Tweet
Les Marocains à l’origine de la fausse lettre du diplomate diffusée par Zitout
Des sources sûres ont affirmé à ****************** que la fausse lettre d’un diplomate algérien «révélée» par le chef de file du mouvement islamiste Rachad lui est parvenue des services secrets marocains. Agissant sur ordre de ses mentors de la DGED, Larbi Zitout a été missionné par Rabat pour porter atteinte à l’image de la diplomatie algérienne dans le contexte précis du dialogue interlibyen duquel le Maroc avait été écarté par Berlin et du dossier sahraoui dans lequel le Makhzen reçoit gifle sur gifle.
«Il n’est un secret pour personne que la nébuleuse qui agit à partir de Londres, Lille et Genève est financée par des officines secrètes marocaines, qataries et turques. Chacune trouvant un intérêt propre à mener des actions subversives contre l’Algérie à travers leurs cyber-pions. Ce n’est pas par hasard si, depuis sa défection de l’ambassade d’Algérie à Tripoli en 1997, Larbi Zitout est devenu depuis cette date un agitateur pour le compte de ses mentors», indiquent nos sources. «Ce dernier, qui œuvre depuis des années à provoquer le chaos en Algérie à partir de son exil doré londonien, reprend aveuglement les propos mensongers et propagandistes de la presse marocaine, à l’instar de la prétendue lettre de dénonciation qui aurait été rédigée en septembre 2020 par un pseudo-diplomate en colère, relayée à satiété par les grands désinformateurs du voisin de l’Ouest», font remarquer nos sources.
Il a, en effet, été remarqué une campagne enragée contre ****************** dans les médias inféodés au Makhzen dès le lendemain de la publication par notre site de l’information révélant le caractère mensonger de cette information. «Par-delà le caractère farfelu et risible d’une telle posture, il y a lieu de s’interroger sur les raisons et les circonstances de cette sous-traitance qui pousse quelques-uns des mécontents algériens à relayer de telles calomnies sur leur pays», notent nos sources, qui expliquent que, «contrairement à ses assertions, l’ancien diplomate de bas étage vient d’être démasqué par ses amis d’un site marocain hostile à l’Algérie qui ont montré par inadvertance ses manigances traîtresses, tout particulièrement en lui accordant un intérêt particulier et en lui accordant un refuge intra-muros sur les colonnes de leurs médias de propagande pour porter atteinte à l’Algérie».
En septembre dernier, des sources autorisées avaient démenti les «divagations» et les «mensonges» sur une prétendue lettre de dénonciation qui aurait été rédigée par un «diplomate en colère». «Cette grossière manipulation dans laquelle il est fait appel à une technique propagandiste subtile vise à ternir maladroitement les hauts cadres du département des Affaires étrangères», expliquaient nos sources. «Alléguer que les diplomates auraient été rappelés initialement au mois de juillet dernier est une affabulation», soulignaient nos sources, selon lesquelles «tout en faisant l’impasse sur les innombrables prérequis liés aux préparatifs du mouvement diplomatique de l’année en cours, l’auteur de cette contrevérité travestit la réalité» car «il n’a jamais été question de procéder au rappel des diplomates au mois de juillet, au titre du mouvement diplomatique et consulaire de cette année».
«Officiellement, les diplomates devaient se préparer pour leur rappel le 15 août 2020, si toutefois les conditions générales dans les pays d’accueil, notamment par rapport à la pandémie du Covid-19, le permettaient», relevaient nos sources, qui faisaient savoir que «la réalité des choses est que les auteurs de ces balivernes ne comprennent pas, ou feignent de ne pas comprendre, que les décisions des autorités algériennes en matière de diplomatie ne convergent pas avec celles des autorités marocaines, qui semblent grandement problématiques pour ces dernières».
«Larbi Zitout, ajoutent nos sources, se permet, depuis Londres, de divaguer et de commettre un autre impair, notamment lorsqu’il dit que les diplomates subissent une situation sociale alarmante depuis le mois de juillet 2020, à cause d’une conduite irréfléchie de leur hiérarchie, qualifiée de tous les sobriquets». «C’est du jamais vu !» rétorquaient nos sources qui regrettaient que le propagateur de telles divagations «n’en évalue même pas les conséquences». «Ce n’est qu’à la fin août 2020 que les diplomates ont été officiellement, pour la seconde fois, rappelés et invités à prendre, d’ici le 15 septembre, toutes les mesures et les précautions sur l’ensemble des questions, tout particulièrement en matière d’hébergement», indiquaient nos sources.
«A aucun moment nos diplomates n’ont été instruits à quitter leurs appartements et, à ce sujet, la quasi-totalité des diplomates rappelés sont maintenus dans leurs logements d’astreinte avec l’aimable approbation des propriétaires», insistaient nos sources qui notaient que «le décalage programmatif du mouvement diplomatique est complexe car lié à la pandémie, dont, notamment, l’ouverture des frontières et la reprise des vols internationaux».
Le rapatriement des diplomates bloqués à l’étranger a été finalement décidé pour ce 15 octobre.
K. M.
Des sources sûres ont affirmé à ****************** que la fausse lettre d’un diplomate algérien «révélée» par le chef de file du mouvement islamiste Rachad lui est parvenue des services secrets marocains. Agissant sur ordre de ses mentors de la DGED, Larbi Zitout a été missionné par Rabat pour porter atteinte à l’image de la diplomatie algérienne dans le contexte précis du dialogue interlibyen duquel le Maroc avait été écarté par Berlin et du dossier sahraoui dans lequel le Makhzen reçoit gifle sur gifle.
«Il n’est un secret pour personne que la nébuleuse qui agit à partir de Londres, Lille et Genève est financée par des officines secrètes marocaines, qataries et turques. Chacune trouvant un intérêt propre à mener des actions subversives contre l’Algérie à travers leurs cyber-pions. Ce n’est pas par hasard si, depuis sa défection de l’ambassade d’Algérie à Tripoli en 1997, Larbi Zitout est devenu depuis cette date un agitateur pour le compte de ses mentors», indiquent nos sources. «Ce dernier, qui œuvre depuis des années à provoquer le chaos en Algérie à partir de son exil doré londonien, reprend aveuglement les propos mensongers et propagandistes de la presse marocaine, à l’instar de la prétendue lettre de dénonciation qui aurait été rédigée en septembre 2020 par un pseudo-diplomate en colère, relayée à satiété par les grands désinformateurs du voisin de l’Ouest», font remarquer nos sources.
Il a, en effet, été remarqué une campagne enragée contre ****************** dans les médias inféodés au Makhzen dès le lendemain de la publication par notre site de l’information révélant le caractère mensonger de cette information. «Par-delà le caractère farfelu et risible d’une telle posture, il y a lieu de s’interroger sur les raisons et les circonstances de cette sous-traitance qui pousse quelques-uns des mécontents algériens à relayer de telles calomnies sur leur pays», notent nos sources, qui expliquent que, «contrairement à ses assertions, l’ancien diplomate de bas étage vient d’être démasqué par ses amis d’un site marocain hostile à l’Algérie qui ont montré par inadvertance ses manigances traîtresses, tout particulièrement en lui accordant un intérêt particulier et en lui accordant un refuge intra-muros sur les colonnes de leurs médias de propagande pour porter atteinte à l’Algérie».
En septembre dernier, des sources autorisées avaient démenti les «divagations» et les «mensonges» sur une prétendue lettre de dénonciation qui aurait été rédigée par un «diplomate en colère». «Cette grossière manipulation dans laquelle il est fait appel à une technique propagandiste subtile vise à ternir maladroitement les hauts cadres du département des Affaires étrangères», expliquaient nos sources. «Alléguer que les diplomates auraient été rappelés initialement au mois de juillet dernier est une affabulation», soulignaient nos sources, selon lesquelles «tout en faisant l’impasse sur les innombrables prérequis liés aux préparatifs du mouvement diplomatique de l’année en cours, l’auteur de cette contrevérité travestit la réalité» car «il n’a jamais été question de procéder au rappel des diplomates au mois de juillet, au titre du mouvement diplomatique et consulaire de cette année».
«Officiellement, les diplomates devaient se préparer pour leur rappel le 15 août 2020, si toutefois les conditions générales dans les pays d’accueil, notamment par rapport à la pandémie du Covid-19, le permettaient», relevaient nos sources, qui faisaient savoir que «la réalité des choses est que les auteurs de ces balivernes ne comprennent pas, ou feignent de ne pas comprendre, que les décisions des autorités algériennes en matière de diplomatie ne convergent pas avec celles des autorités marocaines, qui semblent grandement problématiques pour ces dernières».
«Larbi Zitout, ajoutent nos sources, se permet, depuis Londres, de divaguer et de commettre un autre impair, notamment lorsqu’il dit que les diplomates subissent une situation sociale alarmante depuis le mois de juillet 2020, à cause d’une conduite irréfléchie de leur hiérarchie, qualifiée de tous les sobriquets». «C’est du jamais vu !» rétorquaient nos sources qui regrettaient que le propagateur de telles divagations «n’en évalue même pas les conséquences». «Ce n’est qu’à la fin août 2020 que les diplomates ont été officiellement, pour la seconde fois, rappelés et invités à prendre, d’ici le 15 septembre, toutes les mesures et les précautions sur l’ensemble des questions, tout particulièrement en matière d’hébergement», indiquaient nos sources.
«A aucun moment nos diplomates n’ont été instruits à quitter leurs appartements et, à ce sujet, la quasi-totalité des diplomates rappelés sont maintenus dans leurs logements d’astreinte avec l’aimable approbation des propriétaires», insistaient nos sources qui notaient que «le décalage programmatif du mouvement diplomatique est complexe car lié à la pandémie, dont, notamment, l’ouverture des frontières et la reprise des vols internationaux».
Le rapatriement des diplomates bloqués à l’étranger a été finalement décidé pour ce 15 octobre.
K. M.