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L’Algérie franchit la barre des 200 morts par jour à cause des symptômes les plus sévères du COVID-19 !

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  • L’Algérie franchit la barre des 200 morts par jour à cause des symptômes les plus sévères du COVID-19 !

    C’est une véritable tragédie qui vient de se produire au sein des hôpitaux algériens. Ces dernières 24 heures, l’Algérie a franchi la barre des 200 morts dans les unités COVID-19 des hôpitaux publics répartis à travers le territoire national, a appris Algérie Part auprès de plusieurs sources hospitalières algériennes.

    Cette information nous a été même confirmée par des fonctionnaires du ministère de la Santé. Naturellement, fidèles à leurs traditions politiques, les autorités algériennes ne vont jamais reconnaître publiquement ce bilan macabre et continuent de prétendre que le nombre des morts liés au COVID-19 varie entre 12 et 15 par jour en Algérie. Ce qui est totalement faux et dans plusieurs hôpitaux publics algériens, la réalité est nettement plus amère. Preuve en est, rien que dans les grands hôpitaux de la capitale Alger, on a recensé hier mardi 17 novembre plus de 70 morts. Des décès provoqués tous par des détresses respiratoires ou des complications médicales dangereuses à la suite d’une infection au COVID-19.

    Au CHU de Béni Messous, le personnel soignant a déploré plus de 25 morts. La moyenne quotidienne des décès depuis le début de la deuxième semaine du mois de novembre dans cet hôpital approchait d’ores et déjà les 20 victimes emportées par l’épidémie de la COVID-19. A l’hôpital Mustapha Bacha, le plus grand CHU de la capitale Alger, une moyenne quotidienne de 15 morts est également déplorée et hier mardi, ce bilan avait atteint la vingtaine de décès. Ailleurs dans le pays, des dizaines de morts sont quotidiennement comptabilisés à Sétif, Béjaia et Jijel.

    Sur le plan national, c’est la première fois que la barre de 200 morts a été franchie en Algérie et ce depuis le début de l’épidémie de la COVID-19 au mois de mars dernier. Malheureusement, faute de testes de dépistage PCR, beaucoup de ces victimes sont enterrées sans que le ministère de la Santé ne les reconnaissent comme des patients tués par la COVID-19. Les soignants des hôpitaux algériens les déclarent tout de même comme cas COVID-19 à la suite de l’examen du scanner thoracique et à la suite d’un diagnostic effectué lors de leur admission dans les hôpitaux. Ce diagnostic identifie tous les symptômes sévères de cette terrifiante infection laquelle ne cesse d’endeuiller de nombreuses familles algériennes.

    algeriepartplus

  • #2
    Et pourtant dans le communiqué du ministère de la santé on annonce moins de 20 morts par jour alors que beaucoup de médecins ont alerté sur une situation grave dans les hôpitaux et en dehors des hôpitaux ..
    Les citoyens et le personnel médical ont peur de faire des vidéos à cause des sanctions qu'ils encourent auprès de la justice . Il y a plusieurs personnes qui ont été condamnés parce qu'ils avaient filmé une vidéo ou mis un statut sur facebook qui évoquent Des décès provoqués tous par des détresses respiratoires ou des complications médicales dangereuses à la suite d’une infection au COVID-19 ou dénoncer la saturation des hôpitaux ou critiquer la mauvaise qualité des services de santé.
    Dernière modification par sergio, 19 novembre 2020, 08h01.

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    • #3
      Manque des tests PCR selon le DIRECTEUR général de l'institut pasteur d'Alger

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      • #4
        Les chiffres officiels étant archi faux, il n'y a pas moyen de savoir quels sont vrais.
        Chose sûre, l'état ment.

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        • #5
          L' État ment les journaux d'opposition aussi difficile de savoir

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          • #6
            l état dz porte une certaine responsabilité dans cette situation, à force de claironner que la situation était sous contrôle, de truquer les chiffres dès le départ et faire croire que l'algérie était un modèle de gestion de la crise comme j'ai pu le lire dans la presse, les gens ont fini par croire que la bataille était gagnée, meme si les citoyens ne sont pas exempts de tout reproches, en algérie comme au maroc d'ailleurs

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