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Des Marocains piratent le site internet du ministère de la Santé algérien
Le site internet du ministère de la Santé algérien a été victime, le 14 octobre dernier d’un piratage. Cette attaque est l’œuvre de cybercriminels marocains, nommé « Morrocan revolution hacker’s ».
Le site du ministère de la Santé est resté inactif pendant toute la durée de l’attaque.
Sur la page d’accueil du site, une page anonyme apparaissait avec un message en anglais qui défilait : « Salut. Nous sommes des hackers marocains et algériens. Nous sommes les Blackhat hackers ».
Pour réussir cette attaque, les cybercriminels ont réussi à contourner les différents systèmes de protection du site internet du ministère de la Santé.
Il a fallu plusieurs heures aux équipes techniques du ministère algérien pour rétablir la situation.
Cette attaque du site n’est pas une première. En mai dernier, un hacker marocain surnommé « Ox Souhail » l’avait également attaqué, privant le ministère de son site pendant plusieurs heures avant qu’il ne soit fonctionnel à nouveau.
À l’époque, les médias locaux avaient associé ce piratage à l’affaire du Consul Général marocain à Oran.
le petit journal marocain
Le site internet du ministère de la Santé algérien a été victime, le 14 octobre dernier d’un piratage. Cette attaque est l’œuvre de cybercriminels marocains, nommé « Morrocan revolution hacker’s ».
Le site du ministère de la Santé est resté inactif pendant toute la durée de l’attaque.
Sur la page d’accueil du site, une page anonyme apparaissait avec un message en anglais qui défilait : « Salut. Nous sommes des hackers marocains et algériens. Nous sommes les Blackhat hackers ».
Pour réussir cette attaque, les cybercriminels ont réussi à contourner les différents systèmes de protection du site internet du ministère de la Santé.
Il a fallu plusieurs heures aux équipes techniques du ministère algérien pour rétablir la situation.
Cette attaque du site n’est pas une première. En mai dernier, un hacker marocain surnommé « Ox Souhail » l’avait également attaqué, privant le ministère de son site pendant plusieurs heures avant qu’il ne soit fonctionnel à nouveau.
À l’époque, les médias locaux avaient associé ce piratage à l’affaire du Consul Général marocain à Oran.
le petit journal marocain