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Textes racistes de Gandhi : Le chantre de la non-violence aurait été raciste.

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  • Textes racistes de Gandhi : Le chantre de la non-violence aurait été raciste.

    Mahatma Gandhi : un négrophobe démasqué ?

    Ces derniers temps Gandhi l'apôtre de la non violence a défrayer la chronique, en lieu et place de ses valeurs pacifistes, qui ont bercés les luttes des leaders noirs qui se sont fortement inspirés de lui. Gandhi trahi par ses écrits racistes, pour son mépris et son intolérances dont il fut preuve durant les 21 ans qu'il passa en Afrique du sud.

    Il nommait les bantous Cafres, terme ( il connaissait le mépris qu'il contenait) arabe raciste utilisé pour désigner les populations autochtones d'Afrique du Sud.

    L'oeuvre que nous a légué Gandhi est un plaidoyer pour que les blancs ne laissent pas les indiens au bas fond de l'humanité comme les noirs qu'il considérait comme inférieurs naturellement aux indiens.

    Voici plusieurs citations tirées du journal Indian Opinion (qu’il avait lancé pour défendre les droits de la minorité indienne dans la colonie du Cap où il était avocat):

    Le 19 décembre 1894, dans Indian Opinion, Gandhi déclare :

    « L'idée générale qui semble prévaloir dans la colonie est que les Indiens valent un peu mieux, voire pas du tout, que des sauvages ou les indigènes d'Afrique. Même les enfants ont appris à croire à cette idée, avec le résultat que l'Indien est rabaissé au niveau d'un simple nègre. » (The Collected Works Of Mahatma Gandhi – volume 1 - p. 193)

    « Notre combat est une lutte continuelle contre la ségrégation que nous inflige les européens en tentant de rabaisser les indiens au niveau du simple Cafre (nom péjoratif donné au noirs) dont l’occupation est de chasser et dont la seule ambition est de rassembler du bétail pour acheter une femme et passer le reste de sa vie dans la paresse et dans la nudité. » Meeting in Bombay on Sept. 26 1896
    (The Collected Works Of Mahatma Gandhi – volume 1 - p. 410)

    Le 21 mars 1903, dans Indian Opinion.

    « Dès que les Indiens ont entendu parler de la loi, ils ont contacté le gouverneur, qui dit qu'ils étaient trop en retard. Que vont-ils faire maintenant ? Ils ont abordé un autre sujet lié aux amis à Londres. Le texte d'application a son origine dans la prétendue ou réelle, impudente et, dans certains cas, le comportement indécent des Cafres. Mais, quelles que soient les charges qui sont contre les Indiens britanniques, personne n'a jamais murmuré que les Indiens se comportent autrement que comme des hommes décents. Mais, comme c’est la coutume dans cette partie du monde, ils ont été rabaissés au niveau des Cafres sans la moindre justification. »
    (The Collected Works Of Mahatma Gandhi – volume 3 – p32)

    Le 24 septembre 1903, il soutient le courant nationaliste blanc. Dans Indian Opinion.

    « Nous croyons en la pureté raciale. Seulement nous pensons qu’ils serviraient mieux leurs intérêts, qui nous sont aussi chers qu’à eux-mêmes, en défendant la pureté de toutes les races et non d’une seule d’entre elles. Nous croyons aussi qu’en tant que Blancs, la race blanche d’Afrique du Sud doit être la race prédominante . »
    (The Collected Works Of Mahatma Gandhi – volume 3 – p255)

    Le 24 décembre 1903, lorsqu’une loi interdit toutes relations inter-communautaires Blancs/Métis (ou Coloureds) — auxquels sont rattachés les Hindous, dans Indian Opinion Gandhi écrit :
    « Puissions-nous informer les membres de la conférence pour savoir si les Indiens britanniques sont concernés? S’il est une chose que l’Indien chérit plus que tout, c’est la pureté de son groupe. »
    (The Collected Works Of Mahatma Gandhi – volume 3 – p379)

    Quand la municipalité de Johannesburg veut permettre aux Noirs de se déplacer dans le quartier hindou, Gandhi rédige une lettre au conseil municipal. Le 15 février 1904, il déclare :


    « Pourquoi d’entre tous les lieux, à Johannesburg, le quartier indien a-t-il été choisi pour y déverser ("dumping down") tous les nègres (Kaffir) de la ville ? Cela dépasse mon entendement. Bien que les grands projets de réforme sanitaire du Comité de santé publique soient sans doute très louables et probablement nécessaires, le devoir évident est de traiter l’actuel problème d'insalubrité que cela génère dans le quartier Indien, à mon humble avis, ce n’est pas à négliger. »

    (The Collected Works Of Mahatma Gandhi – volume 3 – p428)


    Un peu plus loin dans le même courrier du 15 février 1904, il poursuit :

    « Bien entendu, de mon point de vue le Conseil municipal doit débarrasser ce quartier de ces Cafres. Quant à la mixité entre Cafres et Hindous, je dois confesser que j’y suis absolument opposé. Je pense que c’est très injuste pour la population indienne.»
    (The Collected Works Of Mahatma Gandhi – volume 3 – p429)

    Il a cherché à interdire aux africains l'accèes au quartier indien de Johannesburg.

    le 3 mars 1904, dans l’Indian Opinion, Gandhi écrit:

    « Il n’y a pas longtemps, nous avons informé nos lecteurs que le Comité de santé publique de la Mairie avait autorisé la présence des Cafres dans le quartier commercial asiatique. Les Indiens l’ont refusé dans leur quartier, parmi beaucoup d'autres. »

    (The Collected Works Of Mahatma Gandhi – volume 3 – p439).


    Le 17 mars 1904, Dans l’Indian Opinion il écrit:

    « Nous pouvons noter au passage que le pasteur, Révérend M. Brown, a agi comme porte-parole des pétitionnaires qui affirment que «Il sera impossible et dangereux pour nos femmes et nos enfants de vivre dans ce quartier ». Il sera intéressant de savoir comment ces messieurs ont pu vivre dans le district toutes ces années, car il faut se rappeler que le quartier des Cafres et le quartier des indiens sont au même endroit à l'heure actuelle, ça fait plus de dix ans et les Européens dans leur quartier peuvent vivre sans danger, ….car, il n’est pas question de mettre les Cafres dans ce quartier aujourd'hui. »

    (The Collected Works Of Mahatma Gandhi – volume 3 – p447)

    Le 29 mars 1905, dans Indian Opinion il écrit


    « Ainsi, les Blancs ont commencé à ressentir le besoin de main-d'œuvre indienne dès le début, les Cafres eux sont d'aucune utilité et tous les Chinois disponibles ont été embauchés dans les mines. La main-d'œuvre indienne, est, par conséquent, la plus demandée ».

    (The Collected Works Of Mahatma Gandhi – volume 4 – p258)


    http://www . gandhiserve . org
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