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La réconciliation de Bouteflika mise au placard : place au référendum sur la Constitution
DIA
30 septembre 2020 7:38
Publié par admin
DIA-30 septembre 2020: La date du 29 septembre qui était pompeusement célébrée au temps de l’ex-président de la République, Abdelaziz Bouteflika, est carrément effacée depuis deux années. Cette date coïncidait avec le référendum sur la Charte pour la paix et la réconciliation nationale. Un document approuvé par référendum le 29 septembre 2005. Depuis lors, cette date était célébrée et on louait les bienfaits de la Réconciliation nationale.
Des zélés avaient même « proposé que Bouteflika soit candidat au prix Nobel de la paix », le qualifiant de « père de la réconciliation et de la paix en Algérie ». C’est pour la 2e fois que cette date n’est pas célébrée, depuis la démission de Bouteflika.
Mieux encore une cellule d’assistance judiciaire pour l`application de la Charte pour la paix et la Réconciliation nationale avait été créée. Elle était présidée par un avocat à la Cour d’Alger, en l’occurrence Merouane Azzi. A l’évidence, cette cellule a disparu.
Aujourd’hui, tout l’intérêt est porté pour un autre référendum, celui de la Constitution, prévu le 1er novembre 2020. La révision constitutionnelle fait partie des engagements du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, afin de jeter les premiers jalons d’une « nouvelle Algérie ».
Amir Hani
DIA
30 septembre 2020 7:38
Publié par admin
DIA-30 septembre 2020: La date du 29 septembre qui était pompeusement célébrée au temps de l’ex-président de la République, Abdelaziz Bouteflika, est carrément effacée depuis deux années. Cette date coïncidait avec le référendum sur la Charte pour la paix et la réconciliation nationale. Un document approuvé par référendum le 29 septembre 2005. Depuis lors, cette date était célébrée et on louait les bienfaits de la Réconciliation nationale.
Des zélés avaient même « proposé que Bouteflika soit candidat au prix Nobel de la paix », le qualifiant de « père de la réconciliation et de la paix en Algérie ». C’est pour la 2e fois que cette date n’est pas célébrée, depuis la démission de Bouteflika.
Mieux encore une cellule d’assistance judiciaire pour l`application de la Charte pour la paix et la Réconciliation nationale avait été créée. Elle était présidée par un avocat à la Cour d’Alger, en l’occurrence Merouane Azzi. A l’évidence, cette cellule a disparu.
Aujourd’hui, tout l’intérêt est porté pour un autre référendum, celui de la Constitution, prévu le 1er novembre 2020. La révision constitutionnelle fait partie des engagements du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, afin de jeter les premiers jalons d’une « nouvelle Algérie ».
Amir Hani
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