23 OCTOBRE 2020 PAR NEJMA BRAHIM
Depuis l’attentat de Conflans-Sainte-Honorine ayant conduit à l’assassinat infâme du professeur d’histoire-géographie Samuel Paty, vendredi 16 octobre, la diaspora tchétchène de France se sent montrée du doigt. Elle est pourtant, comme le reste de la France, sous le choc.
Au bout du fil, sa voix est affectée. Il ne réalise toujours pas qu’un homme innocent, dont le métier de professeur symbolise la République et le savoir, a été décapité dans l’espace public vendredi 16 octobre, près de son lieu de travail à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines). « Et c’est un jeune Tchétchène qui a fait ça », soupire Thomas*, 19 ans, noyé dans l’incompréhension.
(...)
Mediapart
Depuis l’attentat de Conflans-Sainte-Honorine ayant conduit à l’assassinat infâme du professeur d’histoire-géographie Samuel Paty, vendredi 16 octobre, la diaspora tchétchène de France se sent montrée du doigt. Elle est pourtant, comme le reste de la France, sous le choc.
Au bout du fil, sa voix est affectée. Il ne réalise toujours pas qu’un homme innocent, dont le métier de professeur symbolise la République et le savoir, a été décapité dans l’espace public vendredi 16 octobre, près de son lieu de travail à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines). « Et c’est un jeune Tchétchène qui a fait ça », soupire Thomas*, 19 ans, noyé dans l’incompréhension.
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