La Cour européenne des droits de l'Homme décrète que «Insulter le Prophète peut conduire à la prison»
La Cour européenne des droits de l'homme (Cedh) a rendu, jeudi dernier, le verdict selon lequel insulter le prophète de l'islam Mohamed (Qsssl) sera désormais un délit punissable et ne sera pas compté au titre de la «liberté d'expression».
Un panel de sept juges a déclaré que diffamer ou rabaisser le prophète va au-delà des limites permises d'un débat objectif et pourrait causer des préjugés dans la société et risquerait la paix religieuse. Ce n'est pas la première fois que la Cdeh rend un pareil jugement. En 2018 déjà, cette même cour a validé la condamnation d'un Autrichien pour avoir tenu des propos dégradants envers le prophète Mohamed (Qsssl), considérant que les atteintes au prophète Mohamed, ne peuvent être regardées comme une simple liberté d'expression. Cela au moment où le monde arabo-musulman a connu une vague de contestations contre la poursuite de la publication des caricatures blasphématoires du prophète. Entre appels au boycott des produits français et mobilisation sur les réseaux sociaux, pour la position des autorités françaises à considérer qu'il s'agit là «d'une liberté d'expression».
21-11-2020
La Cour européenne des droits de l'homme (Cedh) a rendu, jeudi dernier, le verdict selon lequel insulter le prophète de l'islam Mohamed (Qsssl) sera désormais un délit punissable et ne sera pas compté au titre de la «liberté d'expression».
Un panel de sept juges a déclaré que diffamer ou rabaisser le prophète va au-delà des limites permises d'un débat objectif et pourrait causer des préjugés dans la société et risquerait la paix religieuse. Ce n'est pas la première fois que la Cdeh rend un pareil jugement. En 2018 déjà, cette même cour a validé la condamnation d'un Autrichien pour avoir tenu des propos dégradants envers le prophète Mohamed (Qsssl), considérant que les atteintes au prophète Mohamed, ne peuvent être regardées comme une simple liberté d'expression. Cela au moment où le monde arabo-musulman a connu une vague de contestations contre la poursuite de la publication des caricatures blasphématoires du prophète. Entre appels au boycott des produits français et mobilisation sur les réseaux sociaux, pour la position des autorités françaises à considérer qu'il s'agit là «d'une liberté d'expression».
21-11-2020
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