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Plus de 1000 cas de paludisme d’« importation » ont été enregistrés dans cinq wilayas du sud de l’Algérie, a annoncé ce mardi 29 septembre le ministère de la Santé, en affirmant que la situation est sous contrôle.
Avec 918 cas, la wilaya de Tamanrasset est la plus touchée, suivie d’Adrar (96 cas), Illizi (89 cas), Ouargla (5 cas) et Ghardaïa avec seulement 2 cas, selon la même source.
L’Algérie qui a été certifiée exempte du paludisme par l’Organisation mondiale de la santé en mai 2019, « reste confrontée au problème du paludisme d’importation », explique le ministère dans un communiqué, en ajoutant que « comme chaque année, au mois de septembre après les premières pluies, il y a une recrudescence des cas de paludisme importés venant essentiellement des pays frontaliers sahéliens ou d’Algériens ayant séjourné au niveau de ces pays ».
Le département de Abderrahmane Benbouzid assure que « tous les cas ont été pris en charge au niveau des structures hospitalières conformément aux directives thérapeutiques nationales. »
En mai 2019, l’Organisation mondiale de la santé avait annoncé que l’Algérie a été certifiée comme ayant éliminé le paludisme sur son territoire.
Cette certification est délivrée à un pays lorsqu’il prouve avoir interrompu la transmission autochtone de la maladie pendant trois années consécutives.
Le paludisme, qui est connu sous le nom de malaria, est une maladie potentiellement mortelle. Contracté à travers la piqure d’un moustique, il a touché environ 219 millions de personnes et entraîné plus de 400 000 morts en 2017 dans le monde.
tsa-algerie
Avec 918 cas, la wilaya de Tamanrasset est la plus touchée, suivie d’Adrar (96 cas), Illizi (89 cas), Ouargla (5 cas) et Ghardaïa avec seulement 2 cas, selon la même source.
L’Algérie qui a été certifiée exempte du paludisme par l’Organisation mondiale de la santé en mai 2019, « reste confrontée au problème du paludisme d’importation », explique le ministère dans un communiqué, en ajoutant que « comme chaque année, au mois de septembre après les premières pluies, il y a une recrudescence des cas de paludisme importés venant essentiellement des pays frontaliers sahéliens ou d’Algériens ayant séjourné au niveau de ces pays ».
Le département de Abderrahmane Benbouzid assure que « tous les cas ont été pris en charge au niveau des structures hospitalières conformément aux directives thérapeutiques nationales. »
En mai 2019, l’Organisation mondiale de la santé avait annoncé que l’Algérie a été certifiée comme ayant éliminé le paludisme sur son territoire.
Cette certification est délivrée à un pays lorsqu’il prouve avoir interrompu la transmission autochtone de la maladie pendant trois années consécutives.
Le paludisme, qui est connu sous le nom de malaria, est une maladie potentiellement mortelle. Contracté à travers la piqure d’un moustique, il a touché environ 219 millions de personnes et entraîné plus de 400 000 morts en 2017 dans le monde.
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