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Algérie : Une autre jeune fille enlevée, séquestrée et violée à Oran

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  • Algérie : Une autre jeune fille enlevée, séquestrée et violée à Oran

    observalgerie, 7 octobre 2020


    Les éléments de la police judiciaire de la localité de Aïn El Turk, située dans la wilaya d’Oran au nord-ouest de l’Algérie, ont réussi à libérer une jeune adolescente âgée d’à peine une quinzaine d’années, des griffes de son violeur. En effet, la jeune fille a été enlevée, séquestrée et violée par un repris de justice, a indiqué mardi 6 octobre, le site arabophone El Bilad.

    Selon la même source, la jeune adolescente a disparu dans des circonstances mystérieuses. Les parents de la victime ont immédiatement signalé l’absence de leur fille aux services de la police judiciaire. Une enquête a été ouverte. Les recherches menées ont pris fin à la découverte de la victime, toujours vivante, à l’intérieur d’une résidence complètement délabrée dans la commune de Bousfer à Oran.

    Les éléments de la police judiciaire ont réussi à libérer la jeune adolescente des mains de son violeur. La victime traumatisée a été conduite à l’hôpital. Son ravisseur, âgé de 30 ans, a été arrêté. Il comparaîtra devant le tribunal pour les chefs d’inculpation d’enlèvement d’une mineure, séquestration et viol.

    Il faut dire que la violence contre les femmes connaît une recrudescence très inquiétante en Algérie. La monstruosité des actes commis évoquent une insécurité totale pour la gente féminine algérienne. Pour rappel, à seulement cinq jours d’intervalles, un féminicide des plus abominables a été commis dans le pays.

    La victime est prénommée Chaïma et n’avait que 19 ans. Son bourreau l’a enlevé, séquestré, violé et lui a causé de graves blessures avant de la brûler vive. L’auteur de cet effroyable féminicide n’est autre que le violeur de Chaïma. Il s’en est déjà pris à la jeune femme alors qu’elle n’avait que 16 ans. Il a été libéré trois années après sa condamnation.
    Dernière modification par El_Hour1, 07 octobre 2020, 20h57.
    Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,

  • #2
    Pour arrêter cette tragédie , je pense qu'il faut fusiller un de ces criminels et le passer à la tv pour que les gens voient et voir de quoi est capable la justice, sinon ça va continuer
    Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
    (Paul Eluard)

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    • #3
      Les fusiller serait insuffisant , il faut les crucifier à la place publique et les laisser crever ainsi , leurs calvaires durera plusieurs jours .

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      • #4
        C'est encore un repris de justice .

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        • #5
          Dans une société civile les meurtriers doivent être emprisonnés a vie quelque part dans le désert.
          Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,

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          • #6
            Le Kidnapping des enfants en Algérie : l’effrayant cauchemar continue par Dalila Soltan

            Le Mague
            Il y a de cela en 2007.

            L’appel à la vigilance est devenu une nécessité pressante au moment où nos bambins risquent de rencontrer, sur leur trajet à l’école, dans la cage d’escalier ou dans la rue, un homme étranger animé d’intentions malsaines.

            Il suffit d’un moment d’inattention et le tour est joué, car on ne prévoit jamais ce type d’incidents malencontreux.

            Nombreux sont les cas de disparition d’enfants, retrouvés dans la majorité des cas morts, qui défrayent la chronique plongeant la société civile dans un état de terreur constant. Les chiffres avancés par les services de la sécurité reflètent réellement l’alarmante expansion d’un phénomène qui hante aujourd’hui la population algérienne. En effet, les dernières statistiques en date, réalisées par les services de la Gendarmerie nationale en 2007, mettent en évidence 146 cas de kidnappings dont la majorité a eu pour motif l’abus sexuel.

            Yasser de Constantine, Yacine d’Alger et bien d’autres noms de marmots disparus et décédés dans des conditions douteuses nous rappellent le terrible cauchemar que nous redoutons tous, ne plus retrouver son enfant à ses côté et s’en remettre à l’évidence qu’il vient d’être kidnapper et que ces ravisseurs, rarement en proie à un sentiment de culpabilité, ne daignent le reconduire jusqu’à la maison. Vous serez hors de vous, vous ne vous sentirez plus exister et tout ce qui compte à vos yeux est de retrouver cette partie perdue de vous-même quelque part dans la nature. C’est ce qu’avaient éprouvé les parents d’enfants kidnappés, vivant au jour le jour l’espoir de retrouver leur enfant enlevé, implorant le bon Dieu de le protéger. Entre profond chagrin, sentiment de culpabilité d’être un parent indigne et regrets, ces parents sont profondément affectés. Leur cauchemar commence souvent par la disparition de l’enfant pour prendre fin, dans la plupart des cas enregistrés en Algérie, par l’annonce du tragique évènement : le décès de l’enfant.

            Compatissant profondément à la douleur de ces parents meurtris, je me permets de dire que nul n’est à l’abri de ce genre d’incidents malencontreux qui marque à vie. Le kidnapping, bien qu’il ne soit pas un phénomène qui date d’hier et qui manifestement présent dans toutes les sociétés, reste un fait sociétal extrêmement alarmant et qui augmente intensément en Algérie.

            Face à la gravité de la situation, nous nous préoccupons tous de la nature de ce fait, des motifs qui le sous-tendent, des procédés de protection des chérubins contre les agissements de bourreaux insensibles, particulièrement par la pénalisation sévère de ces actes indignes.
            Il a été noté par des spécialistes que l’abus sexuel figure parmi les premiers motifs incitant le passage à l’acte, avant même la demande de la rançon ou le trafic des organes. La pédophile est de ce fait, a côté du phénomène d’enlèvement d’enfant, une autre manifestation dramatique au sein de notre société.

            La pédophilie est une déviation sexuelle dans laquelle un adulte éprouve un attrait sexuel irrésistible à l’égard d’un enfant. Ce trouble des conduites sexuelles est dit latent lorsque la personne ressentant cette envie se limite à entretenir des fantasmes sur les enfants sans jamais songer au passage à l’acte. Une fois le passage à l’acte consommé, c’est-à-dire qu’un enfant est violé par un pédophile, la tendance est dites confirmée. Le pédophile agit d’une manière trop subtile, faisant souvent partie de l’entourage de l’enfant et lui étant, par conséquent, particulièrement familier, il profite de la confiance du gosse pour abuser de lui. D’apparence, les pédophiles sont des êtres tout à fait normaux, mais qui sous transforment, sous l’emprise d’un instinct sexuel incontrôlable, en de vraies bêtes assoiffés.

            Pour cela, les parents doivent doubler de vigilance, empêchant leur enfant de faire confiance à quiconque, de sortir jouer seul dans la rue, ou de se familiariser avec les étrangers. Il importe de cesser de contraindre l’enfant d’appeler tout le monde tata et tonton en guise de respect, car cette appellation crée une certaine familiarité qui risque parfois d’être fatale.

            Ce qui s’est produit avec le jeune Yasser de Constantine, âgé de 12 ans confirme ces propos, car le kidnappeur et le violeur du petit n’était autre que le voisin proche qui avait l’air si ingénu et adorait jouer avec le garçonnet. Personne ne se douta de ses intentions jusqu’au jour où le drame survint.

            Notre pays n’est pas le seul à souffrir de la pédophilie. Des statistiques publiées au Maghreb, en 2006, affirment que dans 46 % des cas, l’âge des enfants victimes d’agression sexuelle varie entre 11 et 15 ans contre 22 % pour ceux âgé entre 6 et 10 ans et 12 % pour ceux âgés entre 16 et 18 ans, et 10% pour ceux de moins de 5 ans.

            Les mêmes statistiques indiquent que 21% des agresseurs sont des voisins, donc des personnes faisant partie de l’entourage de l’enfant, 9 % sont des instituteurs, dans les 6% figure parents, gardiens, proches et fonctionnaires au niveau de l’administration de l’école.
            Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,

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            • #7
              «1000 à 1500 » cas sont signalés chaque année.

              Reflexion: Mercredi 7 Octobre 2020

              On ma dit dans ce forum certains me disait que seulement la peine de mort est le remède. Je ne suis pas d'accord car ça mène vers l'Arabie Saoudite ou on tue avec un sabre. Je trouve cela abominable. Pourtant il y a la possibilité de mettre ces ''monstres'' dans des prisons pour la vie et sans réduction quelque part dans le désert.

              Au vu des statistiques données par les organismes spécialisés et étalées dans la presse, il s’agit d’un véritable fléau que culmine de façon dramatique le kidnapping, suivi, dans des proportions inquiétantes, par l’assassinat. Le réseau Nada pour la défense des droits de l’enfant a révélé que les enfants sont en perpétuel danger ! Ils sont des milliers à avoir été victimes de rapt. «1000 à 1500 » cas sont signalés chaque année.

              Le crime commis à Mahelma, à l’ouest d’Alger, contre une fillette de 8 ans a mis en émoi non seulement les voisins mais toute l’Algérie, confrontée subitement au phénomène de la violence à l’égard des enfants. Comment agir pour que les enfants soient mieux protégés contre toutes les agressions, depuis celles qui paraissent les plus minimes, les coups donnés par les parents ou le châtiment corporel infligé à l’école, jusqu’à l’enlèvement pour des motifs criminels (sévices sexuels, prise d’organes ou demande de rançon). L’application stricte et rigoureuse de la législation dans ce domaine est indispensable mais elle ne suffit pas, les cas tragiques qui se présentent encore le prouvent. Seul le rétablissement de la peine de mort peut contraindre les assassins assoiffés de sang humain à renoncer à leurs crimes pour aller impunément commettre des actes de tueries et d’enlèvements sur des enfants innocents qui sont nombreux chaque année et dont le châtiment frileux pousse souvent à la récidive.

              Le châtiment doit être exemplaire
              Les criminels qui s’en prennent aux enfants sont sévèrement punis par la loi et notre appareil judiciaire, comme partout ailleurs dans le monde, ne leur reconnaît aucune circonstance atténuante. Il faut, disent, certains, aller plus loin en prononçant la condamnation à mort pour de tels actes, autrement dit mettre à exécution cette peine, puisqu’elle n’est pas encore abolie. En fait, l’assassinat de la petite Chaïma démontre malheureusement la nécessité d’une implication plus grande et plus forte de l’Etat, à travers toutes ses institutions, et surtout de la population, pas seulement les citoyens organisés en associations. Dans ce contexte, le président de la Fondation nationale pour la promotion de la santé et du développement de la recherche (FOREM), Mustapha Khiati s’exprimant sur les ondes de la chaine III de la radio nationale a plaidé pour le rétablissement de la peine de mort dans les cas graves qui touchent les enfants. “Nous sommes parmi les gens qui disent qu’en cas d’enlèvements d’enfants suivis d’agressions sexuelles et d’assassinats, la peine de mort doit être rétablie, car dans ce genre de situations, c’est la société qui est ébranlée et ce sont ses fondements qui sont touchés” a estimé Khiati, ouvrant ainsi le débat sur la peine de mort. L’orateur répondait à une question sur les mesures pénales à prendre à la suite de l’enlèvement et l’assassinat à Mahlema (Zeralda) de la petite Chaïma. Pour lui, le drame qui a touché Chaïma et sa famille, “nous interpelle et ébranle les fondements de la société”. “Chaque enlèvement d’enfants est une disparition de trop” s’est-il offusqué. La peine de mort en Algérie, si elle n’a pas été abolie, reste suspendue dans son application depuis 1993. Les autorités ouvriront-elles ce dossier comme le demande une partie de la société, notamment à la faveur de l’ouverture de ce débat par le président de la FOREM?

              Le rôle primordial des médias
              De ce fait, le rôle des médias est ici primordial. Il faut une politique de prévention pour réduire les cas de violences contre les enfants, définir des mécanismes qui permettent aux voisins et, d’une façon plus large, à n’importe quel citoyen d’intervenir pour mettre un terme à des situations où les enfants sont maltraités. Face au kidnapping, il y a urgence de mettre en place un système d’alerte qui permettra de réagir immédiatement pour réduire la marge de manœuvre des criminels, et libérer les victimes.
              Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,

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