Bladi
16 octobre 2020 la
L’organisation des Nations-Unies, à travers le groupe du travail sur la détention arbitraire, ordonne aux autorités algériennes d’accorder une réparation sous forme d’une indemnité, à Messaoud Leftissi. Celui-ci Il a été arrêté et détenu de manière arbitraire, pour avoir porté le drapeau amazigh.
Le groupe du travail sur la détention arbitraire, une institution des Nations-Unies, a jugé l’arrestation des manifestants pour le port de drapeau amazigh de « violation des droits de l’homme ». L’instance onusienne considère que la possession et l’exhibition d’un drapeau amazigh, de même que la participation à des manifestations pour les droits des peuples autochtones en Afrique du Nord font partie des droits humains », a indiqué le document.
Priver un homme de ce droit constitue une violation du droit international. Il interdit la discrimination, l’origine nationale, ethnique ou sociale, ou autres raisons susceptibles de conduire à l’ignorance du principe de l’égalité des êtres humains. En tenant compte de ces critères, la mesure appropriée jugée par le groupe consisterait à accorder à M. Leftissi le droit d’obtenir réparation, sous forme d’indemnité conformément au droit international, a souligné le document.
Une autre instance des Nations-Unies sera également saisie sur la question des droits des minorités dans cette affaire. De même, l’Algérie devra mettre ses lois en conformité avec les recommandations formulées dans le document avec les engagements pris par ce pays en vertu du droit international des droits de l’homme.
Pour rappel, le 21 juin 2019, des policiers en civil ont arrêté M. Leftissi à Alger, sans mandat d’arrêt ou décision de l’autorité, alors qu’il se rendait à une manifestation avec en sa possession un drapeau algérien et un drapeau amazigh. Ce qui a conduit à son arrestation pendant près de six mois, de même qu’à la saisie du drapeau amazigh et une pancarte qui était également en sa possession, mentionne Le monde amazigh.
16 octobre 2020 la
L’organisation des Nations-Unies, à travers le groupe du travail sur la détention arbitraire, ordonne aux autorités algériennes d’accorder une réparation sous forme d’une indemnité, à Messaoud Leftissi. Celui-ci Il a été arrêté et détenu de manière arbitraire, pour avoir porté le drapeau amazigh.
Le groupe du travail sur la détention arbitraire, une institution des Nations-Unies, a jugé l’arrestation des manifestants pour le port de drapeau amazigh de « violation des droits de l’homme ». L’instance onusienne considère que la possession et l’exhibition d’un drapeau amazigh, de même que la participation à des manifestations pour les droits des peuples autochtones en Afrique du Nord font partie des droits humains », a indiqué le document.
Priver un homme de ce droit constitue une violation du droit international. Il interdit la discrimination, l’origine nationale, ethnique ou sociale, ou autres raisons susceptibles de conduire à l’ignorance du principe de l’égalité des êtres humains. En tenant compte de ces critères, la mesure appropriée jugée par le groupe consisterait à accorder à M. Leftissi le droit d’obtenir réparation, sous forme d’indemnité conformément au droit international, a souligné le document.
Une autre instance des Nations-Unies sera également saisie sur la question des droits des minorités dans cette affaire. De même, l’Algérie devra mettre ses lois en conformité avec les recommandations formulées dans le document avec les engagements pris par ce pays en vertu du droit international des droits de l’homme.
Pour rappel, le 21 juin 2019, des policiers en civil ont arrêté M. Leftissi à Alger, sans mandat d’arrêt ou décision de l’autorité, alors qu’il se rendait à une manifestation avec en sa possession un drapeau algérien et un drapeau amazigh. Ce qui a conduit à son arrestation pendant près de six mois, de même qu’à la saisie du drapeau amazigh et une pancarte qui était également en sa possession, mentionne Le monde amazigh.
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