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Pourquoi le Maroc ne veut pas résoudre le conflit du Sahara occidental

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  • Pourquoi le Maroc ne veut pas résoudre le conflit du Sahara occidental

    Ça fait plus de 30 ans que l’ONU demande un referendum

    Les marocains disent que les sahraouis sont et se sentent marocains , mlihe , donc au referendum fera l'affaire, tout le monde votera pour être marocain, w yetehena elfertas men hokane erras.

    Alors a quoi joue le régime marocain, pour ne pas dire les marocains, paceque d’apres leurs commentaires ici, et partout sur la toile, le Sahara occidentale est leur raison d’être.

    donc

    -Soit , ils sont pas sur du résultat du referendum , puisque a l’origine c’était une occupation

    -Soit ,ils sont sur que ça va être oui, mais le régime veut que le conflit reste , pour raisons politique intérieure

    -Soit le régime marocains fait que le conflit perdure, sur ordre de grandes puissances

  • #2
    Le Maroc pratique une "colonisation de peuplement " et joue sur le facteur temps et attend un brassage des habitants de cette region.

    "Les anciens mourront et les jeunes oublieront " disait ben Gourion.

    L'Algérie se retrouvera avec les Sahraoui de Tindouf sur les bras..un jour ils ne voudront plus partir de demanderont la citoyenneté algérienne.

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    • #3
      Le Maroc pratique une "colonisation de peuplement " et joue sur le facteur temps et attend un brassage des habitants de cette region.
      De quel brassage tu parles ? Le peuple sahraoui est un mythe créé de toutes pièces. Les sahraouis du Sahara occidental sont autant marocains que les sahraouis du Sahara oriental sont algériens. Pourquoi ce ne serait pas un peuple à part aussi en Algérie ?
      Quand le pouvoir de l'amour dépassera l'amour du pouvoir, le monde connaîtra la paix (Jimi Hendrix)

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      • #4
        De quel brassage tu parles ? Le peuple sahraoui est un mythe créé de toutes pièces. Les sahraouis du Sahara occidental sont autant marocains que les sahraouis du Sahara oriental sont algériens. Pourquoi ce ne serait pas un peuple à part aussi en Algérie ?
        Les sionistes disaient a peu près la même chose sur le peuple palestinien. Il disait que la Palestine était une terre sans peuple. L'élève a tendance a reprendre les arguments de son maitre et tu en es la preuve vivante.
        ثروة الشعب في سكانه ’المحبين للعمل’المتقنين له و المبدعين فيه. ابن خلدون

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        • #5
          vous avez réussi à intégrer les sahraouis les touaregs, les amazighs les arabes, les harkis quelque français sous l'identité Algérie....


          vous avez été la première école du sionisme selon ta théorie....

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          • #6
            naw08@
            C'est parce qu'en 1975 Boukharrouba et kaddafi ont ramassé toute la racaille qui trainent dans leur sahara et les ont présenté comme sahraouis du SO.
            Le Maroc demande à ce que seuls les inscrits sur l'état civile espagnole et leur descendants soient éligibles.
            Maintenant ce problème est une aubaine pour le Maroc et l'Algérie qui vont faire durer le plaisir pendant des années encore.
            Believe YOU CAN & you're HALFWAY there

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            • #7
              .......
              Droite des Valeurs
              Gauche du Travail
              Centre "Intérêt de Mon Pays"

              Commentaire


              • #8
                l'onu ne demande plus de référendum elle parle d'autodétermination qui peux prendre plusieurs forme est pas forcément le référendum.

                de plus qui vote? vue que le polisario veulent que des sahraouis issu d'autres coin du desert participe sans même vérifier si il est originaire de la zone disputés sa bloque....

                de plus le faite même que le polisario et l'Algérie refuse le recensement des personnes dans les camps, il y'a anguille sous roche.

                c'est les seul réfugiés du monde qui ne sont pas recensé....
                Droite des Valeurs
                Gauche du Travail
                Centre "Intérêt de Mon Pays"

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                • #9
                  Il y a du vrai dans ce que dit Sako. Le Maroc a joué et joue encore le facteur temps. Sur les 650 000 habitants que compte le Sahara, plus de 90% sont originaires par leurs parents et grands parents des populations du nord et de brassage avec la population locale.

                  @Peace and love: Dans son poste Sako ne parle pas de "peuple" mais d'habitants.


                  Pourquoi le Maroc ne veut pas résoudre le conflit du Sahara occidentale
                  Pour le Maroc, la question du Sahara est résolue. Il faut visiter cette région pour s'en rendre compte.

                  Pour les autres, c'est leur problème.

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                  • #10
                    Envoyé par ayrod
                    Le Maroc demande à ce que seuls les inscrits sur l'état civile espagnole et leur descendants soient éligibles.
                    سبحان الله
                    a ce degré de mensonge
                    Cherchez les informations, je suis sûr que vous trouverez le contraire

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                    • #11
                      Il y a du vrai dans ce que dit Sako. Le Maroc a joué et joue encore le facteur temps. Sur les 650 000 habitants que compte le Sahara, plus de 90% sont originaires par leurs parents et grands parents des populations du nord et de brassage avec la population locale.

                      @Peace and love: Dans son poste Sako ne parle pas de "peuple" mais d'habitants.
                      Bien sûr qu'il y a du vrai, je n'ai pas dit le contraire. Sauf que parler de brassage suppose l'existence de deux peuples distincts, c'est implicite.
                      Quand le pouvoir de l'amour dépassera l'amour du pouvoir, le monde connaîtra la paix (Jimi Hendrix)

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                      • #12
                        Voyons voir aux Nations Unies

                        (2929 e séance) : résolution 658 (1990)

                        Le 18 juin 1990, en application de la résolution 621 (1988) du 20 septembre 1988, le Secrétaire général a présenté au Conseil de sécurité un rapport sur la situation concernant le Sahara occidental 1 , qui contenait le texte des propositions de règlement faites par le Secrétaire général de l’ONU et le Président en exercice de l’Assemblée des chefs d’État et de gouvernement de l’Organisation de l’unité africaine (OUA), telles qu’elles avaient été acceptées en principe par les parties au conflit au Sahara occidental, à savoir le Maroc et le Frente Polisario para la Liberación de Saguía El-Hamra y de Río de Oro (Front POLISARIO), le 30 août 1988.

                        Le rapport contenait en outre les grandes lignes d’un plan proposé par le Secrétaire général en vue de mettre en œuvre ces propositions. Les principaux éléments du plan de règlement étaient un cessez-le-feu et la tenue d’un référendum, sans contraintes militaires ou administratives, qui permettrait au peuple du Sahara occidental, exerçant son droit à l’autodétermination, de choisir entre l’indépendance et l’intégration au Maroc.

                        Le plan de règlement était fondé sur les recommandations faites par la Commission technique créée le 30 juin 1989 et les réponses des parties à propos du projet de calendrier établi par la Commission. Il prévoyait, entre

                        autres, un cessez-le-feu surveillé par le personnel militaire de l’ONU et suivi d’un échange de prisonniers; une réduction substantielle et progressive des forces marocaines présentes dans le Territoire; le cantonnement des combattants des deux parties dans des emplacements spécifiques = (Territoire sous contrôle du Front Polisario a l'est du mur ), sous le contrôle du personnel militaire des Nations Unies; l’organisation et la tenue par l’ONU d’un référendum 24 semaines après l’entrée en vigueur du cessez-le-feu; et le contrôle par l’ONU d’autres aspects de l’administration du Territoire, notamment le maintien de l’ordre, pour veiller à ce que soient réunies les conditions nécessaires à la tenue d’un référendum libre et régulier, et le retour des réfugiés, d’autres Sahraouis vivant en dehors du Territoire et des membres du Front POLISARIO habilités à voter.

                        Aux termes du plan de règlement, durant une période de transition commençant au moment de l’entrée en vigueur du cessez-le-feu et se terminant au moment de la proclamation des résultats du référendum,

                        toutes les questions relatives au référendum relèveraient de l’unique et exclusive responsabilité du Représentant spécial du Secrétaire général, qui serait secondé par un groupe d’appui intégré, composé de personnel civil, militaire et de police civile et dénommé « Mission des Nations Unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (MINURSO) ».

                        Le Secrétaire général a estimé que le plan de règlement proposé – qui devait être exécuté par l’ONU en coopération avec l’OUA, dont les représentants joueraient le rôle d’observateurs officiels – offrait un moyen efficace d’organiser un référendum et de donner au peuple sahraoui la possibilité de décider de son avenir sans contraintes militaires ou administratives.

                        Il l’a donc recommandé au Conseil afin qu’il prenne les mesures qu’il pourrait juger nécessaires pour en faciliter la mise en œuvre aussi rapide que possible. Il a souligné que l’opération des Nations Unies serait vaste et complexe et a indiqué qu’en raison de plusieurs inconnues, il ne serait pas possible à ce stade de soumettre au Conseil ne fût-ce qu’une estimation préliminaire des dépenses.

                        Il avait donc l’intention d’envoyer très prochainement une mission technique dans le Territoire et dans les pays voisins en vue de préciser les aspects administratifs du plan et de recueillir des informations – concernant notamment la possibilité de se procurer dans le Territoire le ravitaillement et le soutien logistique – qui étaient nécessaires pour l’établissement d’un nouveau rapport au Conseil, comprenant une estimation du coût de la MINURSO.

                        À sa 2929 e séance, le 27 juin 1990, le Conseil a inscrit à son ordre du jour, comme convenu lors de consultations préalables, le rapport du Secrétaire général. Après l’adoption de l’ordre du jour, le Président (France) a appelé l’attention des membres du Conseil sur un projet de résolution élaboré lors de consultations antérieures du Conseil 2 . Le projet de résolution a ensuite été mis aux voix et adopté à l’unanimité en tant que résolution 658 (1990), dont le texte est le suivant : Dans ce rapport, il recommanderait au Conseil d’autoriser la création immédiate de la MINURSO.

                        Rappelant sa résolution 621 (1988) du 20 septembre 1988 par laquelle il a décidé d’autoriser le Secrétaire général à nommer un représentant spécial pour le Sahara occidental, et de demander au Secrétaire général de lui remettre dans les meilleurs délais possibles un rapport sur la tenue d’un référendum d’autodétermination du peuple du Sahara occidental et sur les moyens à mettre en œuvre en vue d’assurer l’organisation et le contrôle de ce référendum par l’Organisation des Nations Unies en coopération avec l’Organisation de l’unité africaine,

                        Rappelant également que, le 30 août 1988, le Royaume du Maroc et le Frente Popular para la Liberación de Saguía el-Hamra y de Río de Oro ont donné leur accord de principe aux propositions du Secrétaire général des Nations Unies et du Président en exercice de l’Organisation de l’unité africaine dans le cadre de leur mission conjointe de bons offices,

                        Ayant examiné le rapport du Secrétaire général sur la situation en ce qui concerne le Sahara occidental (S/21360),

                        1. Exprime son entier appui au Secrétaire général pour la poursuite de sa mission de bons offices, menée conjointement avec le Président en exercice de l’Organisation de l’unité africaine, en vue du règlement de la question du Sahara occidental;

                        2. Approuve le rapport du Secrétaire général (S/21360) remis au Conseil de sécurité conformément à la résolution 621 (1988) en vue de régler la question du Sahara occidental, qui contient le texte intégral des propositions de règlement telles qu’elles ont été acceptées par les deux parties le 30 août 1988 ainsi qu’un exposé du plan du Secrétaire général en vue de la mise en œuvre de ces proposition;

                        3. Demande aux deux parties de coopérer pleinement avec le Secrétaire général des Nations Unies et le Président en exercice de l’Organisation de l’unité africaine dans le cadre des efforts que ceux-ci déploient pour aboutir à un règlement rapide de la question du Sahara occidental;

                        4. Accueille favorablement l’intention du Secrétaire général d’envoyer très prochainement une mission technique dans le territoire et dans les pays voisins, en vue notamment de préciser les aspects administratifs du plan exposé et de recueillir les informations nécessaires à la préparation d’un nouveau rapport au Conseil;

                        5. Prie le Secrétaire général de remettre au Conseil de sécurité dans les meilleurs délais possibles un nouveau rapport détaillé sur son plan de mise en œuvre, contenant notamment une estimation du coût de la Mission des Nations Unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (MINURSO), étant entendu que ce rapport devrait être la base sur laquelle le Conseil autoriserait la création de la MINURSO.

                        Décision du 29 avril 1991 (2984 e séance) : résolution 690 (1991)

                        Le 19 avril 1991, en application de la résolution 658 (1990), le Secrétaire général a présenté au Conseil de sécurité un nouveau rapport sur la situation concernant le Sahara occidental . Tenant compte des activités de la mission technique et des vues exprimées par les deux parties, le rapport contenait des propositions détaillées concernant la composition et l’effectif de la MINURSO , le calendrier de mise en œuvre du plan ainsi qu’une estimation du coût total de la mission.

                        La mission comprendrait trois unités : a) une unité civile, comportant une commission d’identification chargée de la tâche centrale d’identification et d’enregistrement des Sahraouis habilités à voter lors du référendum; une commission référendaire chargée de seconder le Représentant spécial s’agissant de tous les aspects de l’organisation et du déroulement du référendum; et un élément placé sous la responsabilité du Haut Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés, qui serait chargé d’exécuter le programme de rapatriement et de faciliter le retour librement consenti des personnes habilitées à voter; b) une unité de sécurité; et une unité militaire.

                        S’agissant du calendrier, le Secrétaire général a proposé que le jour J (le jour où la période de transition commencerait et où le cessez-le-feu entrerait en vigueur) soit fixé 16 semaines après l’approbation par l’Assemblée générale du budget de la MINURSO. Il envisageait en outre que le référendum ait lieu 36 semaines après l’approbation du budget de la Mission par l’Assemblée générale, la MINURSO continuant néanmoins de s’acquitter de ses obligations de contrôle découlant des résultats du référendum quatre à six semaines après leur proclamation. Il a toutefois rappelé que la durée prévue des différentes étapes du processus envisagé dans le calendrier était estimative et qu’il serait peut-être nécessaire d’y apporter des ajustements.

                        Pour ce qui est des aspects financiers de l’opération, le Secrétaire général a estimé que son coût global, y compris le programme de rapatriement, serait d’environ 200 millions de dollars. Il a recommandé que les dépenses de la MINURSO soient considérées comme des dépenses de l’Organisation à supporter par les États Membres au sens du paragraphe 2 de l’Article 17 de la Charte, sauf pour le programme de rapatriement, estimé à environ 35 millions de dollars, qui serait financé à l’aide de contributions volontaires. Il a toutefois souligné que le programme ne devrait pas être uniquement considéré comme une activité humanitaire : il constituait un élément politique essentiel pour le succès de l’opération.

                        Il a donc recommandé de ne pas déployer la MINURSO dans la zone de la mission le jour J, à moins qu’à cette date les contributions volontaires nécessaires à l’exécution du plan de rapatriement soient intégralement disponibles. Le Secrétaire général s’est dit convaincu que ses propositions représentaient un moyen équilibré et équitable d’atteindre l’objectif fixé, à savoir la tenue d’un référendum libre, régulier et impartial pour le peuple sahraoui.

                        Il a toutefois souligné qu’il fallait remplir quatre conditions essentielles pour que la MINURSO soit efficace :

                        a) la mission devait en toutes circonstances bénéficier de l’appui total du Conseil de sécurité;

                        b) elle devait opérer avec l’entière coopération des deux parties, notamment s’agissant de la cessation totale de tous les actes hostiles;

                        .../...

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                        • #13
                          .....

                          c) la coopération et l’appui des pays voisins (Algérie et Mauritanie) devaient être assurés;

                          et d) les ressources financières nécessaires devaient être mises à sa disposition par les États Membres, intégralement et en temps voulu.

                          Le Secrétaire général a conclu en recommandant au Conseil de sécurité de décider d’autoriser la création de la MINURSO et de lier la période de transition à l’ouverture des crédits par l’Assemblée générale.

                          À sa 2984 e séance, le 29 avril 1991, le Conseil a inscrit à son ordre du jour le rapport du Secrétaire général. Le Président (Belgique) a appelé l’attention des membres du Conseil sur la déclaration que le Secrétaire général avait faite lors des consultations officieuses du Conseil tenues le 24 avril 1991 5 , par laquelle il avait recommandé de créer la MINURSO
                          dès que possible afin d’accélérer le rétablissement de la paix et de la stabilité dans la région.

                          Il a en outre appelé l’attention sur le projet de résolution qui avait été élaboré lors de consultations préalables du Conseil 6 . Le projet a ensuite été mis aux voix et adopté à l’unanimité en tant que résolution 690 (1991), dont le texte est le suivant :

                          Le Conseil de sécurité,
                          Rappelant sa résolution 621 (1988) du 20 septembre 1988 par laquelle il a notamment demandé au Secrétaire général de lui remettre un rapport sur la tenue d’un référendum d’autodétermination du peuple du Sahara occidental et sur les moyens à mettre en œuvre en vue d’assurer l’organisation et le contrôle de ce référendum par l’Organisation des Nations Unies en coopération avec l’Organisation de l’unité africaine,


                          La suite sur
                          https://undocs.org/S/RES/658(1990)
                          Dernière modification par MEC213, 16 novembre 2020, 13h26.

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                          • #14
                            @AMOKRANE15100

                            Vu que tu fais référence à l'ONU, sors nous la dernière résolution du CS d'octobre 2020 pour voir.
                            Quand le pouvoir de l'amour dépassera l'amour du pouvoir, le monde connaîtra la paix (Jimi Hendrix)

                            Commentaire


                            • #15
                              naw.

                              C'est parce qu'en 1975 Boukharrouba et kaddafi ont ramassé toute la racaille qui trainent dans leur sahara et les ont présenté comme sahraouis du SO.
                              Le Maroc demande à ce que seuls les inscrits sur l'état civile espagnole et leur descendants soient éligibles.
                              t'as un début de réponse de la part d'ayrod. que je clarifie humblement;
                              les années 80 ont connus une des pires sècheresse dans le sahel;
                              des milliers de gens du Mali; Niger;et Mauritanie ont entrepris leurs exodes vers le nord de l'Afrique pour fuir la famine; la junte les a parqués dans des camps en les faisant apparaitre comme originaires du Sahara ex-espagnole.
                              pour cette raison; le referendum est mort né.

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