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La Libye a déclaré hier qu’elle refuserait d’assumer la présidence de la session en cours de la Ligue arabe. Elle devient ainsi, le sixième pays à refuser.
Dans une déclaration officielle du porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Mohammed Al-Qiblawi, le représentant libyen auprès de l’AL, Saleh Al-Shammakhi, s’est excusé au nom de son gouvernement auprès du secrétariat général de la Ligue. «La Libye a hâte de présider la ligue dans de meilleures conditions», lit-on dans le communiqué, ajoutant que le pays africain adhérait à son «droit à la présidence conformément au règlement intérieur et à l’ordre en vigueur».
L’élection de la Libye pour la 154 session de l’AL s’est déroulée selon l’ordre alphabétique des noms des États membres du Conseil. Son rejet intervient après que la Palestine, le Qatar, les Comores, le Liban et le Koweït ont refusé d’assumer ce rôle.
Le 22 septembre, le ministre palestinien des Affaires étrangères, Riyad Al-Maliki, a annoncé que son pays renoncerait à son droit d’occuper la présidence tournante de la Ligue en réponse au soutien du secrétariat du conseil et du secrétaire général aux accords de normalisation des Émirats arabes unis et de Bahreïn avec le État d’occupation d’Israël. Le Qatar a emboîté le pas, mais a déclaré qu’il respecterait son droit d’assumer la prochaine 155e présidence de la ligue.
laminute . info
Dans une déclaration officielle du porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Mohammed Al-Qiblawi, le représentant libyen auprès de l’AL, Saleh Al-Shammakhi, s’est excusé au nom de son gouvernement auprès du secrétariat général de la Ligue. «La Libye a hâte de présider la ligue dans de meilleures conditions», lit-on dans le communiqué, ajoutant que le pays africain adhérait à son «droit à la présidence conformément au règlement intérieur et à l’ordre en vigueur».
L’élection de la Libye pour la 154 session de l’AL s’est déroulée selon l’ordre alphabétique des noms des États membres du Conseil. Son rejet intervient après que la Palestine, le Qatar, les Comores, le Liban et le Koweït ont refusé d’assumer ce rôle.
Le 22 septembre, le ministre palestinien des Affaires étrangères, Riyad Al-Maliki, a annoncé que son pays renoncerait à son droit d’occuper la présidence tournante de la Ligue en réponse au soutien du secrétariat du conseil et du secrétaire général aux accords de normalisation des Émirats arabes unis et de Bahreïn avec le État d’occupation d’Israël. Le Qatar a emboîté le pas, mais a déclaré qu’il respecterait son droit d’assumer la prochaine 155e présidence de la ligue.
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