Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Kateb Yacine

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Kateb Yacine

    Un grand homme que cet ecrivain... Qui ne le connait pas!

    Il est mort un 28 octobre...

    “Si je ne brûle pas, si tu ne brûles pas, si nous ne brûlons pas,
    comment veux-tu que les ténèbres deviennent clarté!”

    Nazim Hikmet

  • #2
    Poète en trois langues

    “Si je ne brûle pas, si tu ne brûles pas, si nous ne brûlons pas,
    comment veux-tu que les ténèbres deviennent clarté!”

    Nazim Hikmet

    Commentaire


    • #3
      J'ai lu Nedjma, un été de 1ère dans lequel je m'ennuyais.
      Allah yerahmou (c drôle de dire cela d'un communiste, patriote, athée, anti nationaliste), il m'a fait découvrir le monde infini du roman, le pouvoir de l'imagination et le tempo du surréalisme.

      Il a eu une vie bien pleine avec plein d'anecdotes.
      Un petit poème autobiographique chanté par amazigh à l'occasion de ce clin d'oeil au grand maître des lettres dZ

      Commentaire


      • #4
        Je n'ai jamais pu rien finir de lui.
        Nedjma, pas plus que quelques pages.

        Commentaire


        • #5
          Bachi, c'est vrai que ce n'est pas facile sa lecture mais ce que j'apprecie le plus chez Kateb Yacine, c'est qu'il s'est mis au niveau du peuple...

          Tiregwa merci
          Je découvre

          Quel a été ton ressenti à la lecture de Nedjma en étant ado.

          J'ai été étonnée de savoir qu'il avait ecrit des poemes (soliloques) à l'age de 15 ans.
          “Si je ne brûle pas, si tu ne brûles pas, si nous ne brûlons pas,
          comment veux-tu que les ténèbres deviennent clarté!”

          Nazim Hikmet

          Commentaire


          • #6
            Kateb Yacine, l’étoile brille toujours

            Il est des œuvres qui traversent les âges sans prendre aucune ride. Celles de Kateb Yacine occupent une place de choix dans cette pyramide littéraire. L’auteur de l’inoxydable “Nedjma” l’est aussi. Par ses prouesses littéraires, théâtrales mais surtout par son engagement intellectuel et militant. Au panthéon de la littérature universelle, il est l’une des pierres les plus solides. Quand Louis Aragon publie en 1947 son poème dans “Les Lettres françaises”, Yacine n’avait que 18 ans. Un indigène qui s’est fait arrêter lors du massacre de mai 1945. Au front des combats émancipateurs, il est l’agitateur irrévérencieux des idées. Fortement marqué par la colonisation puis par la guerre d’indépendance, Kateb Yacine – autodidacte – a violemment ferraillé avec les progressistes hésitants. Inscrit dans le cours de l’histoire combattante, l’auteur de “L’homme aux sandales de caoutchouc” a réussi avec talent à forger la conscience des humbles.

            A l’opposé de Camus, il avait choisi avec Sénac la justice, le camp des opprimés. Foncièrement communiste, Kateb Yacine a poursuivi son engagement dans l’Algérie indépendante avec un esprit insoumis et indépendant. Sévèrement critique à l’égard du régime politique, Yacine fait le tour du monde “socialiste” pour raconter la tragédie vietnamienne, la trahison de la Palestine, le drame de l’immigration. Mais cet internationaliste revient souvent vers ses racines plongées dans une histoire plusieurs fois millénaire.

            Comme ses ancêtres, il redouble de férocité pour défendre une culture, une langue et une histoire que l’on cherche à gommer. Si ses œuvres font objet de thèses dans les plus grandes universités, dans son pays, il est ignoré, quand il n’est pas volontairement exclu par la doxa nationalitaire. En ce 31e anniversaire de sa disparition, Liberté donne la parole à Yahia Belaski, Benameur Mediène, Assia Kacedali et Youcef Aït Mouloud pour raconter les multiples facettes de celui qui fut la voie et la voix des humbles, Yacine.

            H. Ouali

            Journal Liberté

            Jeudi 29 octobre 2020
            “Si je ne brûle pas, si tu ne brûles pas, si nous ne brûlons pas,
            comment veux-tu que les ténèbres deviennent clarté!”

            Nazim Hikmet

            Commentaire


            • #7
              Je n'ai jamais pu rien finir de lui.
              Nedjma, pas plus que quelques pages.
              J'ai eu la même mésaventure avec la vie à l'endroit de boudjedra. Jamais pu finir ce roman hors style.

              Hirondelle,
              Je me suis senti tout petit

              Commentaire

              Chargement...
              X