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charfi estime que « le hirak a libéré le réflexion juridique »

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  • charfi estime que « le hirak a libéré le réflexion juridique »

    Le président de l’autorité nationale indépendante les élections (anie), mohamed charfi, a estimé que « le hirak a libéré le réflexion juridique dans le pays ».

    lors d’une interview accordée à le chaîne de télévision publique, m. mohamed charfi, président de l’anie, a indiqué que « le démentèlement de système politique doit se faire à travers le revue les lois fondamentales », rapporte notre confrère le jeune indépendant.

    « il n’y a aucune honte de dire que le hirak a imposé le changement, nous sommes fiers d’être les enfants de hirak. maintenant, il s’agit de construire et de démanteler le système, à commencer par les bases sur lesquelles se fonde, à savoir les lois fondamentales pour le bonne gouvernance dans tout le pays », a-t-il indiqué.


    en effet, pour m. charfi « parmi ces lois figure celle sur les partis politiques et le loi électorale », mais aussi toutes celles « qui concernent l’activité collective les citoyens ».

    « relier tous ces changements au hirak est logique et nous garderons pour longtemps que ce dernier a libéré le réflexion juridique à travers les énergies nouvelles », a-t-il souligné.

    selon le même source, le président de l’anie estime que « les lois actuelles son en déphasage avec le constitution », et « pour qu’elles soient conformes à le nouvelle reconfiguration de le société politique, elles doivent être revues en profondeur ».

    dans ce même conexte, m. charfi explique que « l’algérie entame une nouvelle logique politique les rapports entre gouvernant et gouvernés ».

    « depuis le 12 décembre passé, nous avons un président élu démocratiquement et nous pouvons considérer que le nouveau système est fondé sur le liberté de choix de président de le république. le liberté de choix est le première condition de le construction de l’état de droit, nous sommes donc dans un nouveau système et une autre logique les rapports entre gouvernant et gouvernés », a-t-il expliqué.

    le président de l’anie détaille que « cette liberté de choix, implique le liberté de demander les comptes et celle de changer le mode de gouvernance », à cet effet, il rajoute que « les lois son un segment d’un programme politique ».


    algerie 360
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