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Le 19 novembre des agents de sécurité blancs du supermarché Carrefour Porto Alegre, au Brésil, ont battu à mort un homme noir, provoquant une vague de manifestations dans les grandes villes du pays. Si pour les autorités il s’agit d’un incident regrettable, les manifestants eux y voient un racisme généralisé.
Comme pour les Etats Unis, il y a 6 mois, le Brésil s’enflamme suite au décès d’un homme noir de 40 ans, Joao Alberto Silveira Freitas, battu à mort par des agents de sécurité blancs du supermarché Carrefour dans la ville de Porto Alegre.
(Agence Ecofin) - Le drame s’est produit au soir du 19 novembre, veille de la commémoration de la Journée de la conscience noire au Brésil, un jour férié dans plusieurs États. La population afro a saisi l’occasion pour manifester contre cet acte qualifié de raciste.
Pour les autorités brésiliennes, notamment le vice-président Hamilton Mourao, cet acte « regrettable » est à imputer à des agents de sécurité mal formés et non au racisme. Il a par ailleurs appelé les manifestants à la non-violence, alors que ces derniers ont incendié le supermarché en question.
1000 personnes ont manifesté pour la seule ville de Sao Paulo. Les habitants de la capitale Brasilia, Belo Horizonte et Rio de Janeiro sont également sortis protester.
Le responsable du supermarché, Alexandre Bompard a indiqué sur tweeter que des mesures ont été immédiatement prises concernant les agents en cause et les procédures de recrutement dans la structure. Mais pour les manifestants, le problème est bien plus compliqué, il tire ses origines du racisme.
Comme pour les Etats Unis, il y a 6 mois, le Brésil s’enflamme suite au décès d’un homme noir de 40 ans, Joao Alberto Silveira Freitas, battu à mort par des agents de sécurité blancs du supermarché Carrefour dans la ville de Porto Alegre.
(Agence Ecofin) - Le drame s’est produit au soir du 19 novembre, veille de la commémoration de la Journée de la conscience noire au Brésil, un jour férié dans plusieurs États. La population afro a saisi l’occasion pour manifester contre cet acte qualifié de raciste.
Pour les autorités brésiliennes, notamment le vice-président Hamilton Mourao, cet acte « regrettable » est à imputer à des agents de sécurité mal formés et non au racisme. Il a par ailleurs appelé les manifestants à la non-violence, alors que ces derniers ont incendié le supermarché en question.
1000 personnes ont manifesté pour la seule ville de Sao Paulo. Les habitants de la capitale Brasilia, Belo Horizonte et Rio de Janeiro sont également sortis protester.
Le responsable du supermarché, Alexandre Bompard a indiqué sur tweeter que des mesures ont été immédiatement prises concernant les agents en cause et les procédures de recrutement dans la structure. Mais pour les manifestants, le problème est bien plus compliqué, il tire ses origines du racisme.