Le Maroc commet des crimes de guerre et contre l'humanité dans les territoires occupés
CHAHID EL-HAFEDH - Les autorités marocaines commettent des crimes de guerre et contre l'humanité dans les territoires sahraouis occupés, en se vengeant sur des manifestants réclamant pacifiquement l'indépendance du Sahara occidental, a alerté mardi la Commission nationale sahraouie des droits de l'Homme (CONASADH) dans une communication lors de la 67e session de la Commission africaine des droits de l'Homme et des peuples (CADHP).
"Nous vous avisons de la gravité de la situation aujourd'hui dans les villes occupées, suite aux pratiques irresponsables et violations éhontées des droits de l'Homme que commettent les autorités de l'occupation à l'encontre des civils sahraouis", a précisé Abba Al-Hassain, président de la CONASADH participant à la réunion tenue par vidéoconférence.
La Commission indique que ces actes ont été commis immédiatement après l'agression perpétrée contre les civils sahraouis qui manifestaient pacifiquement dans la zone tampon d'El-Guerguerat, rappelant l'encerclement ou encore le blocus policier imposés sur l'ensemble des villes sahraouies occupées.
"Une telle situation a engendré un climat inédit d'horreur et d'intimidation qu'ont fait régner les autorités marocaines à travers des perquisitions des domiciles des sahraouis, voire des campagnes d'arrestations arbitraires en réprimant les manifestations pacifiques, et en exerçant toutes formes de torture", a-t-il relevé.
A noter que les détenus politiques sahraouis sont exposés quotidiennement dans les geôles marocaines à un double danger, torture et harcèlement d'une part, et risque de contamination à la Covid-19 propagée dans les lieux de détention, d'autre part, a-t-il souligné.
CHAHID EL-HAFEDH - Les autorités marocaines commettent des crimes de guerre et contre l'humanité dans les territoires sahraouis occupés, en se vengeant sur des manifestants réclamant pacifiquement l'indépendance du Sahara occidental, a alerté mardi la Commission nationale sahraouie des droits de l'Homme (CONASADH) dans une communication lors de la 67e session de la Commission africaine des droits de l'Homme et des peuples (CADHP).
"Nous vous avisons de la gravité de la situation aujourd'hui dans les villes occupées, suite aux pratiques irresponsables et violations éhontées des droits de l'Homme que commettent les autorités de l'occupation à l'encontre des civils sahraouis", a précisé Abba Al-Hassain, président de la CONASADH participant à la réunion tenue par vidéoconférence.
La Commission indique que ces actes ont été commis immédiatement après l'agression perpétrée contre les civils sahraouis qui manifestaient pacifiquement dans la zone tampon d'El-Guerguerat, rappelant l'encerclement ou encore le blocus policier imposés sur l'ensemble des villes sahraouies occupées.
"Une telle situation a engendré un climat inédit d'horreur et d'intimidation qu'ont fait régner les autorités marocaines à travers des perquisitions des domiciles des sahraouis, voire des campagnes d'arrestations arbitraires en réprimant les manifestations pacifiques, et en exerçant toutes formes de torture", a-t-il relevé.
A noter que les détenus politiques sahraouis sont exposés quotidiennement dans les geôles marocaines à un double danger, torture et harcèlement d'une part, et risque de contamination à la Covid-19 propagée dans les lieux de détention, d'autre part, a-t-il souligné.
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