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François Bayrou, arbitre du 2e tour de la présidentielle entre Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy, a exprimé son "désaccord économique assez profond" avec Mme Royal. Il s'exprimait lors d'un débat face-à-face avec la candidate socialiste.
Mme Royal a réfuté l'idée que son pacte présidentiel soit "un pacte étatique". "Je considère que toutes les dépenses publiques proposées dans ce pacte rapportent davantage qu'elles ne coûtent", a-t-elle souligné. Elle a reconnu des "désaccords sur la question économique" avec M. Bayrou.
M. Bayrou, qui a recueilli 18,6% des voix au premier tour, et Mme Royal ont dégagé un nombre de points de convergence notamment sur la réforme des institutions et la nécessité de mettre un terme à l'affrontement politique "bloc contre bloc" en France. Mais ils ont, comme attendu, développé des points de vue nettement différents en matière économique.
Largement devancée par Nicolas Sarkozy avec 25,87% des voix contre 31,18% au premier tour, Ségolène Royal a lancé lundi dernier une proposition de dialogue au candidat de l'UDF.
- AP
Mme Royal a réfuté l'idée que son pacte présidentiel soit "un pacte étatique". "Je considère que toutes les dépenses publiques proposées dans ce pacte rapportent davantage qu'elles ne coûtent", a-t-elle souligné. Elle a reconnu des "désaccords sur la question économique" avec M. Bayrou.
M. Bayrou, qui a recueilli 18,6% des voix au premier tour, et Mme Royal ont dégagé un nombre de points de convergence notamment sur la réforme des institutions et la nécessité de mettre un terme à l'affrontement politique "bloc contre bloc" en France. Mais ils ont, comme attendu, développé des points de vue nettement différents en matière économique.
Largement devancée par Nicolas Sarkozy avec 25,87% des voix contre 31,18% au premier tour, Ségolène Royal a lancé lundi dernier une proposition de dialogue au candidat de l'UDF.
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