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Publié par Hakim Laâlam
le 22.11.2020
«L’Algérie a raison de doubler ses importations de blé
russe», selon un expert en la matière.
Le professeur Tcher Nobyl !
Macron est sympa ! Dans une interview au magazine Jeune Afrique, le Président français s’est engagé à faire tout son possible pour aider Tebboune. C’est bien ! C’est gentil ! C’est prévenant ! C’est « âala el kif ! ». Je propose que Manu commence là, tout de suite, à aider Djidji, sans plus tarder. D’abord, appeler le serrurier attitré de l’Élysée. J’ai ouï dire que c’est un pro, consciencieux dans son boulot et plein d’abnégation dans son domaine. Il pourra lui dire où ça a foiré. Quelle serrure ou quel verrou s’est déglingué. Mais le serrurier seul ne pourra pas tout régler. Il faudra aussi convoquer le vétérinaire en chef de l’Élysée. Lui aussi, tout comme le serrurier doit apporter des réponses. À quel moment le chenil présidentiel n’a pas été surveillé comme il se doit ? Qui, dans le personnel vétérinaire affecté à ce service si sensible, n’aurait pas fait correctement son boulot en ne signalant pas la disparition. Et ce n’est pas tout ! Le magasinier du chenil présidentiel doit lui aussi être mis à contribution. Pour déstocker du magasin une nouvelle muselière et une laisse suffisamment solide celle-là, dotée d’un fermoir fonctionnel, ne cédant pas à la moindre manipulation. Et enfin, il faut faire circuler à grande échelle la photo du « roquet » échappé du chenil de l’Élysée et qui s’est mis en tête de mordre à tout-va, dans sa fugue insensée. Qu’une équipe de la fourrière canine française se mette en quête de le récupérer et de le remettre dans le chenil. C’est là qu’est sa place. Pas ailleurs où elle risque — la pôv’ bête — de se faire écraser accidentellement. Voilà comment Manu pourrait aider Djidji. D’abord en veillant à ce que les serrures du chenil français soient réparées et que les pensionnaires canins, parmi les plus excités, les plus en manque d’opiacés et de paradis artificiels ne s’en échappent plus. Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue.
H. L.
le 22.11.2020
«L’Algérie a raison de doubler ses importations de blé
russe», selon un expert en la matière.
Le professeur Tcher Nobyl !
Macron est sympa ! Dans une interview au magazine Jeune Afrique, le Président français s’est engagé à faire tout son possible pour aider Tebboune. C’est bien ! C’est gentil ! C’est prévenant ! C’est « âala el kif ! ». Je propose que Manu commence là, tout de suite, à aider Djidji, sans plus tarder. D’abord, appeler le serrurier attitré de l’Élysée. J’ai ouï dire que c’est un pro, consciencieux dans son boulot et plein d’abnégation dans son domaine. Il pourra lui dire où ça a foiré. Quelle serrure ou quel verrou s’est déglingué. Mais le serrurier seul ne pourra pas tout régler. Il faudra aussi convoquer le vétérinaire en chef de l’Élysée. Lui aussi, tout comme le serrurier doit apporter des réponses. À quel moment le chenil présidentiel n’a pas été surveillé comme il se doit ? Qui, dans le personnel vétérinaire affecté à ce service si sensible, n’aurait pas fait correctement son boulot en ne signalant pas la disparition. Et ce n’est pas tout ! Le magasinier du chenil présidentiel doit lui aussi être mis à contribution. Pour déstocker du magasin une nouvelle muselière et une laisse suffisamment solide celle-là, dotée d’un fermoir fonctionnel, ne cédant pas à la moindre manipulation. Et enfin, il faut faire circuler à grande échelle la photo du « roquet » échappé du chenil de l’Élysée et qui s’est mis en tête de mordre à tout-va, dans sa fugue insensée. Qu’une équipe de la fourrière canine française se mette en quête de le récupérer et de le remettre dans le chenil. C’est là qu’est sa place. Pas ailleurs où elle risque — la pôv’ bête — de se faire écraser accidentellement. Voilà comment Manu pourrait aider Djidji. D’abord en veillant à ce que les serrures du chenil français soient réparées et que les pensionnaires canins, parmi les plus excités, les plus en manque d’opiacés et de paradis artificiels ne s’en échappent plus. Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue.
H. L.