C’est dramatique d’en arriver là au moment où le pays joue sa survie politique et sanitaire. Alors autant en rire. Les Algériens sont avertis. C’est un capitaine de la sécurité militaire déclassé qui décide de qui doit être reconnu démocrate et ce sont ses alliés qui confondent plume avec Kalachnikov et Tahar Djaout avec Antar Zouabri qui nous font la leçon sur les Droits de l’Homme. Farce ou imposture, farce et imposture. Une réunion tenue le 20 aout à Berlin scelle la collusion islamo-militaire. Ces attaques menées de concert en sont l’une des illustrations.
Vous radotez capitaine,
Vous nous apprenez que vous aviez l’un des plus grands salaires d’Europe et que vous vivez dans un bureau. Vous vous égarez encore quand vous affirmez, sans vergogne, je vous cite que tous les Algériens ont fait leur classe à El Djeich. Vous les néantisez mais ils existent, d’autres jeunes ont forgé leur plumes dans la revue Tafsut ; et cela ne leur a pas trop mal réussi. Tant d’indigence intellectuelle nous renseignent sur les causes du malheur algérien. C’est la sixième vidéo où vous projetez votre venin que vous postez. Et vous vous présentez comme une victime bien éduquée qui se désole d’attaquer un militant ! Que n’auriez-vous fait si vous étiez mal éduqué ! Voilà le niveau d’un capitaine de la police politique qui avait droit de vie ou de mort sur le citoyen.
Vous paniquez Capitaine,
Les tribunaux qui vont vous juger ne sont pas les tribunaux militaires qui auraient du traiter la terrifiante affaire Abou Nidal qui a failli ensanglanter l’Algérie. Vous aurez à répondre de vos mensonges et de vos diffamations. Quand on parle d’enrichissement illicite, cela est une diffamation consommée quand on n’en apporte pas la démonstration. Par ailleurs, en tant qu’abonné aux condamnations pour paroles dans lesquelles « on tombe très vite sur des propos de caniveau », dixit la Voie du Nord décrivant sur l’une de vos esclandres, vous devez savoir que celui qui répète ou reproduit des propos diffamatoires est aussi coupable que celui qui les a proférés en premier. Or, face caméra vous affirmez que.
1) J’aurais obtenu mon terrain de la part de Toukif et Bouteflika. Vous trouverez l’acte d’achat où je l’ai payé intégralement.
2) Vous répétez les propos selon lesquels les militaires m’auraient aidé dans les collectes de signatures lors de mes candidatures aux élections présidentielles. Vous trouverez les attestations sur l’honneur des responsables des comités de wilaya qui ont travaillé à ces collectes.
3) Vous répétez la rengaine de ma collusion avec le général Toufik. Vous trouverez mes positions sur vos services en général et ses responsables en particulier.
Ces trois allégations ont été définitivement condamnées en tant que propos diffamatoires par la 17éme chambre correctionnelle de Paris en mars 2019.
Comme vous chassez en meute, ces insanités ont été, comme par hasard, rabâchées par mon agresseur de Marseille assisté d’un membre notoire de Rachad, lequel dit avoir été contacté par l’auteur de ces élucubrations. Il en répondra devant la juridiction compétente le 11 décembre prochain.
Enfin, vous déclarez sans vergogne que j’ai attaqué M. Ait Hamouda en diffamation pour l’affaire Matoub alors que je l’ai fait condamner pour les trois points ci dessus. Là, on peut craindre que vous soyiez un cas désespéré.
Vous assurez que je n’ai jamais travaillé. Et encore moins à l’hôpital et que j’aurai terminé mes études après 80. Il se trouve qu’en 1976, j’étais déjà médecin militaire du service national. Ou bien l’armée qui m’aurait généreusement collecté mes signatures m’aurait aussi offert mon diplôme, ou j’aurais exercé en tant que faux médecin et l’aurais abusée ; vous auriez alors manqué de vigilance sachant que les universités étaient les secteurs les plus surveillés par la police politique.
Capitaine,
J’ai exercé à Tigzirt, Azeffoun et Tizi-Ouzou pendant onze ans si l’on retire mes deux années de prison passées à Berrouaghia, Lambèse et El Harrach. Même pendant cette détention j’ai passé mes examens de psychiatrie et puisque vous êtes si soucieux de ma vie professionnelle, je vous fais savoir que je fus major de ma promotion. Mon examen fut arbitrairement annulé six mois plus tard par votre service , ce qui provoqua la démission du professeur Boucebci, président du comité pédagogique de psychiatrie. J’ai aussi enseigné dans le CHU de Tizi Ouzou. Vous trouverez devant vous au tribunal certains spécialistes installés en France qui furent mes étudiants.
Vous alléguez que j’aurais fraudé le fisc algérien. Vous trouverez également au tribunal mes versements aux impôts au mois près. Enfin vous vous demandez comment je vis. En vieux policier, vous savez que le change est libre et que tout citoyen a le droit de prendre sur lui 7000 euros déclarés ou même 1000 euros sans les déclarer.
Pour couper court à vos ragots, voici une fois de plus le patrimoine de mes enfants. Aurez-vous le courage d’en faire autant avec les vôtres ?
Un appartement commun à Marseille où vit mon fils avec sa femme et ses deux enfants, ma fille et leur mère qui a été inscrite dans la SCI pour bénéficier de ses papiers. Cette SCI a été créée afin de pouvoir cumuler des salaires qui autorisent l’accès à un prêt bancaire, la vente du logement précédent ne suffisant pas à couvrir le prix du nouveau bien.
Un studio de 34 mètres carrés dans la banlieue parisienne appartenant à ma fille qui y a mis ses économies et contracté un autre prêt. Elle le loue actuellement afin d’éponger ses dettes.
Une maison en campagne appartenant au couple de mon autre fille, architecte en Suisse, et à son époux, avocat dans le même pays. Eux aussi ont contracté un prêt sur 25 ans. Ce sont des informations faciles à vérifier. Si vos antennes ou vos indicateurs trouvent un quelque autre bien vous pouvez le saisir, capitaine.
Capitaine,
Votre indécence n’ a aucune limite. Vous m’accusez d’avoir attenté à l’honneur du colonel Amirouche. C’est probablement moi - et non votre mentor Boumediène - qui ai ordonné la séquestration de ses ossements pendant 20 ans et c’est encore moi qui ai souillé son nom en mobilisant mes officines pour cultiver et entretenir sournoisement le mythe de « l’égorgeur d’étudiants ». C’est probablement votre police politique qui lui a consacré le livre ayant réhabilité sa mémoire et c’est peut être une de vos mystérieuses branches qui a affronté l’ignominie de votre ancêtre, le MALG une année durant à la sortie de ce témoignage. Je ne vous infligerai pas le tourment du succès de cet ouvrage puisqu’en plus de vous décréter démocrate qui juge et sanctionne ceux qui vous permettent de parler aujourd’hui, vous vous attribuez la plume d’or algérienne. Pathétique.
Je ne m’attarderai pas sur les mémoires différées de ceux qui inventent des choses 15 ou 20 ans après avoir quitté le RCD. J’y ai répondu sur BR TV. J’espère simplement que leurs auteurs trouveront un peu de sommeil quand ils voient l’usage qui peut être fait de mensonges égotiques : servir de munitions à un capitaine de la police politique aigri, composant avec des intégristes.
Pour moi, vous n’avez d’intérêt qu’en tant que symptôme de mon ennemi historique, le cancer algérien, c’est à dire la police politique. D’autres jeunes engagés dans ce service se sont pourtant amendés. Ils ont soulagé leur conscience. Il faut croire que eux en ont une.
C’est la dernière fois que je vous réponds. Participer à vos diversions en ces temps où se joue le devenir de nos enfants serait au mieux de la légèreté au pire de la complicité avec votre matrice.
Vous connaissez ma devise : la place de la délinquance politique est dans les tribunaux.
PS : Vous avez déclaré vouloir payer enfin votre amende en me l’adressant à moi même. Veuillez l’envoyer à la caisse du village d’Aghribs c’est grâce à la généreuse mobilisation de ses habitants et aux témoignages de ses anciens maquisards que vous avez été condamnés, vous et vos complices de Echourouk. Mais puisque l’on y est, merci de me transmettre votre adresse et votre filiation pour aller à la citation directe et m’éviter de recourir à l’ouverture d’une information judiciaire comme j’ai du le faire pour tenter de retrouver les données concernant Amir Boukhors dit Dz et Mohamed Larbi Zitout, ces derniers prenant un malin plaisir à brouiller les informations qui permettraient de les convoquer. Vu votre fébrile empressement verbal à arriver devant la justice, je ne doute pas que vous accéderez à cette requête et que cette fois vous ne fuirez pas les tribunaux comme par le passé.
Vous radotez capitaine,
Vous nous apprenez que vous aviez l’un des plus grands salaires d’Europe et que vous vivez dans un bureau. Vous vous égarez encore quand vous affirmez, sans vergogne, je vous cite que tous les Algériens ont fait leur classe à El Djeich. Vous les néantisez mais ils existent, d’autres jeunes ont forgé leur plumes dans la revue Tafsut ; et cela ne leur a pas trop mal réussi. Tant d’indigence intellectuelle nous renseignent sur les causes du malheur algérien. C’est la sixième vidéo où vous projetez votre venin que vous postez. Et vous vous présentez comme une victime bien éduquée qui se désole d’attaquer un militant ! Que n’auriez-vous fait si vous étiez mal éduqué ! Voilà le niveau d’un capitaine de la police politique qui avait droit de vie ou de mort sur le citoyen.
Vous paniquez Capitaine,
Les tribunaux qui vont vous juger ne sont pas les tribunaux militaires qui auraient du traiter la terrifiante affaire Abou Nidal qui a failli ensanglanter l’Algérie. Vous aurez à répondre de vos mensonges et de vos diffamations. Quand on parle d’enrichissement illicite, cela est une diffamation consommée quand on n’en apporte pas la démonstration. Par ailleurs, en tant qu’abonné aux condamnations pour paroles dans lesquelles « on tombe très vite sur des propos de caniveau », dixit la Voie du Nord décrivant sur l’une de vos esclandres, vous devez savoir que celui qui répète ou reproduit des propos diffamatoires est aussi coupable que celui qui les a proférés en premier. Or, face caméra vous affirmez que.
1) J’aurais obtenu mon terrain de la part de Toukif et Bouteflika. Vous trouverez l’acte d’achat où je l’ai payé intégralement.
2) Vous répétez les propos selon lesquels les militaires m’auraient aidé dans les collectes de signatures lors de mes candidatures aux élections présidentielles. Vous trouverez les attestations sur l’honneur des responsables des comités de wilaya qui ont travaillé à ces collectes.
3) Vous répétez la rengaine de ma collusion avec le général Toufik. Vous trouverez mes positions sur vos services en général et ses responsables en particulier.
Ces trois allégations ont été définitivement condamnées en tant que propos diffamatoires par la 17éme chambre correctionnelle de Paris en mars 2019.
Comme vous chassez en meute, ces insanités ont été, comme par hasard, rabâchées par mon agresseur de Marseille assisté d’un membre notoire de Rachad, lequel dit avoir été contacté par l’auteur de ces élucubrations. Il en répondra devant la juridiction compétente le 11 décembre prochain.
Enfin, vous déclarez sans vergogne que j’ai attaqué M. Ait Hamouda en diffamation pour l’affaire Matoub alors que je l’ai fait condamner pour les trois points ci dessus. Là, on peut craindre que vous soyiez un cas désespéré.
Vous assurez que je n’ai jamais travaillé. Et encore moins à l’hôpital et que j’aurai terminé mes études après 80. Il se trouve qu’en 1976, j’étais déjà médecin militaire du service national. Ou bien l’armée qui m’aurait généreusement collecté mes signatures m’aurait aussi offert mon diplôme, ou j’aurais exercé en tant que faux médecin et l’aurais abusée ; vous auriez alors manqué de vigilance sachant que les universités étaient les secteurs les plus surveillés par la police politique.
Capitaine,
J’ai exercé à Tigzirt, Azeffoun et Tizi-Ouzou pendant onze ans si l’on retire mes deux années de prison passées à Berrouaghia, Lambèse et El Harrach. Même pendant cette détention j’ai passé mes examens de psychiatrie et puisque vous êtes si soucieux de ma vie professionnelle, je vous fais savoir que je fus major de ma promotion. Mon examen fut arbitrairement annulé six mois plus tard par votre service , ce qui provoqua la démission du professeur Boucebci, président du comité pédagogique de psychiatrie. J’ai aussi enseigné dans le CHU de Tizi Ouzou. Vous trouverez devant vous au tribunal certains spécialistes installés en France qui furent mes étudiants.
Vous alléguez que j’aurais fraudé le fisc algérien. Vous trouverez également au tribunal mes versements aux impôts au mois près. Enfin vous vous demandez comment je vis. En vieux policier, vous savez que le change est libre et que tout citoyen a le droit de prendre sur lui 7000 euros déclarés ou même 1000 euros sans les déclarer.
Pour couper court à vos ragots, voici une fois de plus le patrimoine de mes enfants. Aurez-vous le courage d’en faire autant avec les vôtres ?
Un appartement commun à Marseille où vit mon fils avec sa femme et ses deux enfants, ma fille et leur mère qui a été inscrite dans la SCI pour bénéficier de ses papiers. Cette SCI a été créée afin de pouvoir cumuler des salaires qui autorisent l’accès à un prêt bancaire, la vente du logement précédent ne suffisant pas à couvrir le prix du nouveau bien.
Un studio de 34 mètres carrés dans la banlieue parisienne appartenant à ma fille qui y a mis ses économies et contracté un autre prêt. Elle le loue actuellement afin d’éponger ses dettes.
Une maison en campagne appartenant au couple de mon autre fille, architecte en Suisse, et à son époux, avocat dans le même pays. Eux aussi ont contracté un prêt sur 25 ans. Ce sont des informations faciles à vérifier. Si vos antennes ou vos indicateurs trouvent un quelque autre bien vous pouvez le saisir, capitaine.
Capitaine,
Votre indécence n’ a aucune limite. Vous m’accusez d’avoir attenté à l’honneur du colonel Amirouche. C’est probablement moi - et non votre mentor Boumediène - qui ai ordonné la séquestration de ses ossements pendant 20 ans et c’est encore moi qui ai souillé son nom en mobilisant mes officines pour cultiver et entretenir sournoisement le mythe de « l’égorgeur d’étudiants ». C’est probablement votre police politique qui lui a consacré le livre ayant réhabilité sa mémoire et c’est peut être une de vos mystérieuses branches qui a affronté l’ignominie de votre ancêtre, le MALG une année durant à la sortie de ce témoignage. Je ne vous infligerai pas le tourment du succès de cet ouvrage puisqu’en plus de vous décréter démocrate qui juge et sanctionne ceux qui vous permettent de parler aujourd’hui, vous vous attribuez la plume d’or algérienne. Pathétique.
Je ne m’attarderai pas sur les mémoires différées de ceux qui inventent des choses 15 ou 20 ans après avoir quitté le RCD. J’y ai répondu sur BR TV. J’espère simplement que leurs auteurs trouveront un peu de sommeil quand ils voient l’usage qui peut être fait de mensonges égotiques : servir de munitions à un capitaine de la police politique aigri, composant avec des intégristes.
Pour moi, vous n’avez d’intérêt qu’en tant que symptôme de mon ennemi historique, le cancer algérien, c’est à dire la police politique. D’autres jeunes engagés dans ce service se sont pourtant amendés. Ils ont soulagé leur conscience. Il faut croire que eux en ont une.
C’est la dernière fois que je vous réponds. Participer à vos diversions en ces temps où se joue le devenir de nos enfants serait au mieux de la légèreté au pire de la complicité avec votre matrice.
Vous connaissez ma devise : la place de la délinquance politique est dans les tribunaux.
PS : Vous avez déclaré vouloir payer enfin votre amende en me l’adressant à moi même. Veuillez l’envoyer à la caisse du village d’Aghribs c’est grâce à la généreuse mobilisation de ses habitants et aux témoignages de ses anciens maquisards que vous avez été condamnés, vous et vos complices de Echourouk. Mais puisque l’on y est, merci de me transmettre votre adresse et votre filiation pour aller à la citation directe et m’éviter de recourir à l’ouverture d’une information judiciaire comme j’ai du le faire pour tenter de retrouver les données concernant Amir Boukhors dit Dz et Mohamed Larbi Zitout, ces derniers prenant un malin plaisir à brouiller les informations qui permettraient de les convoquer. Vu votre fébrile empressement verbal à arriver devant la justice, je ne doute pas que vous accéderez à cette requête et que cette fois vous ne fuirez pas les tribunaux comme par le passé.
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