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Dans la nuit pluvieuse du dimanche 15 novembre 2020 dans les territoires palestiniens occupés, des salves de roquettes palestiniennes ont visé les colonies d’Ashkelon, Ashdod, Palmakhim, Rishon Letzion et Gush Dan, au sud de Tel-Aviv.
En rapportant les faits le correspondant militaire du quotidien israélien Yediot Aharonot, Yossi Yehoshua, a qualifié l’incident de « dangereux et inhabituel », a-informé le site du Jihad islamique Pars Today. Le même son de cloche pour le correspondant de la radio de l’armée israélienne Tzahi Daboush, qui a déclaré que l’armée israélienne répondra rapidement. «Nous sommes prêts à une escalade de plusieurs jours». De son côté, l’expert palestinien des affaires israéliennes, Abdel-Rahman Shehab, a déclaré que quelles que soient les raisons du lancement de ces roquettes, « il s’agit d’une manœuvre qui a une fois de plus révélé et confirmé la fragilité du Dôme de fer israélien. Le Jihad islamique est derrière ces roquettes».
Il ajouta que « l’un des missiles a atterri au sud de Rishon qui est une zone stratégique où sont stationnées des bases de missiles balistiques israéliennes ». L’armée d’occupation israélienne a bombardé en réaction des positions du Hamas dans la bande de Gaza sous prétexte de riposte à ces tirs de roquettes. Peu après, des avions de combat, des hélicoptères et des chars ont frappé des positions du Hamas, a ajouté l’armée d’occupation dans un message sur WhatsApp, cité par des agences médiatiques. A Gaza, des sources sécuritaires ont fait état de nombreuses frappes israéliennes dans la nuit dans les secteurs, notamment de Khan Younès, Rafah, Beit Hanoun, sans mentionner de victimes.
Les tirs de roquettes survenus après l’assassinat par l’occupation de Baha Abou al-Ata, un commandant du Jihad islamique, deuxième groupe armé de la bande de Gaza après le Hamas. Le Jihad islamique avait tenu une parade militaire dans le centre de la ville de Gaza, chef-lieu de ce territoire palestinien à la mémoire du commandant Abou al-Ata dont l’assassinat avait été suivi par un barrage de centaines de roquettes vers l’entité sioniste.
« Les brigades al-Quods (branche armée du Jihad islamique) sont celles qui vont déterminer le lieu et l’heure de la réponse à l’assassinat d’Abou al-Atta », avait déclaré jeudi lors de cette cérémonie un haut responsable du Jihad islamique. A cet effet l’armée d’occupation israélienne avait indiqué ces derniers jours être en état d’alerte le long de la bande de Gaza, territoire palestinien de deux millions d’habitants, révèle-t-on.
Oki Faouzi
La Nouvelle République
En rapportant les faits le correspondant militaire du quotidien israélien Yediot Aharonot, Yossi Yehoshua, a qualifié l’incident de « dangereux et inhabituel », a-informé le site du Jihad islamique Pars Today. Le même son de cloche pour le correspondant de la radio de l’armée israélienne Tzahi Daboush, qui a déclaré que l’armée israélienne répondra rapidement. «Nous sommes prêts à une escalade de plusieurs jours». De son côté, l’expert palestinien des affaires israéliennes, Abdel-Rahman Shehab, a déclaré que quelles que soient les raisons du lancement de ces roquettes, « il s’agit d’une manœuvre qui a une fois de plus révélé et confirmé la fragilité du Dôme de fer israélien. Le Jihad islamique est derrière ces roquettes».
Il ajouta que « l’un des missiles a atterri au sud de Rishon qui est une zone stratégique où sont stationnées des bases de missiles balistiques israéliennes ». L’armée d’occupation israélienne a bombardé en réaction des positions du Hamas dans la bande de Gaza sous prétexte de riposte à ces tirs de roquettes. Peu après, des avions de combat, des hélicoptères et des chars ont frappé des positions du Hamas, a ajouté l’armée d’occupation dans un message sur WhatsApp, cité par des agences médiatiques. A Gaza, des sources sécuritaires ont fait état de nombreuses frappes israéliennes dans la nuit dans les secteurs, notamment de Khan Younès, Rafah, Beit Hanoun, sans mentionner de victimes.
Les tirs de roquettes survenus après l’assassinat par l’occupation de Baha Abou al-Ata, un commandant du Jihad islamique, deuxième groupe armé de la bande de Gaza après le Hamas. Le Jihad islamique avait tenu une parade militaire dans le centre de la ville de Gaza, chef-lieu de ce territoire palestinien à la mémoire du commandant Abou al-Ata dont l’assassinat avait été suivi par un barrage de centaines de roquettes vers l’entité sioniste.
« Les brigades al-Quods (branche armée du Jihad islamique) sont celles qui vont déterminer le lieu et l’heure de la réponse à l’assassinat d’Abou al-Atta », avait déclaré jeudi lors de cette cérémonie un haut responsable du Jihad islamique. A cet effet l’armée d’occupation israélienne avait indiqué ces derniers jours être en état d’alerte le long de la bande de Gaza, territoire palestinien de deux millions d’habitants, révèle-t-on.
Oki Faouzi
La Nouvelle République
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