Après l’ONG BarakaCity, le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin s’apprête à dissoudre le Collectif Contre l’Islamophobie en France (CCIF).
Face à la Commission des lois de l’Assemblée nationale lundi dernier, le ministre a annoncé que le CCIF, soupçonné d’avoir relayé la « fatwa » lancée contre le professeur d’histoire-géographie Samuel Paty, sera dissout en conseil des ministres sous quinze jours. L’organisation musulmane subira ainsi le même sort que l’ONG BarakaCity. La dissolution de cette association a été prononcée mercredi 28 octobre dernier.
« L’association BarakaCity a été dissoute en conseil des ministres ce matin (mercredi dernier). Comme le détaille le décret que j’ai présenté, elle incitait à la haine, entretenait des relations au sein de la mouvance islamiste radicale, se complaisait à justifier des actes terroristes », a écrit M. Darmanin sur son compte Twitter.
Le décret portant dissolution de l’association est on ne peut plus clair : « Considérant que l’ensemble des commentaires engendrés par les messages publiés sur les comptes des réseaux sociaux de l’association
BarakaCity constituent par eux-mêmes une provocation à la haine, à la discrimination et à la violence, qu’ils sont toujours accessibles sans que son président, ni aucun membre de l’association ne procède, ni à leur retrait ni même à une quelconque modération des propos ainsi diffusés (…) le conseil des ministres entendu décrète que l’association dénommée Barakacity est dissoute. »
bladi
Face à la Commission des lois de l’Assemblée nationale lundi dernier, le ministre a annoncé que le CCIF, soupçonné d’avoir relayé la « fatwa » lancée contre le professeur d’histoire-géographie Samuel Paty, sera dissout en conseil des ministres sous quinze jours. L’organisation musulmane subira ainsi le même sort que l’ONG BarakaCity. La dissolution de cette association a été prononcée mercredi 28 octobre dernier.
« L’association BarakaCity a été dissoute en conseil des ministres ce matin (mercredi dernier). Comme le détaille le décret que j’ai présenté, elle incitait à la haine, entretenait des relations au sein de la mouvance islamiste radicale, se complaisait à justifier des actes terroristes », a écrit M. Darmanin sur son compte Twitter.
Le décret portant dissolution de l’association est on ne peut plus clair : « Considérant que l’ensemble des commentaires engendrés par les messages publiés sur les comptes des réseaux sociaux de l’association
BarakaCity constituent par eux-mêmes une provocation à la haine, à la discrimination et à la violence, qu’ils sont toujours accessibles sans que son président, ni aucun membre de l’association ne procède, ni à leur retrait ni même à une quelconque modération des propos ainsi diffusés (…) le conseil des ministres entendu décrète que l’association dénommée Barakacity est dissoute. »
bladi
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