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Madrid, 03 novembre 2020. - (ECSAHARAUI)
Par Ali Brahim Mohamed / ECS
Les associations d'amitié et de solidarité de plusieurs communautés autonomes espagnoles ont exprimé leur solidarité absolue avec les manifestants sahraouis campés pendant deux semaines dans la brèche illégale d'El Guerguerat, pour exiger, entre autres, la fermeture totale de cette brèche illégale dans le mur de La honte marocaine et dénonce l'inaction de la MINURSO face aux violations continues du cessez-le-feu au Sahara occidental.
Les associations d'amitié avec le peuple sahraoui d'Andalousie (FANDAS), des îles Canaries, de Catalogne, de Valence et d'Estrémadure, ont réaffirmé leur solidarité et leur soutien aux manifestants sahraouis pacifiques campés dans la brèche illégale d'El Guerguerat pendant deux semaines
Les manifestations au Sahara Occidental se réunissent 14 jours consécutifs ce mardi. Les Sahraouis envoient un message fort au Maroc et à l'ONU que le statu quo sur le territoire n'est plus acceptable.
Les protestations de ceux qui bloquent la brèche illégale à El Guerguerat, à laquelle différents groupes de la société civile sahraouie continuent de se joindre, annoncent qu'ils ne se retireront pas de la région tant qu'ils n'auront pas obtenu leurs revendications, qui sont, entre autres, la clôture définitive de cette lacune, la libération immédiate de tous les prisonniers politiques sahraouis dans les prisons marocaines et la tenue d'un référendum sur l'autodétermination au Sahara occidental.
La Mission des Nations Unies pour le référendum au Sahara Occidental (MINURSO) a été créée par la Résolution 690 du Conseil de Sécurité du 29 avril 1991, conformément aux propositions de règlement acceptées le 30 août 1988 par le Maroc et le POLISARIO avant.
Le plan de règlement, tel qu'approuvé par le Conseil de sécurité, a établi une période de transition pour préparer un référendum qui n'a pas eu lieu. Le Maroc ne respecte pas les résolutions des Nations Unies et continue d'être un pays occupant qui pratique des pratiques qui ne respectent pas les droits de l'homme, dénoncés à plusieurs reprises depuis des années.
Ces jours-ci, des centaines de personnes de la société civile réfugiée sahraouie exercent leur droit de manifester à proximité du mur marocain. Ils expriment ainsi leur rejet du retard et de l’échec de l’ONU.
En revanche, les associations du mouvement de solidarité espagnol ont souligné la nécessité d'appliquer le droit international et de faire pression sur le Maroc pour qu'il se conforme au droit international et libère immédiatement tous les prisonniers politiques sahraouis, en particulier le groupe Gdeim Izik, en vigueur depuis 10 ans. arrêté avec des peines injustes pouvant aller jusqu'à la réclusion à perpétuité.
Ils dénoncent également le silence complice de la communauté internationale concernant l'insistance de la force d'occupation à imposer un fait accompli, appelant les institutions régionales et internationales et l'Espagne, en sa qualité de puissance administrante du Sahara occidental, à faire pression sur le Maroc pour abandonner les actions illégales et respecter le droit inaliénable du peuple sahraoui à l'autodétermination.
Par Ali Brahim Mohamed / ECS
Les associations d'amitié et de solidarité de plusieurs communautés autonomes espagnoles ont exprimé leur solidarité absolue avec les manifestants sahraouis campés pendant deux semaines dans la brèche illégale d'El Guerguerat, pour exiger, entre autres, la fermeture totale de cette brèche illégale dans le mur de La honte marocaine et dénonce l'inaction de la MINURSO face aux violations continues du cessez-le-feu au Sahara occidental.
Les associations d'amitié avec le peuple sahraoui d'Andalousie (FANDAS), des îles Canaries, de Catalogne, de Valence et d'Estrémadure, ont réaffirmé leur solidarité et leur soutien aux manifestants sahraouis pacifiques campés dans la brèche illégale d'El Guerguerat pendant deux semaines
Les manifestations au Sahara Occidental se réunissent 14 jours consécutifs ce mardi. Les Sahraouis envoient un message fort au Maroc et à l'ONU que le statu quo sur le territoire n'est plus acceptable.
Les protestations de ceux qui bloquent la brèche illégale à El Guerguerat, à laquelle différents groupes de la société civile sahraouie continuent de se joindre, annoncent qu'ils ne se retireront pas de la région tant qu'ils n'auront pas obtenu leurs revendications, qui sont, entre autres, la clôture définitive de cette lacune, la libération immédiate de tous les prisonniers politiques sahraouis dans les prisons marocaines et la tenue d'un référendum sur l'autodétermination au Sahara occidental.
La Mission des Nations Unies pour le référendum au Sahara Occidental (MINURSO) a été créée par la Résolution 690 du Conseil de Sécurité du 29 avril 1991, conformément aux propositions de règlement acceptées le 30 août 1988 par le Maroc et le POLISARIO avant.
Le plan de règlement, tel qu'approuvé par le Conseil de sécurité, a établi une période de transition pour préparer un référendum qui n'a pas eu lieu. Le Maroc ne respecte pas les résolutions des Nations Unies et continue d'être un pays occupant qui pratique des pratiques qui ne respectent pas les droits de l'homme, dénoncés à plusieurs reprises depuis des années.
Ces jours-ci, des centaines de personnes de la société civile réfugiée sahraouie exercent leur droit de manifester à proximité du mur marocain. Ils expriment ainsi leur rejet du retard et de l’échec de l’ONU.
En revanche, les associations du mouvement de solidarité espagnol ont souligné la nécessité d'appliquer le droit international et de faire pression sur le Maroc pour qu'il se conforme au droit international et libère immédiatement tous les prisonniers politiques sahraouis, en particulier le groupe Gdeim Izik, en vigueur depuis 10 ans. arrêté avec des peines injustes pouvant aller jusqu'à la réclusion à perpétuité.
Ils dénoncent également le silence complice de la communauté internationale concernant l'insistance de la force d'occupation à imposer un fait accompli, appelant les institutions régionales et internationales et l'Espagne, en sa qualité de puissance administrante du Sahara occidental, à faire pression sur le Maroc pour abandonner les actions illégales et respecter le droit inaliénable du peuple sahraoui à l'autodétermination.
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