Une grand-mère est devenue sur les réseaux sociaux un symbole emblématique de la femme forte de caractère qui ne baisse jamais les bras , elle a obtenu son BAC à l’âge de soixante-dix (70) ans, et cette année elle décroche son diplôme de la Faculté de Droit de Mostaganem .
Pour la remise de diplômes , Hajja Yamina a emprunté à sa petite-fille sa robe universitaire et un chapeau. Nombreux les internautes qui ont repris son parcours sur leurs comptes et pages.
Dans la vie, l’ascension vers la réussite et la gloire est fréquemment semée d’embûches. Des codes sociaux rigides, voire figés, inhibent le potentiel d’innombrables personnes. Peu d’entre elles parvient à s’en détacher des préceptes arbitraires profondément ancrés dans l’inconscient collectif.
Qui a dit qu’au «troisième âge» on ne peut apprendre ni un art, ni une langue, ni une discipline scientifique, ni même s’initier à la philosophie ou à la littérature ? Ou comme dans le cas de l’algérienne Yamina Dahmoune, étudier le droit et exercer l’un de ses métiers.
La sagesse de la grand-mère, qu’elle est, ne pourrait que lui être un atout formidable dans ce domaine. Nous avons pendant longtemps stigmatisé les gens de cette tranche d’âge. Certains voient même en eux un fardeau sur la société. On les retrouve également livrés à eux-mêmes dans la rue.
Par son admirable exploit, Yamina Dahmoune démontre que parfois ce sont les postulats d’ordre social qui bloquent les gens et empêchent leur émancipation. Ce sont ces limitations irrationnelles qui en fait les séparent de leur épanouissement. Peu importe d’ailleurs l’âge, le sexe ou autres critères de différenciation.
DzDaily
Pour la remise de diplômes , Hajja Yamina a emprunté à sa petite-fille sa robe universitaire et un chapeau. Nombreux les internautes qui ont repris son parcours sur leurs comptes et pages.
Dans la vie, l’ascension vers la réussite et la gloire est fréquemment semée d’embûches. Des codes sociaux rigides, voire figés, inhibent le potentiel d’innombrables personnes. Peu d’entre elles parvient à s’en détacher des préceptes arbitraires profondément ancrés dans l’inconscient collectif.
Qui a dit qu’au «troisième âge» on ne peut apprendre ni un art, ni une langue, ni une discipline scientifique, ni même s’initier à la philosophie ou à la littérature ? Ou comme dans le cas de l’algérienne Yamina Dahmoune, étudier le droit et exercer l’un de ses métiers.
La sagesse de la grand-mère, qu’elle est, ne pourrait que lui être un atout formidable dans ce domaine. Nous avons pendant longtemps stigmatisé les gens de cette tranche d’âge. Certains voient même en eux un fardeau sur la société. On les retrouve également livrés à eux-mêmes dans la rue.
Par son admirable exploit, Yamina Dahmoune démontre que parfois ce sont les postulats d’ordre social qui bloquent les gens et empêchent leur émancipation. Ce sont ces limitations irrationnelles qui en fait les séparent de leur épanouissement. Peu importe d’ailleurs l’âge, le sexe ou autres critères de différenciation.
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