Mon âme étouffe de chaleur
Couverte d’un ciel nuageux
Et sur mes joues, les pleurs
Sont les reflets d’un cœur malheureux
L’amour que l’on dit si beau
Rend l’homme si triste,
On le voit dans les châteaux
Se refléter sur la toile de l’artiste.
L’amour est un chagrin
Qui ne peut pas mourir
Qui grandit chaque matin
Sans jamais se flétrir.
On dit qu’il n’existe pas
Des roses ici-bas
Qui n’aient pas d’épines
Mais je voudrais moi-même
En créer, en inventer une
Qui puisse me dire « Je t’aime »
Et qui soit belle comme la lune.
Le néant était merveilleux
Et le vide charmant
C’est le pays heureux
de tous les amants.
Mais dans ce pays-là
Rien ne peut exister
Et jamais on ne pourra
Que rêver, hésiter.
Oui hésiter à avancer,
A parler, à chanter, à courir
On ne pourra que pleurer
Avant que de MOURIR.
.......................
A Toi ....Ji que Dieu Te garde
Couverte d’un ciel nuageux
Et sur mes joues, les pleurs
Sont les reflets d’un cœur malheureux
L’amour que l’on dit si beau
Rend l’homme si triste,
On le voit dans les châteaux
Se refléter sur la toile de l’artiste.
L’amour est un chagrin
Qui ne peut pas mourir
Qui grandit chaque matin
Sans jamais se flétrir.
On dit qu’il n’existe pas
Des roses ici-bas
Qui n’aient pas d’épines
Mais je voudrais moi-même
En créer, en inventer une
Qui puisse me dire « Je t’aime »
Et qui soit belle comme la lune.
Le néant était merveilleux
Et le vide charmant
C’est le pays heureux
de tous les amants.
Mais dans ce pays-là
Rien ne peut exister
Et jamais on ne pourra
Que rêver, hésiter.
Oui hésiter à avancer,
A parler, à chanter, à courir
On ne pourra que pleurer
Avant que de MOURIR.
.......................
A Toi ....Ji que Dieu Te garde
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