Faillite programmée de la dictature marocaine? Très certainement compte du fait que les 23 milliards de dollars annuels engendrés par le haschich ne suffisent pas à assurer les besoins des Marocains et qui plus est que le coût de la colonisation du Sahara Occidental absorbe 68% desdits 23 milliards de dollars annuels.
- Fitch Ratings a abaissé la note de défaut des émetteurs (IDR) en devises à long terme du Maroc (LTFC), qui est passée de BB+ à BBB-. Cependant, l’agence de notation estime que le pays est en mesure d’amortir les impacts économiques de la pandémie.
(...).
Une stabilisation de la dette possible mais difficile
Les chocs entre offre et demande dus à la pandémie entraîneront ainsi «une détérioration significative des finances extérieures du Maroc, qui étaient déjà plus faibles que leurs homologues notés ‘BBB’», a souligné Fitch. Par ailleurs, «une baisse des exportations entraînera un doublement du déficit du compte courant», bien qu’une «contraction des composantes de la demande à forte intensité d’importations et la chute des cours du pétrole» pourront atténuer cette tendance.
Dans un autre registre, le recours accru aux emprunts extérieurs, principalement pour le secteur public, pourrait mener à «une hausse de la dette extérieure nette». Pour Fitch, «le coup porté aux recettes budgétaires entraînera une détérioration significative du déficit» en 2020, malgré les efforts visant à limiter ces tendances via des subventions et des économies sur les dépenses opérationnelles. Egalement, les projets de généralisation des prestations sociales au cours des cinq prochaines années, «parallèlement à une lente reprise des recettes fiscales», pourraient limiter les efforts de stabilisation de la dette.
(...).
Une détérioration de l’économie liée au tourisme
Cette situation s’accentue par «une forte baisse de la production agricole causée par deux années de faibles précipitations» et de sécheresse qui perdure, dans un contexte également où l’activité touristique ne s’est pas encore réellement remise des effets de la crise sanitaire. «Les arrivées de touristes internationaux entre janvier et août 2020 ont chuté de 77% et le nombre de nuitées à l’hôtel a chuté de 67%», détaille le rapport.
(...).
Ces perspectives pourraient s’assombrir en effet, avec l’incertitude sur l’évolution de la pandémie en Europe, principal marché emetteur des touristes étrangers en visite au Maroc. L’impact serait considérable, surtout que le secteur constitue «une source essentielle de devises et un moteur de croissance» pour le PIB.
Ya...bi
- Fitch Ratings a abaissé la note de défaut des émetteurs (IDR) en devises à long terme du Maroc (LTFC), qui est passée de BB+ à BBB-. Cependant, l’agence de notation estime que le pays est en mesure d’amortir les impacts économiques de la pandémie.
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Une stabilisation de la dette possible mais difficile
Les chocs entre offre et demande dus à la pandémie entraîneront ainsi «une détérioration significative des finances extérieures du Maroc, qui étaient déjà plus faibles que leurs homologues notés ‘BBB’», a souligné Fitch. Par ailleurs, «une baisse des exportations entraînera un doublement du déficit du compte courant», bien qu’une «contraction des composantes de la demande à forte intensité d’importations et la chute des cours du pétrole» pourront atténuer cette tendance.
Dans un autre registre, le recours accru aux emprunts extérieurs, principalement pour le secteur public, pourrait mener à «une hausse de la dette extérieure nette». Pour Fitch, «le coup porté aux recettes budgétaires entraînera une détérioration significative du déficit» en 2020, malgré les efforts visant à limiter ces tendances via des subventions et des économies sur les dépenses opérationnelles. Egalement, les projets de généralisation des prestations sociales au cours des cinq prochaines années, «parallèlement à une lente reprise des recettes fiscales», pourraient limiter les efforts de stabilisation de la dette.
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Une détérioration de l’économie liée au tourisme
Cette situation s’accentue par «une forte baisse de la production agricole causée par deux années de faibles précipitations» et de sécheresse qui perdure, dans un contexte également où l’activité touristique ne s’est pas encore réellement remise des effets de la crise sanitaire. «Les arrivées de touristes internationaux entre janvier et août 2020 ont chuté de 77% et le nombre de nuitées à l’hôtel a chuté de 67%», détaille le rapport.
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Ces perspectives pourraient s’assombrir en effet, avec l’incertitude sur l’évolution de la pandémie en Europe, principal marché emetteur des touristes étrangers en visite au Maroc. L’impact serait considérable, surtout que le secteur constitue «une source essentielle de devises et un moteur de croissance» pour le PIB.
Ya...bi
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