Et revoilà un vieux refrain! L'économie marocaine est en ruine (excepté le haschich), alors on mendie l'ouverture des frontières terrestres au voisin afin de lui faire supporter la responsabilité des médiicres politiciens marocains et pas subir les affres du narcotrafiquant et addictif à la coke M6 lors des redditions des comptes (c'est-à-dire limogeages).
- Abdelilah Benkirane multiplie les sorties médiatiques, avec comme fil directeur : les sujets d'ordre géopolitique. Après les caricatures du prophète, il aborde cette fois les entraves à l'intégration maghrébine.
Abdelilah Benkirane effectue une nouvelle sortie médiatique à dimension internationale. L’ancien chef de gouvernement a été, hier soir, l’invité d’une conférence virtuelle consacrée au thème : «l’Union maghrébine : défis et enjeux». Organisée par le «Centre Attaraqui des études stratégiques», basé à Alger, l'organisme est proche du Mouvement Liberté et Justice sociale, formation politique créée en 2009 par Anouar Haddam, ancienne figure du Front islamique du salut (FIS) dissout.
A cette occasion, Benkirane a réitéré l’appel du Maroc à destination du pouvoir algérien afin de rouvrir les frontières terrestres. Il s’est dit convaincu que le royaume est disposé à répondre à toutes les initiatives devant permettre un retour au contexte qui prévalait avant août 1994.
L’ancien secrétaire général du PJD a choisi de ne pas s'attarder sur la question du Sahara occidental, principal entrave à l’unité maghrébine et sujet polarisant entre les deux pays. Il s'est contenté d'effleurer le conflit en s’interrogeant : «Quel est le problème qui empêche la construction de l'Union du Maghreb Arabe? Est-ce à cause du Sahara ? Ou est-ce qu’il y a une autre cause ? Il est illogique que les frontières restent fermées depuis 26 ans.»
Les débats internationaux plutôt que la politique nationale ?
Sur un ton diplomate, Abdelilah Benkirane a invité les Algériens à «laisser de côté le dossier du Sahara aux Nations unies mais rouvrez-nous les frontières». Et d’ajouter que «les Algériens sont nos frères malgré le désaccord entre nous sur la question du Sahara. La faiblesse amène que des ennemis», rapporte aujourd’hui le quotidien algérien Echourouk.
L’approche adoptée par l’ancien chef de l’exécutif (2011-2017) sur ce sujet était également portée et défendue par Saad-Eddine El Othmani, lorsqu'il était aux commandes de la diplomatie marocaine, à l’occasion de sa visite officielle en Algérie en janvier 2012, sans succès.
Ya...bi (extraits)
- Abdelilah Benkirane multiplie les sorties médiatiques, avec comme fil directeur : les sujets d'ordre géopolitique. Après les caricatures du prophète, il aborde cette fois les entraves à l'intégration maghrébine.
Abdelilah Benkirane effectue une nouvelle sortie médiatique à dimension internationale. L’ancien chef de gouvernement a été, hier soir, l’invité d’une conférence virtuelle consacrée au thème : «l’Union maghrébine : défis et enjeux». Organisée par le «Centre Attaraqui des études stratégiques», basé à Alger, l'organisme est proche du Mouvement Liberté et Justice sociale, formation politique créée en 2009 par Anouar Haddam, ancienne figure du Front islamique du salut (FIS) dissout.
A cette occasion, Benkirane a réitéré l’appel du Maroc à destination du pouvoir algérien afin de rouvrir les frontières terrestres. Il s’est dit convaincu que le royaume est disposé à répondre à toutes les initiatives devant permettre un retour au contexte qui prévalait avant août 1994.
L’ancien secrétaire général du PJD a choisi de ne pas s'attarder sur la question du Sahara occidental, principal entrave à l’unité maghrébine et sujet polarisant entre les deux pays. Il s'est contenté d'effleurer le conflit en s’interrogeant : «Quel est le problème qui empêche la construction de l'Union du Maghreb Arabe? Est-ce à cause du Sahara ? Ou est-ce qu’il y a une autre cause ? Il est illogique que les frontières restent fermées depuis 26 ans.»
Les débats internationaux plutôt que la politique nationale ?
Sur un ton diplomate, Abdelilah Benkirane a invité les Algériens à «laisser de côté le dossier du Sahara aux Nations unies mais rouvrez-nous les frontières». Et d’ajouter que «les Algériens sont nos frères malgré le désaccord entre nous sur la question du Sahara. La faiblesse amène que des ennemis», rapporte aujourd’hui le quotidien algérien Echourouk.
L’approche adoptée par l’ancien chef de l’exécutif (2011-2017) sur ce sujet était également portée et défendue par Saad-Eddine El Othmani, lorsqu'il était aux commandes de la diplomatie marocaine, à l’occasion de sa visite officielle en Algérie en janvier 2012, sans succès.
Ya...bi (extraits)
Commentaire