est impensable aujourd’hui de revenir au confinement. Une option qui peut avoir un coût social insupportable pour les ménages et exacerber davantage les difficultés économiques.

    L’Etat doit selon lui écarter ce choix, et travailler plutôt sur l'amélioration des process sanitaires, la prise en charge des malades et l’implication de la société civile, des médecins et des cliniques privées dans la gestion de la pandémie. Et surtout, regagner la confiance des citoyens. Une confiance cassée par une série de décisions « non rationnelles », « incohérentes » et « non-respectueuses de la dignité des personnes », dit-il.

  • #2
    Une confiance cassée par une série de décisions « non rationnelles », « incohérentes » et « non-respectueuses de la dignité des personnes », dit-il.
    Pas mal,
    Il a le mérite de connaître ses dossiers et surtout d'éviter la langue de bois

    Commentaire


    • #3
      Bref, il suggère de virer l'islamiste el othmani et de changer le dogme de banque el maghrib décidé par jouahri.

      Réponse bientôt chez sa majesté. Les tayibates el hamam d'ici vont accompagner en pleurant
      Dernière modification par Tizwel, 27 septembre 2020, 16h46.

      Commentaire


      • #4
        La situation est trop grave et pousse a l'incroyable .


        Commentaire


        • #5
          c'est très malheureux, c'est triste.
          une leçon pour ceux qui passent leurs temps à critiquer les voisins et oublient leurs propres moises, bien plus graves.

          Commentaire


          • #6
            Il fallait gagner l'amitié du voisin le Maroc a tout à gagner de l'Algérie regardez la Tunisie , vers qui le Maroc va se tourner dans ces moments difficiles , vers l'Arabie Saoudite comme autre fois ? Les relations avec ce pays ne sont pas au beau fixe en plus ce pays traverse une grave crise , vers la France qui l'a aider chaque fois qu'il se trouve sur le carreaux ,je ne pense pas car ce pays va affronter l'une de ces plus terrible crise economique ,la seule issue qui lui reste c'est de se retourner vers les valeures ancestrales , la caleche , la charue et le boeuf
            Mais il reste une chose inigmatique, la dette contractée estimée à plusieurs dizaines de milliards de dollars , Comment faire pour rembourser les créanciers qui sont non seulement pressés ils sont surtout sans pitié.
            Faute de grives , nous mangeons des Merles

            Commentaire

            Chargement...
            X