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cet avion est le premier à avoir entierement été conçu de façon virtuelle, un exploit technico commercial qui s'etend jusqu'au details de la ligne de production .
c'était pas trop dur à faire aprés des milliers de falcon cosntruits, il differe pas beaucoup du falcon 50 ou 900d'ailleurs, qu'est-ce que vous en pensez ?
Bombardier (Canada) et Embraer en font pas mal aussi, de 12 à 100 places, très luxueux. Lockheed l'américain aussi.
D'ailleurs l'Algérie à acheté récemment 4 Bombardier (qui sont pour moi les meilleurs) et va en acquerrir d'autres.
La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !
Bombardier Aéronautique a annoncé vendredi que le transporteur aérien algérien Tassili Airlines a passé une commande ferme de quatre biturbopropulseurs Q200 de 35 places.
Au prix courant de l'appareil Q200, le contrat a une valeur d'environ 74 M$ US.
Cette commande de biturbopropulseurs Q200 suit l'annonce, le 31 juillet 2006, de la commande de Tassili Airlines relative à quatre Bombardier Q400 de 74 places.
Tassili sera le premier exploitant des avions de ligne Q400 et de Q200 en Algérie.
Filiale de Sonatrach State Energy Group, Tassili Airlines assurera d'abord le transport de travailleurs vers plusieurs champs pétrolifères algériens. Tassili prévoit ajouter des vols réguliers intérieurs et internationaux d'ici quelques années.
Bombardier s'excuse à la japonaise pour l'accident survenu au Japon
Le 16 mars 2007 - 17:25
La direction de Bombardier Aéronautique a pris les grands moyens, vendredi, pour tenter de rétablir sa réputation à la suite de l'accident spectaculaire survenu au Japon plus tôt cette semaine.
Todd Young, vice-président au soutien à la clientèle pour les avions régionaux, s'est rendu à Tokyo pour s'excuser auprès des dirigeants de la compagnie aérienne All Nippon Airlines (ANA) et des représentants du ministère japonais des Transports. Il devait aussi inspecter l'appareil en cause.
"Laissez-moi présenter nos sincères regrets et excuses à toutes les personnes concernées", a-t-il déclaré en se prosternant devant les journalistes, suivant ainsi une tradition nippone.
"C'est la façon de faire au Japon: on se rend sur place et on s'excuse auprès des passagers et de la compagnie aérienne", a expliqué depuis Montréal un porte-parole de Bombardier Aéronautique, Marc Duchesne, en reconnaissant que le geste pouvait surprendre aux yeux d'un Nord-Américain.
"Ca ne veut pas dire que Bombardier est coupable de quoi que ce soit, s'est-il empressé d'ajouter. L'enquête se poursuit."
Mardi matin, un turbopropulseur DHC-8 (maintenant connu sous le nom de Q400) de l'ANA a tourné pendant près de deux heures dans les airs afin de trouver une façon de débloquer son train d'atterrissage avant. Il s'est finalement posé sur les roues arrière à l'aéroport de Kochi, dans le sud du pays, le nez de l'avion frottant sur la piste.
Des images de télévision ont montré des étincelles jaillissant du bas du fuselage, mais l'incendie a été évité. Aucune des 60 personnes à bord n'a été blessée.
La Commission d'enquête des accidents aériens et ferroviaires du Japon a annoncé que c'est un boulon manquant dans le mécanisme d'ouverture de la porte du train d'atterrissage avant qui a empêché ce dernier de se déployer.
Inspections plus fréquentes
Dans la foulée de cette découverte, le ministère japonais des Transports ordonnera aux compagnies aériennes du pays d'accroître la fréquence des inspections de ce boulon sur les DHC-8, a rapporté vendredi le quotidien "Yomiuri Shimbun".
Selon le journal, les inspections devront avoir lieu à toutes les 400 heures de vol, alors qu'elles étaient effectuées à toutes les 4000 heures jusqu'ici.
Depuis son arrivée au Japon en 2003, le DHC-8 a connu pas moins de 77 défectuosités, dont 43 sur les appareils d'ANA, a précisé le quotidien.
Une porte-parole de Transports Canada a indiqué vendredi que le ministère n'avait pas modifié ses exigences pour les inspections des DHC-8.
Depuis l'accident de mardi, ANA et Japan Airlines ont cloué au sol tous leur DHC-8, puis inspecté visuellement les boulons en question. Mais d'après l'"Asahi Shimbun", ANA a remis en service certains appareils dès le lendemain de l'accident, le mercredi, sans avoir préalablement inspecté les fameux boulons. Japan Airlines aurait attendu à jeudi, après avoir terminé les inspections.
Au moins 80 vols ont été annulés, laissant des milliers de voyageurs sur le carreau.
Vendredi, M. Young a précisé que dans le passé, sept autres DHC-8 avaient dû procéder à des atterrissages d'urgence à cause d'une défaillance du train avant. Il a toutefois assuré que l'accident de Kochi était le premier impliquant la perte d'un boulon. Bombardier a par conséquent demandé aux transporteurs du monde entier de vérifier cette pièce sur leurs appareils.
Le dirigeant de l'avionneur montréalais n'a pas voulu dire si l'absence du boulon résultait d'un problème de conception ou d'un entretien déficient de la part d'ANA.
Bombardier a offert sa "pleine collaboration" aux autorités japonaises et à la compagnie aérienne. Le dénouement des enquêtes pourrait prendre plusieurs mois.
L'incident de Kochi était le plus récent d'une série de problèmes qui ont affligé les appareils Bombardier d'ANA, ce qui a forcé le deuxième transporteur japonais en importance à présenter des excuses officielles, l'année dernière.
A la Bourse de Toronto, vendredi, le titre de Bombardier a clôturé à 4,47 $, en baisse de 90 cents (près de 2 pour cent). L'action a connu cette semaine sa plus forte chute en plus de six mois.
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