17.11.2020
Face à une baisse soutenue des cours du pétrole, et à une pandémie qui continue d’étouffer la demande mondiale d’or noir, Saudi Aramco est en mal de liquidités. La plus grande compagnie pétrolière du monde a ainsi annoncé ce lundi vouloir retourner sur les marchés de la dette, pour lever des fonds.
Aramco, qui a fait état d'une baisse de 44,6 % de son bénéfice net au troisième trimestre 2020, cherche notamment du cash pour payer 37,5 milliards $ de dividendes au second semestre 2020, et financer son acquisition à 69,1 milliards $, de 70 % de Saudi Basic Industries (SABIC), selon Reuters.
Pour ce faire, elle prévoit d’émettre des bonds en plusieurs tranches, de 3, 5, 10, 30 et/ou 50 ans, avec probablement au moins 500 millions de dollars par tranche.
Notons que le géant pétrolier, qui a déjà levé 10 milliards $ cette année, a commencé à solliciter les marchés de la dette l'an dernier, avec une mobilisation de 12 milliards $.
Les émissions de cette riche région du monde ont déjà dépassé leur record de 2019, soit plus de 100 milliards de dollars $ mobilisés sur le marché de la dette.
atal-ayar
Face à une baisse soutenue des cours du pétrole, et à une pandémie qui continue d’étouffer la demande mondiale d’or noir, Saudi Aramco est en mal de liquidités. La plus grande compagnie pétrolière du monde a ainsi annoncé ce lundi vouloir retourner sur les marchés de la dette, pour lever des fonds.
Aramco, qui a fait état d'une baisse de 44,6 % de son bénéfice net au troisième trimestre 2020, cherche notamment du cash pour payer 37,5 milliards $ de dividendes au second semestre 2020, et financer son acquisition à 69,1 milliards $, de 70 % de Saudi Basic Industries (SABIC), selon Reuters.
Pour ce faire, elle prévoit d’émettre des bonds en plusieurs tranches, de 3, 5, 10, 30 et/ou 50 ans, avec probablement au moins 500 millions de dollars par tranche.
Notons que le géant pétrolier, qui a déjà levé 10 milliards $ cette année, a commencé à solliciter les marchés de la dette l'an dernier, avec une mobilisation de 12 milliards $.
Les émissions de cette riche région du monde ont déjà dépassé leur record de 2019, soit plus de 100 milliards de dollars $ mobilisés sur le marché de la dette.
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